Malgré l’absence d’Amandine, je me réveille très excité. Je pense bien à elle depuis hier et je sais avoir rêvé de nos “aventures” et de nos expériences sexuelles. Il est donc très normal que je me réveille avec une belle érection.

Étant seul je me dis qu’il me reste toujours la possibilité de me masturber. Je retire alors mon boxer et sors des draps. Je commence doucement à faire coulisser mon prépuce tout en pensant à nos derniers ébats. Mon sexe se raidit de plus en plus et le plaisir monte en moi. Je commence même à gémir.

J’entends alors un bruit dans le couloir mais cela ne m'arrête pas. Quelques instants après,ma porte s’ouvre doucement et Jean pénètre dans ma chambre. Je n’ai pas eu le temps de réagir qu’il est déjà entré, je me suis contenté d'arrêter mon “activité” et de cacher tant bien que mal mon érection.

- Moi un peu gêné : Tu aurais pu toquer !

- Jean : Rooh arrête, je t’ai déjà vu faire.

- Moi : Et alors ?

- Jean : Bah tu vas pas te cacher de moi quand même.

Me voyant très dubitatif Jean s’assied à côté de moi et il tente de mater sans même s’en cacher.

- Jean posant sa main sur la mienne : Allez montre-moi ça.

Je laisse Jean retirer ma main de mon sexe et contempler mon érection. Je suis amusé de voir qu’au fond Jean n’a pas vraiment changé et, quelque part, je suis rassuré de le retrouver tel que je le connais.

Me doutant que mon coquin de frangin commence à avoir quelques envies, je lui propose de m'accompagner lui aussi. Je vois alors qu’il a son autre main déjà bien active sur son pyjama. Je souris, c’est confirmé : Jean est toujours Jean, il est toujours très coquin.

Il commence à se déshabiller et s'installe à côté de moi. Je vois bientôt son slip c’est un slip DIM blanc que je connais car je l’ai déjà eu ; étant trop petit pour moi, maman lui a visiblement trouvé une seconde vie.

- Moi voyant Jean garder son slip : Bah tu l'enlèves pas ?

- Jean amusé : Non pas tout de suite.

- Moi : Bah pourquoi ?

- Jean : J’aime bien le fait que tu sois nu et pas moi.

- Moi : Ah non : tu vas pas t’y mettre toi aussi !

- Jean surpris : Comment ça ?

- Moi : Amandine aussi elle aime ça.

- Jean amusé : Ah bon ?

- Moi : Oui. Donc que tu me dises ça me fait un peu "tripper".

- Jean amusé : Oui je comprends mais je bande bien moins que toi….

- Moi amusé : Je t’ai déjà vu au repos donc je m’en fiche !

- Jean timidement : Mais pas moi !

- Moi incitant : Vire-moi ce truc fissa ! Sinon je me rhabille et j'arrête tout !

Je ne m’imagine pas réellement le mettre à exécution mais je n’ai pas envie non plus que Jean commence à faire ce genre de “caprice”. Gentiment, je lui explique qu’il doit s'arrêter de se motiver par mon intermédiaire : nous sommes frères et non pas un couple.

Voyant bien qu’il ne réagit pas exactement comme je le souhaiterais, j'insiste bien sur le fait que je n’ai rien contre à ce qu’il profite de la vue mais que je n’ai pas à “subir” ces demande pour l’exciter. Il semble comprendre ce que je veux dire et retire enfin son slip. Je vois bien qu’il est un peu déçu mais je suis sûr qu’il me comprend.