Et en effet, il me serait difficile d'avouer que je ne bande pas tellement je suis moulé. Je me dis que des sportifs comme les nageurs, les plongeurs portent souvent ce genre de maillots et que parfois on peut deviner leurs "engins", lorsque cela arrive on ne peut pas vraiment savoir s'ils bandent ou non.

En y réfléchissant bien on peut savoir seulement si l'on connaît très intimement la personne et qu’on a déjà vu son sexe au repos. En revenant à ma situation, je me dis que Jean m’a déjà vu "particulièrement en forme" donc il sait très bien que je bande légèrement.

- Jean : A poil !

- Moi amusé : Direct alors que tu as rien enlevé !

- Jean frappant dans ses main : A poil ! A poil ! A poil !

- Moi taquin : J’en ai plus de poil !

- Jean insistant : Allez enlève-moi ça !

Je décide de céder à sa demande je délace l’élastique du maillot de bain, puis je glisse mes deux pouces sous l’élastique au niveau de mes hanches. Tout comme le pantalon, je le fais descendre lentement.

Je coince volontairement mon sexe dans l'élastique faisant en sorte qu'il reste dissimulé le plus longtemps possible. Bientôt, il n'y a plus suffisamment de tissu pour qu’il me soit possible de le dissimuler davantage et mon sexe sort en bondissant comme un diable sortant de sa boîte. Je fais descendre rapidement le bout de tissu au bas de mes jambes et le retire définitivement.

- Moi tendant le slip à Jean : Vu qu’il est un peu petit pour moi je te l’offre.

- Jean : J’ai presque envie de le mettre dès maintenant.

- Moi taquin : À ce compte là je te laisse et je vais me branler tout seul.

- Jean : Bon d’accord j’ai compris.

Jean se déshabille très vite retirant le t-shirt d’abord, puis slip et pantalon de façon simultanée. Le voici lui aussi nu et déjà excité. Après cela et avoir repris place sur le lit, chacun de notre côté on se caresse lentement.

- Jean : Tu me montres comment Amandine elle te fait ?

- Moi amusé : Je ne peux pas….

- Jean : Ah bon pourquoi ?

- Moi : Bah déjà parce que je suis pas elle donc difficile de te montrer comment elle s’y prend.

- Jean : Ah oui je comprends.

- Moi timidement : Puis y’a une autre raison, c’est que souvent elle me le fait avec sa bouche.

- Jean : T’en as de la chance.

- Moi amusé : Genre tu n’y avais pas le droit avec Alan

- Jean souriant : Si si t’en fais pas.

- Moi : Ouf j’ai cru un instant qu’il était pas autant un suceur que ce que je pensais.

- Jean : C’est un gros suceur !

- Moi : Et toi alors?