Etreinte
Écrit suite à un défi d’Androm
Le blanc et doux manteau neigeux me met en fête
Voilà le décor rêvé pour une tartiflette
Allongée devant le feu de la cheminée
Mon corps se consume sous ses baisers enfiévrés.
Dehors le froid glacial étonne mon poète
Alors que sa chaleur me retourne la tête.
Les caresses fougueuses de ses mains empressées
S'attardent sur mes seins, adieu mon chemisier.
Trop d’habits, trop d’obstacles, je le débraguette,
Son dur désir à présent sort de sa cachette.
Un sourire carnassier, des lèvres mordillées,
Qu’il est sublime mon amant aux yeux mordorés.
Viens en moi à présent, je n'suis plus une fillette,
Nos corps nus se mélangent sur la peau de bête,
Sa virilité s'agite, la douceur devient tempête,
Oh ciel comme c’est bon, continue, jamais n'arrête!
Notre union amoureuse toute la nuit va durer,
Encore et encore, jusqu'au matin, essoufflés
Vous ne le croiriez pas si je vous le disais
Mais tout a commencé avec un cassoulet!
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