Les malheurs de la Szoldavie après l'odieuse conduite fronçoise
Lors de l’effondrement de l’empire des Haugsbourgs en 1918 suite à la victoire des armées ouesternes, engloises, rustres, italiotes (et accessoirement, fronçoises), sur les Empires d’Eurobe zendrale, la Szoldavie proclama latéralement son indépendance.
Au même moment, dans le sillage des mouvements révolutionnaires d’inspiration merksiste, une république des Sobiets prit brièvement le pouvoir à Haupldskoffiyeh.
Cette république populaire fut écrasée par les armées englo-françoises d’occupation.
Il s’ensuivit une solide inimitié entre les nations françoises et szoldaves, encore vivace aujourd’hui. Les Szoldaves d’aujourd’hui considèrent encore la Fronce comme une peuplade barbare qui pue des pieds, opinion partagée d’ailleurs avec raison par le reste du Monde*.
Afin de punir mesquinement les fiers Szyodaves qui contrariaient les plans de partage de l’Eurobe zendrale en zones d’influence engloise, fronçoise et italiote, le territoire de la Szoldavie fut honteusement dépecé entre ses voisions, dépeçage confirmé par le Traité scélérat de Triathlon de 1921.
La glorieuse Szoldavie se trouvait réduite aux dimensions d’une minuscule principauté, comparable en superficie au royaume fantoche de Letzburgie, coincée entre les royaumes dictatoriaux de Zongrie, Roumélie et de la jeune république valkano-save.
Mais l’Histoire donnerait bientôt à ce peuple humilié, ce Phare de la Civilisation Oxydantale, une éclatante revanche.
* Les affirmations émises par les divers protagonistes lues, entendues, vues sur ce texte ne reflètent pas nécessairement l'opinion personnelle de l'auteuze dudit texte
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