Bandits

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Un jeune homme se trouve près de la frontière entre le Territoire du Nord ou le Queensland et l’Australie-Méridionale ou la Nouvelle-Galles du Sud, en un lieu abritant une sorte d’oasis et une exploitation minière ainsi que plusieurs plus petites avec toujours une grande communauté de mineurs et personnel lié à cette activité. Aberdeen au nord ou au sud de la frontière, le lieu d’où il vient ou celui où il se rend. Probablement au nord et le lieu d’où il vient. Le voyageur se balade, explore la nature parfois aride, parfois tropicale, en passant par un chemin de terre entouré d’arbres mais au terrain sec. En rentrant, il suit le même itinéraire qu’il a emprunté jusqu’à un croisement qu’il n’avait pas vu en arrivant. Les deux sentiers vont en montée. Il prend celui de gauche, il n'a pas l'air d'être tout à fait celui qu’il avait suivi à l’aller, celui de droite devait être le bon. Un tout-terrain s'élance sur cette piste salissante à son passage, le garçon demande si c’est la bonne route et le conducteur lui répond au-dessus du bruit du moteur que oui. Le jeune homme continue d’avancer mais la route est coupée par une sorte de pont en bois qui ressemble plus à un tronc d’arbre épais mais dangereusement instable pour une personne sans véhicule, le dispositif servant à faire sauter les véhicules par-dessus un lac ou un étang dont la différence d’altitude est conséquente, périlleuse. Un autre tout-terrain illustre peut-être cela. Le jeune homme passe sur les côtés et descend les hauteurs de ce lac. Il se retrouve dans une espèce de petite ville dont il est possible que l’architecture ressemble à un style colonial. Sali par son expédition, il se lave le bout des doigts sur une sorte de pierre qui sert d’étang car immergée d’eau. Ses doigts sont colorés. Il quitte l’endroit mais se fait interpeller par des gens qui semblent le prendre pour un voleur. Ils l’attrapent ensuite alors que le voyageur se débat faiblement, dit ne pas comprendre ce qu’il se passe, ce que ces gens lui veulent avec une histoire d’autoroute. Ils continuent de le malmener et vont jusqu’à lui infliger deux prises de sang, une à chaque bras par deux hommes différents. Le garçon est emmené devant un représentant de la loi, un juge ou autre, qui paraît compréhensif. Il est interdit de franchir la frontière par l’autoroute en véhicule. Il n’était pas sur l’autoroute et n’était pas en véhicule. Les deux fioles de sang sont inutilisables et le processus aura été vain car l’une d’elles s’est brisée dans sa bouche et l’autre s’est vidée par terre. Le jeune homme demande ce qu’il se passe dans cette bourgade et aussi ce qu’il se passe avec les prises de sang. Cela semble amuser le représentant de la loi et les personnes présentes avec lui. C’est une ville minière, les chasseurs de primes sont même incités à faire des prises de sang aux suspects qu’ils appréhendent.

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