Dans un garage, un homme d’âge mûr avec un masque de soudure sur le visage ou sur la tête ou alternant les positions selon qu’il répare, construit, s’affaire d’une façon ou une autre sur la voiture ou le moteur face au mur devant lui à moins qu’il ne fasse tout bonnement semblant paraît de mauvaise humeur. Sur la gauche et perpendiculairement au poste de travail se trouve une porte ou une ouverture vers la boutique elle-même dans la même direction en entrant dans l’espèce de couloir. Derrière le garagiste au masque, au centre, se trouve une voiture éventuellement sur un pont élévateur en fonction et sur sa droite une ouverture d’une porte de garage basculante ou se situe un autre véhicule surélevée sur lequel travaille un autre homme d’âge mûr peut-être plus jeune et venant d’une autre partie du garage vers la droite. Alors que celui-ci s’occupe de la voiture, un cric-crac léger se produit à répétition qui semble provenir d’un clic mal calibré. De ce fait, la voiture ou l’autre sur laquelle travaille le mécanicien sans masque lui tombe brusquement sur la tête sans pour autant l’écraser ce qui lui provoque une intense douleur et un grand fracas. L’homme au masque sur la tête railleur se réjouit de la mésaventure dont il semble qu’il soit à l’origine avec le clic mal calibré. Le gérant du garage arrive et demande quel est tout ce bazar. L’inimitié de l’employé au masque envers celui blessé s’expliquerait en fait par une histoire de cocus. L’épouse du plus âgé aurait une liaison avec le plus jeune ou inversement, la femme aurait épousé l’un alors qu’elle avait une liaison avec l’autre ou ces hommes cherchent simplement tous les deux à la séduire.