Baisers

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Au cours d’un mariage, une fête, un évènement ou vers la fin de celui-ci, pendant que le soleil commence à faiblir dans le ciel, une jeune femme avec éventuellement son époux, fiancé, petit ami ou non rejoignent une table où sont installés quelques membres de la famille pour le dîner. Lorsque la femme, sa sœur ou une amie finit de manger, celle-ci se dirige vers une pièce à part à l’écart des autres ou se trouvent deux femmes plus âgées, la mère et la tante, deux tantes, cousines, sœurs, belles-sœurs ou amies richement vêtues qui paressent allongées sur un canapé ou d’autres meubles. Les trois rêvassent à propos des soirées en ville et sur le fait de rencontrer des hommes à croquer ou à épouser. Les plus âgées embarquent la plus jeune dans leur virée pour aller s’amuser. Les trois se retrouvent près d’une sorte de bâtiment abandonné, en ruine ou en roches claires d’une espèce d’aire de repos sur le côté d’une rue pavée bordée de maisons ou immeubles en pierres claires dans une village, une ville ou un coin calme de celle-ci. Les femmes sont habillées de façon légère, chic ou à autrement se distinguer des autres. Les plus âgées paraissent avoir plus d’expérience et font la pose afin de mettre en avant leurs atouts, attirer les regards et draguer les passants. Leur activité qu’elles apprécient énormément semble être du racolage et de la prostitution. Celles-ci s’amusent beaucoup et tentent de faire goûter à leur proche cette joie qu’elles savourent tant. La jeune femme timide ne résiste cependant pas au dévergondage de ses aînées aux mœurs légères tant elle aborde un jeune homme qui a peut-être son âge. Avec ce compagnon de route au caractère doux, la femme se retrouve dans une sorte de place où se situe un manège sur lequel bien vite les deux vont pour s’amuser. Alors que son cavalier n’a d’yeux que pour elle, celle-ci le taquine de ses caresses renforçant toujours plus le regard déjà pleinement amoureux du jeune homme. Au cours de la soirée, ils échangent un baiser où les lumières de la ville éclairent la scène de leur éclat. Plus tard, dans une voiture décapotable laissant filer au vent ses cheveux, la jeune femme embrasse une deuxième fois son soupirant plus amoureux que jamais. Par la suite, dans la voiture comme sur un nuage, la belle à la peau légèrement bronzée se réveille confortablement bordée dans ses habits de princesse féline, son cavalier absent. Elle n’a jamais fait un rêve aussi vrai si ce doux souvenir ne révèle pas la sincérité de son cœur lorsqu’elle était submergée par le bonheur avec ce garçon.

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