Deux mois,
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Deux mois à tenir seule comme la nuit,
l'amour le désir appelle mais la peur aussi
j'ai peur de tout
des regards des touchers
j'ai peur de vous
de ces gestes qui peuvent blesser
Coincée dans mon corps
Mon coeur souhaite désespérement
qu'on le couvre de baisers qu'on le couvre d'or
Mais le souvenir m'en empêche, me glace le sang
le frisson parcourt mes membres
Glisse sous ma peau
Le souffle dans le cou, moi qui tremble
Moi toute seule là-haut
Solitude qui me pèse
Compagnie qui me blesse
A quoi bon chercher
Il est loin le temps de mes premiers baisers...
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