PROLOGUE - I
PARTIE 1
Depuis que je suis enfants, les planètes, les galaxies, l'univers m'a tellement fasciné. L'espace, ce vide infini qui renferme un grand nombre de secret, m'a toujours donné une envie particulière de le visiter. La Lune, les étoiles et constelations, les astéroïdes, le Soleil et son Système,... tout ce grand monde dans lequel nous vivons, je voulais le connaitre sur le bout des doigts, l'approvoiser, le controler, l'explorer et le maitriser. Bref, en faire mon monde, ma chose, mon espace personel.
- Et ce rêve, petit, va se réaliser...
Depuis plusieurs années maintenant, je m'entraine au Camp d'Entrainement des Aprentis Spationautes, autrement dit CEAS. Ce camp est comme un centre de formation pour accéder au métier de mes rêves : explorateur spatial. Ce métier donne le droit de posséder un véhicule permettant de voyager dans l'espace. Pour l'instant, vu que nous ne sommes pas encore beaucoup déveloper dans ce mode de déplacement, un seul modèle, l'Audi X-Space I, n'est paru au public actuellement. Mais d'autres entreprises de l'automobile souhaite se lancer dans l'univers de la spaciomobile pour ainsi réinventer encore une fois industrie de la voiture.
En attendant cette révolution, mon objectif est d´avoir mon permis de conduire un véhicule spatial, d'acheter ma X-Space I avec ma bourse et de découvrir l'espace. Grâce à ça, je pourrais devenir l'un des premiers hommes à explorer l'espace de lui-même. Et ainsi, après plusieurs dizaines d'années d'expérience, l'univers pourra enfin devenir mon monde, ma chose.
Devenir explorateur spatial. C'est pourquoi chaque matin je me lève à 6h, prend une douche rapide, bois mon café devant mon journal, je brosse les dents en expres, embrasse ma chère et tendre femme ainsi que mon adorable fils, me saisi des clé de voitures, descend en ascenseur jusqu'au sous-sol, entre dans ma BMW M3 E36, démarre et pars à pleine jusqu'à St-Germain-en-Laye pour aller au CEAS. Les cours commence à 8h chaque jour sauf le dimanche. Ainsi je retrouve Alex', Frank, Sonia et tous les autres de ma promo, mes camarades dans cette aventure spatiale pour une nouvelle journée pleine de découvertes.
Mais aujourd'hui est un jour spécial. En effet, c'est aujourd'hui le jour de la fin de notre parcours de formation. Un peu comme le dernier jour de l'année scolaire, juste avant les vacances. C'est aussi le jour où l'on passe notre "examen de fin d'année". Ceux qui échouent sont recalés, ceux qui réussissent obtiendront un "titre", LE "titre", celui de mes rêves. Je n'ai donc aucun droit à l'erreur. Je dois passer cet examen au la main grâce à tout ce que m'a appris le CEAS.
- Ne t'en fait pas petit, on va le passer ensemble cet examen.
- Je ne m'inquiète pas, je te fais confiance.
"Mesdames et messieurs, si nous sommes réunis aujourd'hui, c'est pour voir nos futurs héros de l'espace pour nous montrer leur talents."
Dès l'ouverture du camp à 8h, nous sommes partis direct dans les vestiaires se mettre en combinaison. Une combi simple, légère et souple qui absorbe même la chaleur et où sont imprimé les couleurs et l'insigne du CEAS. Nous nous sommes ensuite échauffer comme on le faisait chaque matin sans cette salle d'échauffement. Étirement, réchauffement des muscles, détente et concentration neuronale, la totale pour être au meilleur de notre forme. Et maintenant, avec mes camarades de promos, nous attentions sur une plateforme en écoutant Niklauss, notre cher présentateur télé.
"Ce sont eux qui reprendront le flambeau de la conquête spatiale pour nous faire découvrir de nouveaux horizons et faire avancer notre civilisation."
Chacun de nous est concentré, mains dans le dos. Soit avec des écouteurs pour détendre son esprit, soit en comptant les secondes avec un mouvement de balancier, ou encore immobile, regardant droit devant soi. On a tous un objectif après le CEAS. Certains voulaient le passer pour le voir apparaitre dans leur palmarès, pour que ça fasse beau, d'autre qui collectaient les permis voulaient celui de la spatiomobile, ou encore d'autres comme moi qui utiliserai ce diplôme pour voyager et découvrir un monde encore inconnu à l'être humain. Mais pour tous arriver à nos fins, il falait passer cet examen.
"Et c'est pour cela que nous sommes tous ici. Mesdames et messieurs, veuillez accueillir nos héros de l'espace, la 1ere promotion du Centre d'Entrainement des Aprentis Spationautes !"
La plateforme circulaire où nous nous tenons commence à s'élever. Au dessus de nos têtes s'ouvre peu à peu une embouchure d'où sortent des tonnerres d'aplaudissement accompagnés de cris de joie. Je lève la tête. La plateforme se raproche de la surface d'où provenaient des flashs qui nous éblouissaient. Et enfin, nous passions l'embouchure devenue aussi grande que notre plateforme et arrivons à la surface. Devant nous, une piste fluorescente au couleurs de l'arc-en-ciel dont on ne voyait le bout avec une vingtaine de véhicules garer dessus. Autour de nous, en forme de "U", des gradins semblables à ceux d'un stade remplis à craquer de personnes venu nous supporter.
Notre examen de fin d'année, notre épreuve qui nous permetterai d'avoir notre permis de conduire de spationaute, notre test qui validerai nos années de formation au CEAS, est l'un des plus grands shows en direct de l'année qui rassemble plusieurs millions de téléspectateur ainsi que 100 millions de spéctateurs en direct sur place. Mais nous étions déjà là, présent, filmé par des dizaines de caméras et diffusé à teavers le monde. Nous ne pouvons plus reculer.
"Alors maintenant, rentrons dans le vif du sujet. Nos 25 participants ici précents s'affronteront en trois épreuves : deux individuelles et une course finale..."Tandis que Niklauss continue son discours, mes camarades et moi surmontons l'apréhension de cet évènement. Nous tentons d'oublier ce qui nous entoure et de nous concentrer sur sur cette piste fluorescente que nous survolerons dans maintenant quelques intants. La première est anoncée. Une épreive de sprint qui consiste à atteindre la ligne d'arriver en mettant le moins de temps. Les cinq premiers reçevront cinq points, les cinq suivant en auront cinq, les dix qui suivent trois et les cinq derniers un seul point seulement. Nous passerons un par un par ordre alphabétique. Je suis le numéros 1."Acceuillons le premier de nos futurs spacionautes qui aura la chance de tater la piste avant les autres. Il a 25 ans et il s'entraine au CEAS depuis qu'il a finis ses études il y a cinq ans. Voici Adam Adini !!!"Sous les ovations, je sors de la ligne que je formais avec mes camarades et salue rapidement d'une main le public. En vérité je cherche discrètement ma femme et mon fils parmis la foule mais en vain. Triste de se manque de soutien mais avec le même sourire aux lèvres, je me dirige vers mon Audi X-Space I prêtée pour l'occasion. C'est la première fois que j'en vois une en vraie, face à moi, phisiquement. Fini les entrainements en réalité virtuel ou avec des hologrames. J'ai maintenant l'engin sous la main. C'est un mémange entre une voiture futuriste et un avion de chasse qui donne un vaisseau monoplace capable de dépasser largment le mur du son.Impatient d'entendre le moteur de cette bête, j'ouvre le cocptit du véhicule et m'instale sur l'unique siège présent. Après fermeture de l'ouverture et pose du casque sur ma tête, les sept ceintures, on sort les clés et on met le contact. Un gros "vroum" atteint mes oreille. Un air de satisfaction et d'extase peut se lire facilement sur mon visage. Check rapide de l'escence et de l'huile. Parfait. J'appuie sur la pédale d'embrayage et passe à la vitesse 1. Doucement, le véhicule s'élève quelques centimètres au dessus sol. Avec une extrème précaution, je le dirige jusqu'à la ligne de départ.Les feux sont encore éteints. Alors je regarde à l'extérieur dans l'espoir une nouvelle fois de trouver Lucy et le jeune Wiliam. À cause de mon casque, je n'entend rien de ce qu'il se passe hors de la Audi, mais j'arrive à apercevoir ma petite famille vers les premiers rangs, criant à plein poumon pour me soutenir. Alors, porter par leur encouragement, je fait chauffer les réacteurs pendant que le premier feu s'allume en rouge. Le pied sur l'accélérateur en gardant mon frein accioner en restant immobile. Je ressens cette puissance, cette vitesse, tous ce qui est dans ce gros moteur derrière moi. Le deuxième feu rouge s'allume. Je baisse ma visière et met mes mains sur le volant en gardant un doigt sur le frein. Le dernier feu s'allume. Ma concentration est à son paroxysme pour pouvoir me préparer à la vitesse qui va me scotcher à mon siège. Je regarde la puissance de mon moteur :101%. Ma vitesse est estimé a plus de 3403 km/h. Je relâche doucement le frein, me tient fermement à mon volant et jette un coup d'œil rapide dans mes rétros. Mes réacteurs flambants neufs sont déjà à pleine puissance prêt à me propulser sur cette piste fait spécialement pour les engins à très grandes vitesses.Les feux deviennent verts et un "Go !" s'affiche devant moi.
- Allons-y petit, montrons-leur ce que l'on vaut.
- Soit. Je mets les gaz !
Je relâche complêtement mes freins et appuie à fond sur l'accélérateur en me cramponant à mon volant. Grâce à la réduction de viresse de 98%, je ressens qu'une vitesse de 70km/h alors que je suis déjà à 3500km/h. Au fur et à mesure des kilomètres parcourus, ma vitesse augmente. J'ai déjà parcouru 20 kilomètres et ma vitesse est de 3600km/h. Je remarque qu'à l'horizon, la piste lumineuse s'élève peu à peu jusqu'à être à 90 degré du sol. Elle disparait ensuite dans les nuages loin dans le ciel. Une partie des épreuves se déroulera donc dans le ciel, voir même dans l'espace. Ils veulent nous faire décoller. Or la vitesse de décollage est de 5550km/h et l'ascencion de la piste approche à grand pas. Je dois donc continuer à faire augmenter ma vitesse ou je n'arriverai pas à décoller. Pied au plancher, yeux sur mes kilomètres par heures, j'accélère tout en gardant le contrôle tandis que le sol commence à peine à s'élever de quelque degré. Je suis seulement à 4600km/h alors que la piste est déjà à 40°. 50°, 60°, 70°, 75°, ca grimpe ! De même que je redresse le véhicule pour le pas abimer sa carosserie. 90°, déjà, alors que je n'ai toujours pas atteints les 5550km/h. Je m'y suis pris trop tard... Je sens que l'Audi encaisse mal la montée à cette vitesse. Mais je n'ai aucun moyen d'accélérer encore plus, à cause de la pression de la gravité. À moins que...Mon propulseur ! Évidement ! Pendant que le vaissseau perd de l'allure et de la vitesse, je cherche des yeux le bouton rouge du propulseur. Trouvé ! Je désactive alors mes réacteurs, ouvre lez bouches de mon propulseurs et enfonce le bouton de toute mes forces avant de revenir me cramponer à mon seul objet de maintient.Puis silence. Un blanc de quelques instants. Ni les bruits de mon moteur électrique, ni ceux de mes réacteurs éteints ou encore mpins ceux de la foule n'atteint mes oreilles. Immobile dans l'air avant la chute. L'X-S I, doucement, perd de l'altitude. Mon propulseur ne s'est pas allumé. Mon moteur s'est éteint à son tour. À plusieurs dizaines de kilomètres du sol, sans plus aucun moyen de propultion, je tombe.
- Petit, réveilles-toi ! Tu tombes !
- Hmm ?
Je me rends enfin compte des évènements. Dans quelques secondes, si je ne fais rien, je quitterai ce monde sans avoir pu accomplir mon rêve. Vite, je dois faire quelque chose !Première chose à faire : rallumer mon moteur éteint sans raison. Alors, de toutes les manières possibles, je tente de le réanimer. Le temps défile autanr que mes mètres d'altitudes. Je n'ai plus que quelques secondes. Je tente tant bien que mal de remettre le le contact mais rien à faire (c'est la Maaf qu'il préfère), rien ne redémarre. Je n'ai plus qu'une seule option pour survivre : le parachute de secours. Mais à peine cette idée effleure mon esprit qu'une voix venant de mon subconscient m'arrète :
- Tu ne vas pas quand même faire ça ! On est à deux doigts d'accomplir notre rêve et tu compte abandoné comme ça ? Tu sais très bien que sortir ce parachute est synonyme d'échec. Pourquoi après tant d'années, tu renoncerai ?
- P-peut-être l'année prochaine...
- Et pourquoi pas maintenant ?! Tu reporte à plus tard ce que tu peux faire maintenant. N'abandone pas, bas-toi et réalise ce dont tu as toujours rêver. Ce parachite n'es pas la solution...
Inconcsiement, j'abandone cette idée stupide de parachute et tente encore de redémarrer le véhicul. Mais malheuresement, en vain. Et arriva donc ce qui devait arriver...
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