Je ne suis plus autant vierge d’expériences qu’avant (youpi !) même si croiser une bonne bite bien dure relève du défi. Normal, j’accumule des premières fois imprégnées d’incertitude, abruptes et sans paliers de décompression.

Ai-je enfin trouvé ce que je cherche ? À défaut de la complication et de noyer le poisson ? Oui et non. J’insuffle du mystère visiblement, et quand rien n’est clair, l’autre se dirige à tâtons.

Prendre mon temps me ferait à l’avenir le plus grand bien. Ne plus me laisser embarquer. Savoir doser et dompter ce sex appeal qui en grise plus d’un. En douceur, maitriser la rencontre. Poser mes limites. Me faire désirer.

Reste maintenant à mettre en pratique et tenter de garder la tête froide (à défaut du cul). Et quand bien même je ne la garderais pas ? Grand bien m’en fasse. Que la sève de vie m’éclabousse, coule sur moi ou bien en moi ! Je me sens désormais plus alignée pour poursuivre mes découvertes dès que l’envie pointera à nouveau le bout de son gland. Avec beaucoup plus de légèreté d’un côté et d’aplomb de l’autre, je le souhaite. Car comme le dit si bien Billy Idol :… de la chair à fantasmer… je veux.

Face to face
And back to back
You see and feel
My sex attack
Sing it
Flesh, flesh for fantasy ...we cry
Flesh, flesh for fantasy ...we want