Chapitre 3
Je me réveille en étant bien, pour une fois, je n'ai pas entendu Jackson se levé, j'ai pus dormir un peu, sans un sommeil entre-coupé entre ses chats qui jouent, le lapin qui gratte dans sa cage et le bruit de l'eau des pompes des aquariums. Je regarde l'heure sur mon portable et constate qu'il est huit heures, je dois me levée même si j'avoue ne pas en avoir envie. Je passe rapidement dans la salle de bain, je dois ensuite aller réveillé Aston pour l'école. Je prends le temps de me maquiller, chose que je ne faisais plus depuis bien longtemps, mais j'ai envie de me faire belle.
Je me rends dans la salon, prépare le petit déjeuné pour Aston et vais le réveiller. Une fois que j'ouvre sa porte, je vois qu'il est déjà réveillé, mais qu'il fait semblant de dormir comme tout les matins. Je m'allonge sur son lit, a côté de lui et passe ma main dans ses cheveux.
- Aston, dis-je, mon petit poussin, il est l'heure de se levée.
- Je ne suis pas un petit poussin, me dit-il, je suis une t-rex.
- Tu sera toujours mon petit poussin, dis-je en déposant un baiser sur son front, même quand tu auras quarante ans. Allez, petit poussin, il est l'heure.
Il ne tire la couverture sur sa tête et bouge pour que je ne la relève pas, tout les matins nous avons ce même petit rituel, et chaque fois, je tire sur la couette puis il rit et se lève.
- Maman, me demande-t-il, est-ce que Jackson est là ?
- Non, lui dis-je, il est déjà partie.
- Tant mieux, dit-il en soufflant d'aise, au moins il ne va pas râler.
Une fois qu'il à terminé de se préparer, il me rejoint dans le salon pour prendre son petit déjeuné, il s'installe à table et me demande s'il peut regarder les dessins animé avant l'école. Puisqu'il ne le peut jamais avec Jackson, je décide que oui même si je n'aime pas qu'il regarde la télé aussi tôt le matin, mais je sais qu'il ne pourras pas par la suite.
- Oui, tu peux regarder les dessins animé, dis-je, mais tu n'oublie pas de manger.
- T'inquiète pas maman, dit-il, je mange quand même.
Il me fait rire, et j'avoue qu'en ce moment, j'en ais besoin. Je pensais qu'il serait fatigué mais il est en pleine forme malgré le fait que nous restons tard dehors. Normalement, à son âge et à l'heure à laquelle nous sommes rentrée et s'il n'était pas hyper actif, il aurait dormit jusqu'à midi. Mais j'en ai eus assez de le savoir réveillé tard à attendre dans son lit et ne pas osez se levé à cause de Jackson.
Il m'arrive même de pensé que s'il pouvait interdire aux personnes de respirer il l'aurait fait pour Aston, mais je sais que pour Naya, il ne l'aurait pas fait. Elle doit venir ce soir, et comme chaque fois, je redoute se moment parce que je sais qu'Aston va être gronder pour les bêtises de Naya. Elle a vite compris qu'elle pouvait dire n'importe quoi à son père et vus qu'il ne la voit pas souvent, tout ce qu'elle dit est pris pour vérité.
- Maman, m'appel Aston, Naya va venir se soir ?
- Oui, dis-je, mais tu sais que nous allons sortir le plus possible.
- Je sais maman, ajoute-il la bouche pleine, ont va aller dehors pour pas qu'il râle et qu'il crie comme il fait tout le temps.
Il grandit trop vite, il comprends bien plus de chose que les autres adultes ne veulent l’admettre, seul ceux qui le connaisse vraiment s'en rende compte. Jackson ne l’admettra jamais lui, pourtant, il trouve que Naya est maline, oui, quand elle pas abrutit par son médicament. Je sais reconnaître un enfant hyper-actif quand j'en vois un, sa fille ne l'est pas, au contraire. Par moment, elle est tellement molle que j'ai envie de la secouer et de lui crier de se réveillé.
Mais j’oubliais, ce n'est pas ma fille, je ne peux donc rien dire. Demandé à ce qu'il est autre avis médical pour sa fille est trop. En même temps, cela ne le dérange pas, si elle fait trop de bruit pour lui parce qu'elle joue, il va directement lui demandé de se calmé. Je regarde l'heure, nous ne serons pas en retard, je vais rapidement prendre un pull pour Aston car je sais qu'il va l'oublier ainsi que sa casquette.
- Aston, tu as terminée de déjeuné, lui questionnais je.
- Oui, dit-il, je vais me brosser les dents.
- Très bien, dis-je, ensuite tu passe au toilette, hors de question que tu y aille à la dernière minute.
Même s'il y va tout de suite, je sais qu'il va y aller quand je vais lui dire que c'est l'heure. Comme tout les matins. Une fois qu'il à terminer, je lui demande d'ouvrir de descendre ouvrir la porte au rez-de-chaussez pour que la chienne puisse y aller sans se faire attaqué par les chats de Jackson. Une fois qu'il y est, j'ouvre la porte et laisse la chienne passé. Elle n'a pas pris de coup de griffes cette fois-ci, mais les chats grogne tout de même. Cela non plus, je ne supporte pas, elle à toujours été partout dans la maison, mais il refuse de la laisser aller partout.
Une fois dans l'entrée, nous mettons nos chaussure, j'attache la chienne et nous prenons la route pour l'école, nous devons marcher dix minutes, mais la route ne nous à jamais fais peur, nous avons toujours beaucoup marcher tout les deux, et cela à servit à Aston, il est très douer en sport et à une bonne endurance en comparaison de ses camarades.
Sur le chemin, la chienne tire pour aller vers l'école puisque Aston est devant, elle n'aime pas quand il est trop loin selon elle, mais je sais qu'il n'ira pas trop loin, j'ai instauré des règles pour la route qu'il respect chaque fois que nous sortons. Il court, certes, mais reste sur le trottoir et s'arrête toujours pour m'attendre quand nous devons traverser.
Nous arrivons devant l'école, il laisse son sac au sol et cours rejoindre ses copain. Je le vois courire, rire, mais surtout s'amuser. Voilà comme j'aime le voir, heureux et j'aimerais que ce soit pareil à la maison, mais je sais que nous ne le serons pas si nous ne partons pas. C'est domage pour lui et sa fille, il nous perd avec son comportement et ne le remarque pas. Mais, pour mon fils, je viens de prendre une décision.
Nous allons déménager.
C'est sur cette réflexion que je me dirige vers Aston lorsque j'entends la sonnerie de l'école. Le portail ne va pas tarder à ouvrir pour laisser entrer tout les enfants. Je reviendrais dans quelques heures pour le repas.
Lorsque je rentre, c'est pour attaqué le ménage, j'en ais à faire des choses quand un adulte est plus bordélique qu'un enfant. Je commence par enlevé les vêtement salle de Jackson de la table basse pour les mettre à lavé, nettoie les tables et me dis que je pourrais en faire une histoire de ma vie de couple. tout en continuant, je pense à cela. Oui, je vais le faire, écrire une histoire sur notre vie de couple et je sais quel titre lui donner.
Après avoir terminée une bonne partie de ménage, j'allume mon ordinateur et commence par écrire un titre : Colocation toxique. Voilà comment je vois notre couple depuis quelques temps. Je pense même l'imprimé et lui laisser pour mon dépars, il comprendra peut-être pourquoi nous sommes partis. a
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