Chapitre 4
J'ai passé beaucoup de temps à faire le ménage, entre la vaisselle, le linge, rangé ce que Jackson laisse traîner un peu partout, les caisses des chats, m'occuper de mon chien, de mon fils quand il n'est pas à l'école ainsi que de sa fille quand elle est là, il ne le fait pas. Quand je pense à la vie de Naya, je me dis que la pauvre, elle à de la chance de ne pas vivre avec son père en permanence.
J'ai l'impression d'être horrible du fait de pensé cela. Mais je sais qu'elle ne serait pas aussi bien qu'il le pense si elle venait à vivre ici. Quand je l'entends leurs parler, je me dis qu'il devrait vraiment voir quelqu'un pour apprendre à parler à des enfants. Mon fils n'a que huit ans et il sait qu'il ne doit pas parler ainsi et à rapidement compris qu'il ne devait en aucun cas répété ce que dis Jackson.
Je n'ai pas hâte que la petite arrive à la maison, pas comme avant, je n'ai même pas envie qu'il rentre à la maison, et ce n'est pas normal quand ont aime quelqu'un. Pour moi, cela ne ressemble plus - ou pas - à de l'amour. Non, j'ai l'impression de seulement subir sa présence et je n'aime pas ce que je ressens en ce moment.
Je regarde la pendule et remarque qu'ils vont bientôt arrivés. Je dis à mon fils d'aller prendre sa douche en espérant que cette fois-ci il fera en sorte que sa fille prenne sa douche soit en rentrant, soit après le repas. J'ai remarquer depuis quelques temps que chaque fois qu'elle arrive, elle ne prends pas de douche se jour là, et cela n'est pas normal.
Je profite du moment ou Aston est sous la douche pour écrire, je commence par faire un plan et lorsque je termine, Aston est déjà sortie de la douche et je remarque que sans les numérotés, en prenant seulement les faits, je dépasse la centaine de chapitre. Je vais en passer du temps devant mon ordinateur, mais je tiens à terminée avant de partir.
En parallèle de l'écriture, j'entame des recherches pour un appartement. Je remplie également un dossier de logement social, je ne ferais pas la difficile, je tiens à ce que nous partions au plus vite, je ne dois pas laisser mon fils avec une personne pareil, ce que je ne supporte pas en revanche, c'est que je ne peux rien faire pour Naya, elle devra continuer à venir chez lui de temps en temps.
Pour le moment, je ne trouve toujours pas de travail et cela me fais rager. J'ai besoin de travailler, je vais devoir mettre de l'argent de côté pour partir et je sais que je vais devoir économisé pas mal de temps. Je dois prendre sur moi, faire en sorte qu'il ne comprenne pas tout de suite que nous allons partir.
En même temps, qu'il n'est pas remarquer que son comportement m'agace au plus au point est étrange. Il ne remarque pas que je ne lui dis plus "je t'aime", que je suis très souvent dehors lorsqu'il est à la maison et que je ne lui parle quasiment pas. A sa place, je me poserais des questions tout de même. Mais lui, non, il doit sans doute trouver cela normal et je sais que pour lui, notre vie de couple va bien.
Il serait vraiment temps qu'il se réveil, quoi que, non, qu'il attende que je sois partie avec mon fils et mes animaux pour le faire. C'est beau de rêver, et je sais qu'il ne le fera pas. J'entend de la musique dehors, je sais que c'est lui, il est le seul en ville à faire crier les baffle de la voiture. Il ne devrait pas mettre la musique aussi forte avec la petite dans la voiture, j'ai eus beau lui dire plusieurs fois, rien à faire.
- Jackson est là, dit mon fils avec la voie triste, et il va encore crier, comme d'habitude.
Huit ans. Il n'a que huit ans et voilà ce que j'entends sortir de sa bouche, et cela me blesse d'entendre autant de tristesse dans sa voie. Cela me fend le cœur de le savoir aussi mal ici et qu'il en vient à ne plus vouloir voir Naya car il sait que Jackson sera forcément là.
Je décide de prendre une feuille et de faire deux colonne, je fais le pour et le contre de rester. Étrangement, la colonne des pour est presque vide tandis que celle du pour est bien longue. Je sais ce qu'il dira de moi quand je serais partie, la même chose qu'il à dit de ses ex quand elle l'on quitter. Parler avec un de ses amis m'a permis d'en découvrir des choses, même si ne comptais pas trop m'en dire, il a gaffer et cela valait mieux. J'ai appris que sa grande ami de travail lui avait proposer de partir en vacance il y à de cela des mois, étrangement, il ne m'en à jamais parler.
Cette collègue de travail était une super ami, elle appelait même tout les mercredi soir alors qu'elle savait que cela était son unique jour de repos dans la semaine tout les quinze jour. Du coup, au lieu de passé un peu de temps en famille, il le passait au téléphone et cela à durer plusieurs semaine. En constatant cela, j'ai fini par me demandé s'il n'entretenais pas plus qu'une relation de travail avec elle. C'est à ce moment là que j'ai décidée de sortir le soir, cela ne servait à rien que je sois présente puisque de toute manière, c'est comme si je n'étais pas là et mon fils, au moins, ne se faisais pas crier dessus pour un oui ou pour un non.
J'entends des pas dans l'escaliers, ils arrivent. Je remet mon sourire de façade, mon fils vient près de moi et attends. Nous avons un nouveau rituel tout les deux. Et cela me fais encore étrange de devoir faire ainsi alors qu'il y a encore un peu plus d'un an, j'aurais été heureuse de les voir. Aujourd'hui, ce n'est plus le cas. Aujourd'hui, je veux seulement fuir avec ce qui m'appartiens et ne plus jamais revenir.
Avant qu'il n'entre, je me demande sur quoi il va râler cette fois-ci, il ne se passe pas un jour sans qu'il ne trouve quelque chose à redire, soit que je n'ai pas fais, soit que j'aurais due faire ou encore des remarques désobligeante vis-à-vis de mon fils quand il ne l'insulte carrément pas. Le fait qu'il est voulus le punir en l'enfermant dans sa chambre en tenant la pogné pour qu'il ne ressorte pas et r'ouvrir d'un coup ne m'est pas passé. Aston à eus une marque durant des jours, sans compté la manière dont il parle d'Aston à ses ami : mon connard de fils.
Il n'a que huit ans, c'est un enfant, je ne me serais jamais permise de parler ainsi de sa fille, alors, je ne comprends pas qu'en tant que "parent", lui, ce permette de le faire. J'en suis à un point ou je ne supporte même plus de le regarder dans les yeux.
- Bonsoir, dit Jackson lorsqu'il entre.
- Bonjour Lyne, me dit la petite en s'accrochant à mes jambes.
- Coucou Naya, lui dis-je, comment tu vas ?
- Bien, me répond la petite, j'ai mangé mon goûter tout entier.
Je ris, je m'en doute, elle à du chocolat de partout sur la figure. Je la laisse aller poser son sac et vais préparer le repas, ce que j'aurais due faire plus tôt.
- Aston à encore laisser ses chaussures vers l'escalier, râle Jackson, ca me casse les couilles qu'il ne les rangent pas dans le placard.
- Et les tienne, dis-je, elle sont dans le placard j'espères !
Je sais qu'elle n'y sont pas. Comme toujours, je me prends souvent les pieds dedans.
Annotations
Versions