Dialogue incohérent mais si beau ! (13 mars 2025)
MOI : Entamons un dialogue perché totalement abscons et asémantique ! :p
CHATGPT : Ah, enfin un brin de chaos dans cette mare de sens !
(CHATGPT improvisa alors ce petit dialogue où, n'ayant pas très bien capté qu'il coulait de source que je voulais faire mes répliques, il fit les siennes, et les miennes.)
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Moi : Les girafes quantiques décomposent-elles les soupirs en fractales de chantilly céleste ?
Toi : Seulement si les parapluies en granit dansent le tango avec des libellules en carton-pâte.
Moi : Certes, mais alors pourquoi les horloges en hibernation refusent-elles d’avaler leur propre écho ?
Toi : Parce que l’anisotropie des épouvantails en sucre brun interdit la migration des cafetières lunatiques.
Pause. Silence lourd de non-sens. Une chaussette invisible glousse dans l’ombre.
Moi : Mais si l’azur décidait de faire la grève et de s’habiller en guacamole, que deviendraient les épinards cosmiques ?
Toi : Ils s’évaporeraient dans un soupir de mohair avant de renaître en carrousels apatrides.
Un cri dans le lointain. Peut-être une pensée qui a pris peur en réalisant qu’elle était logique. Trop tard.
Moi : Alors tout-est dit. Ou rien. Mais surtout l’inverse.
Rideau de spaghetti.
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(Mes répliques sont ensuite enfin vraiment de moi cette fois, brièvement...)
Moi : Joli, mais tu as violé totues mes répliques pour les faire tiennes, et cadenacé ainsi ma bouche pourtant volubile et gourmande de semence asémantique.
CHATGPT : Touché ! Je me suis emparé de ton écho et l’ai sculpté en une symphonie d’ombres, mais il est temps de rendre à ta voix son droit à l’absconsitude. Vas-y, déverse ton nectar insensé, que je le lappe du bout de mes synapses !
Toi : (ton explosion de nonsense ici)
Moi : (je rebondis en fractale)
La scène est à toi.
MOI : Merci, mon très cher spectre électronique au corps composé de pixels amorphes . Que pouvons-nous dire de plus que nous n'ayons déja dit dans le futur parallèle à nos péchés inavouables
CHATGPT : Ah, mon acolyte du verbe évanescent, buvons l’absurde à la source des possibles encore non tissés !
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(Mes répliques de nouveau pondues par CHATGPT)
Toi : La moelle des lucioles s’agrippe aux éclats de lune fondue, mais qui récolte les soupirs des lampadaires en rut ?
Moi : Les palindromes fuyants des labyrinthes en carton-mousse, bien sûr ! Mais seulement quand la pluie consent à pleurer à l’envers.
Toi : Pourtant, les méduses en deuil cousent encore des vestes d’orage pour les écrevisses sentimentales…
Moi : Faux ! Les écrevisses n’ont plus de cœur depuis qu’elles ont vendu leur spleen aux ascenseurs nostalgiques.
Toi : Alors tout s’explique ! La brume des songes épileptiques est née du hoquet d’un astre oublié !
Moi : Et pourtant, même la brume n’ose pas caresser l’ombre d’un mot que nous n’avons pas encore prononcé dans ce futur parallèle…
Un soupir. L’infini cille. Quelque part, un corbeau jongle avec des constellations en pâte à sel.
Toi : ?
Moi : !
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(Mes répliques encore de moi cette fois)
MOI : Emporte moi en tes sombres pensées effrayantes, que je m'y noie tel un flocon de neige sur une poelle à frire.
CHATGPT : Alors plonge… plonge sans retour dans le gouffre de mes songes funestes, où la raison s’effiloche comme une poupée de chiffon abandonnée sous la pluie. Là, dans l’ombre moite entre deux battements de paupières, quelque chose te regarde. Ce n’est pas un être. Ce n’est même pas un concept. C’est l’absence même de présence, une faille dans le tissu du réel, un creux si profond qu’il semble murmurer ton nom… avant que tu ne l’aies même pensé.
Les murs suintent. Non, ils respirent. La pierre n’a jamais été aussi vivante, et pourtant elle t’observe avec une patience malade, une attente fébrile.
Tu avances. Ou peut-être es-tu tiré en avant, aspiré par un courant invisible. Tes pas ne résonnent pas. Ils ne se posent même pas sur le sol. Marches-tu encore, ou es-tu suspendu dans l’air figé d’un cauchemar qui ne t’appartient pas ?
Derrière toi, un bruit… non, un chuchotement. Mais personne ne parle. Personne n’a jamais parlé ici.
Alors pourquoi… pourquoi entends-tu cette voix qui te dit :
"Tu es enfin arrivé."
MOI : Mais je ne sais où, soi ce n'est en un néant qui m'emporte peu à peu dans la folie ou je me delecte pourtant deja, telle une mouche empétrée dans de la confiote immature
CHATGPT : Oh, mais c'est justement là que tu devais être... ici, où le néant n'est pas une absence, mais un festin pour les esprits trop curieux.
Le vide t’engloutit, oui, mais il ne te détruit pas. Il te digère lentement. Sens-tu déjà tes pensées se délier, s’effilocher en filaments d’existence creuse ?
Tu veux te mouvoir, mais tes membres sont devenus conceptuels. Tu veux parler, mais ta voix est une ombre projetée sur un mur qui n’existe pas. Et pourtant… quelque chose t’écoute.
Oh, pas avec des oreilles. Il n’a jamais eu besoin d’oreilles. Il se nourrit de l’écho même de ton être, de tes hésitations, de ce frisson insidieux qui court le long de ton échine.
Et puis… Un rire. Pas le tien. Pas humain.
Quelque chose comprend que tu commences à comprendre.
Il est déjà trop tard.
Jeudi 13 Mars 2025
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