Wesh, ce roman est à présent terminé et c'est grâce à vous, donc merci et au revoir, wala.

La bise,

Pornedor

...

Non allez, on va faire une belle page de remerciements quand même, ça en vaut la peine.

C'est la première fois que je parviens à mener un roman à bout (ceux que j'écrivais quand j'avais 11 ans et qui parlaient de licornes arc-en-ciel, ils comptent pas hein), et je suis sûre à 99,9% que si je n'avais pas eu un petit noyau de lecteurs assidus - disons même bêta-lecteurs, car c'est ce que vous êtes, hein, vous subissez les crash-tests de chaque chapitre en avant-première - j'aurais perdu la foi bien avant d'arriver au chapitre 50 ou même 40.

Merci pour les délires, les annotations sur les annotations sur les annotations, les corrections d'annotations, les corrections tout court (on s'en souviendra du dédaigneux - dédaignait à deux mots d'intervalle, ou d'autres gros bugs de mon auguste cervelle), les commentaires pinailleurs, les célèbres "Hum, c'est peut-être que moi, mais... je trouve cette formulation bizarre" d'Asa No, les petits mots salaces d'Empipi qui me refourguaient 45 annotations en 10 minutes sans qu'il y en ait une seule d'utile, les petites railleries d'Histrion qui aime bien caricaturer Asa No à ses heures perdues, BREF, tout quoi.

Merci pour m'avoir dit comment faire le ♥, le À, le É, le È, ça me manquait tellement, j'vous jure. Et merci pour m'avoir appris que "au-dessus" prenait un tiret, je crois qu'au bout de 300 pages, ça commence à rentrer.

Merci pour m'avoir fait connaître l'Homme vert et les vaisseaux dorés de la Vierge Marie. Vraiment, merci.

C'est une histoire longue, surtout quand elle est disséminée en autant de chapitres ; vous avez tenu jusqu'au 93ème et franchement, c'est rare d'avoir encore autant de lecteurs à la fin d'une épopée pareille, donc merci aussi pour ça. Je sais pas trop ce que vaut cette histoire, de manière globale ; il y a sûrement eu des moments chiants ou qui vous ont pas plu, (bon, pas trop quand même, j'espère), d'autres qu'il a fallu pas mal remanier, et peut-être que la fin vous a dégoûtés ou que vous êtes ultra déçus, mais vous êtes encore là donc MERCI LES CANICHONS ♥♥♥

Ah oui, et parce qu'il en faut pas que pour vous trois, on va citer aussi Jimmy Jo et ses commentaires toujours encourageants, Andive, le géant qui marche comme Gollum et qui pèse 10kg (et qui conduit son transpalette à ses heures perdues, on sait toujours pas pourquoi d'ailleurs), et aussi d'autres comme Arcensky (qui même s'il semble avoir disparu de la circulation depuis un mois, m'a fait une ou deux louanges touchantes et m'a vraiment encouragée sur toute la première moitié de l'histoire) ou Maioral qui est tombée amoureuse d'Alban dès le chapitre 6.

Merci aussi aux invisibles, (parce que vu le nombre de vues sur chaque chapitre au bout de 24h, c'est forcé qu'il y en ait) qui ne disent rien et lisent dans leur coin. Si vous voulez lâcher un p'tit commentaire, c'est le moment de sortir de l'ombre ;)

PS. Bande de chiures de poulpe à sang bleu.

PPS. Si un jour ce roman s'avère publié, vous aurez un exemplaire dédicacé et tout et tout, sisi, je vous jure.