Mars

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Je me réveille. Je vois un plafond blanc. Mon lit est plus confortable qu'à l'ordinaire. Ma vue est floue. Puis elle se rétablit et je vis plus clairement. Je me redressai mais me recouchai aussitôt. Un mal de tête me secoua. Puis j'entendis un bruit de pas. Je vis près de mon lit une personne qui avait une blouse blanche.

-Bonjours, Noélia. Tu as de la visite.

Ma tête difficilement se tourna vers les nouveaux venus les yeux toujours fermer. Elle reconue des sillouétent familliérent. Catia. Elle en était sur. Deux autres personnes familliérent se tenait devant elle.

-Elle fait des progrès au niveau mouvementsment, mais on ne sait pas si elle se rétablit.

— Merci, docteur Lorence. Vous avez fait votre maximum.

— Non.

Le docteur avait de la réticence dans sa voix.

— Il faut que vous veniez plus souvent ou que vous restiez plus longtemps à lui parler.

— Mais c'est impossible.

— Pourrais-je parler seule à seule avec Noélia, s'il vous plait ?

C'était la voix de Catia.

— Bien sûr, allons parler devant la chambre.

Le docteur Lorence et les deux autres personnes dont Noélia ne se souvenait pas partirent hors de la salle et fermèrent la porte. Catia s'approcha de moi et s'assit devant moi, ma tête suivant son trajet.

— Tu t'améliores… dit la voix de Catia qui tremblait un peu.

– -Ca…cat…cati…catia.

– Noélia.

Cette fois, elle pleurait. Progressivement, j’essayai d'ouvrir les yeux.

-Do...Docteur! Docteur Lorence!

La porte s'ouvrit. Je reconnus soudain mes parents qui avaient dû accompagner Catia. Le docteur arriva vers moi.

— Elle se réveille.

— C'est un miracle ! Son réveille ! ! ! ! ! !

— Si dès demain elle se relève, elle pourra rentrer.

— Merci, Docteur Lo… Looooreeeennnceeeeeeeee ! Bouh ouh ouh !

— Pas de quoi, madame, c'est mon métier.

Le docteur Lorence leur dit qu'il fallait que je me repose. Ils quittèrent donc la chambre avec un peu de regret.

Le lendemain, le docteur me dit que je devais rester encore un mois pour me rétablir plus vite. J'ai suivi son conseil. La veille de mon départ, Lorence me dit que j'avais le droit de me balader dans l'hôpital. J'arrive à me lever et à marcher maintenant. J'étais partie du côté des chambres qui ont subi des blessures graves en voiture. Soudain, dans une des multiples chambre,s je vis la silhouette familière. George…

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