Maison 3
Elle avait compris que ce rangement, fallait que je le fasse seul, c'était pour moi, pour donner un coup de ménage total à ma tête. Et, je mis à l'œuvre, sous une chaleur à crever, qui s'installa, bien trop vite, à mon goût.Je me mis à finir le nettoyage du salon, poussière, et reste caché qui traînait un peu partout. Dont un boxer à la couleur vraiment douteuse. Aspirateur, toile, astiquage. Après, sûrement, une bonne heure, je regardais par la baie vitrée, elle était là, allongée sur un transat, à lire ce livre policier. Et, je ne pus m'empêcher d'aller chercher un peu de motivation pour la suite. Elle était entièrement absorbée par le livre, elle ne me vit pas me mettre devant le transat, pas si quelconque au final, ce roman policier, il semblerait. Mes doigts, pinçant sa cuisse, la fit sursauter et crier.
- Pardon, maitre, j'étais absorbée.
- Face au mur, jambes écartées, bras tendus, petit contrôle pour mon plaisir.
Elle s'exécuta, sans rechigner, et se positionna, comme demandé. Elle n'avait pas vu que j'avais, entre les mains, l'outil le plus dominant de tous les maitres, la spatule en bois de cuisine. Mais, elle la sentit, très bien, au premier coup sur ses fesses, sans la prévenir. Son cri était un régal à mes oreilles, après plus d'une heure de ménage. Tout comme la marque rouge naissante, là où j'avais frappé, était un plaisir visuel, tout à fait, excitant. Dans une grande délicatesse, je me collai derrière elle et malaxai sa poitrine, en passant ma main, sous son soutien-gorge, pinçant ses mamelons gonflés de plaisir. La faisant gémir, je crois que je me lasserais jamais de ses petits cris. Puis, glissai une main, sous sa culotte, son sexe était trempé.
- Excitée, soumise ?
- Depuis ce matin, maitre.
L'idée germait vite dans ma tête, elle allait attendre un long moment, sa libération, j'allais jouer sur son orgasme, le plus longtemps possible.
- Sucer, ça t'excite ?
- Oh oui, maitre.
Son enthousiasme ne put être caché, tout comme ses légères contractions, alors que je me mis à la masturber.Je glissai ma tête à côté de son oreil.
- J'adore savoir que tu es excitée, j'adore ta chatte, ta mouille, j'aime t'avoir à ma disposition. Tous les matins, tu devras me présenter ta chatte à mon réveil, que je la sente, la lèche. Tu es ma chose et je vais en profiter.
Son souffle était court, ses gémissements naissants, je sentais tout son corps se contracter, je retirai, soudainement, ma main et frappa ses fesses d'un coup, avec l'ustensible en bois, la faisant crier.- Tu peux retourner lire.Sans me cacher, je léchai mes doigts, l'ayant masturbée et sentis l'odeur de son intimité, dans son regard, une frustration totale et non dissimulée. Elle se remit sur son transat, avec le livre.
- Tu veux de l'eau ?
- Volontiers, maitre.
Je lui amenai un grand verre d'eau fraiche, avant d'attaquer la partie que j'avais le moins envie de faire, ma chambre. En ouvrant la porte, l'odeur de renfermé, d'alcool séché et comme Estelle avait si bien dit, de sperme, était bien présente. J'ouvris en grand la fenêtre. Je prit sans ménagement, tous les draps, vêtements, direction le garage et plus qu'à enchainer les machines. J'en avais déjà fait deux et à vue de nez, il en réstait bien trois. Faire la poussière était effrayant, tout autant que nettoyer les taches un peu partout. Je dormais vraiment ici ? L'idée m'effrayait rien que d'y penser. Je crois que le pire, c'est que je ne m'en rendais pas compte. C'était dur d'accepter ce que j'étais devenu. J'entendis le bip de la machine à laver. Ça devait faire une heure que je nettoyais ma chambre. Je pris les draps de la machine pour les étendre sur la terrasse. Qui disait terrasse disait aussi ma soumise. J'en profitai pour détacher le soutien-gorge d'Estelle, poser deux pinces à linge sur ses mamelons et me délecter des talents de sa bouche sur mon érection, qui ne faisait que grandir en voyant ses courbes. Je l'autorisai à se masturber, mais pas à jouir. Elle retira vite sa main de sa culotte, comme si elle brûlait d'un plaisir que je lui refusais. Quant à moi, je ne me privais pas et déversais mon plaisir sur sa poitrine, lui refusant de se laver ou de s'essuyer. Il y avait quelque chose de plaisant dans cette domination, de la voir ainsi recouverte de mon foutre.
- Maitre, j'ai envie de faire pipi.
- Le jardin semble, bien, assez grand, pour le faire, sous mon regard.
J'avais cru comprendre une certaine gêne liée aux toilettes chez elle. Elle baissa sa culotte, un peu honteuse, et s'accroupit. Elle resta ainsi un long moment avant que le fluide ne se mit à couler Son visage s'empourpra et cela n'était pas lié à la chaleur étouffante de la journée.. Elle se releva et remonta sa culotte. Mon kink pour les fluides intimes ne put passer à côté des quelques gouttes qui tachaient sa culotte déjà bien imbibée de mouille.
- Bien, je vais continuer mon ménage, interminable !
Dans la salle de bain et les toilettes, j'étais armé d'une panoplie de produits ménagers pour tout désinfecter et faire disparaître les taches de couleur douteuse. C'était très satisfaisant de voir le miroir de la douche redevenir transparent. Une nouvelle heure a défilé si vite que c'en était affolant, je trouvais. Tout ce ménage, tout ce laisser-aller que j'essayais de chasser. Sur la terrasse, le linge était déjà sec.J'ai pris mon nouveau médicament.
- Baisse ta culotte et écarte les jambes. Elle s'est exécutée. J'ai enfoui mon visage dans son intimité, je l'ai sentie, je l'ai léchée, je l'ai goûtée, puis je me suis relevé. Ce médicament était des plus efficaces pour le moment.
- Plus que retirer les draps et normalement, la maison ressemblera à quelque chose.
Changer les draps, je préfère ne pas dire depuis combien de temps je n'avais pas fait cette action, mais ma chambre ressemblait de nouveau à une chambre d'adulte normalement constitué. J'avais un sentiment de fierté stupide, ma maison ressemblait à quelque chose, au moins le garage qui allait nécessiter quelques allers-retours à la déchetterie. Pour le jardin, je devais mon salut à la canicule qui avait tout tué, donc l'herbe n'avait pas poussé. En revenant sur la terrasse, elle avait toujours la culotte baissée. Je ne lui avais pas dit de la remonter, je suis tête en l'air parfois. Elle lisait son livre, une pulsion de jouer avec elle me parcourut. Je voulais l'entendre jouir, je voulais voir ses jambes trembler, je voulais jouer avec ma soumise.
- Pose ton livre, je veux jouer.
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