Maison 5
Elle avai eut le temps, alors elle en a profité. Volets fermés, lumière tamisée et musique en fond le salon etait devnue tres cocooning.
- Jolie soumise, tu n'as pas chômé.
- J'ai un peu fouillé pour trouver des draps, des plaids et d'autres petits trucs pour fair une sorte e matela, ça ne vous gêne pas ?
- Tu es ici chez toi.
- J'ai pris l'initiative de commencer par la cire intime à fair chaufffé.
- C'est un bon choix, tu vas pouvoir admirer la grâce de ton maître dans l'exercice de l'épilation des fesses.
- Je peux aller dans la chambre en attendant ?
- Non, car pendant le temps de mon épilation, j'avais en tête que tu m'offres un spectacle de masturbation, que tu me montres ta façon de te branler. Prends tout ton temps.
- Avec plaisir, maître.
S'il y a bien quelque chose de pas très dominant, c'est de s'épiler les fesses entre des positions douteuses et d'attendre que la cire sèche. C'était pas le moment où j'etais le plus en confiance. Allongé par terre à attendre que la cire sèche, heureusement, le spectacle qu'offrait Estelle faisait agréablement passer le temps. Elle parcourait tout son corps de ses mains habiles et faisait de petits gémissements bien audibles quand elle frôlait ses tétons ou son sexe.
Bien sûr, la partie la moins drôle est d'enlever la cire une fois sèche, ce n'est pas spécialement le meilleur moment de la vie, mais je n'avais pas perdu la main. La suite, pubis, épaules, fut plus rapide et beaucoup plus plaisante que les fesses, tant en position absurde qu'en douleur. Et la température montait en flèche pour Estelle, ses mains se concentrant principalement sur sa poitrine et son clitoris, son souffle devenant plus saccadé au fil du temps.
La dernière bande de cire de mes épaules enlevée, j'étais content de me dire que je ressemblais enfin à mon moi normal, si tant est qu'il y ait une normalité quelque part.
- Ça chauffe, soumise ?
- Oh oui, maître, c'est terriblement excitant de vous révéler ma façon de me masturber.
- Un pincement de téton d'une main et de l'autre tu écartes tes lèvres avec deux doigts et un doigt au centre sur ton clitoris ?
- Exactement, maître.
- Sur dix, tu te situes où ?
- Huit, maître, la pénétration et la masturbation, vous avez relancé mon corps tout entier.
- Interessant, on va passer aux crèmes et masques.
Je lui montrai une crème pour la peau, un masque pour le visage, une pour l'hydratation et une autre pour terminer l'ensemble.
- J'adore les hommes qui prennent soin d'eux, c'est excitant, je trouve.
- Au travail, alors, lâche un peu ta chatte.
Ce regard de frustration était magique, la voir abandonner son plaisir, devoir obéir.
- Dois-je me laver les mains, Maître ?
Pour seule réponse, je pris sa main, la masturbant et la guidai vers ma bouche. De mon autre main, je m'introduisis en elle, elle était inondée.
- Pieds, mains, anus, sexe, épaules, visage... Tu as du travail.
- J'adore ce genre de travail.
Je m'allongeai sur le tapis de fortune préparé par Estelle, et elle prit les crèmes et commença par appliquer le masque sur mon visage avec une douceur impressionnante. Dès que son corps passait à portée de main, j'en profitais, elle en jouait, se positionnant de façon à être touchée. Puis, elle utilisa une crème hydratante pour les pieds, où elle me fit un sorte de massage divin, tout comme pour mes mains.
- Wow, tu as été masseuse dans une autre vie.
- J'ai un diplôme d'ostéopathe, à l'origine, je ne vous l'avais jamais dit ?
- Ah oui, ça me revient, c'était il y a longtemps.
- Oui, en effet, j'en parle pas souvant non plus. Le problème, ce n'était pas le travail, c'était les clients, je ne suis pas faite pour ça. J'ai fait une reconversion data analyste. Personne pour m'embêter derrière mon ordinateur.
- Du coup, je crois que j'ai un peu mal au dos.
- Je regarderai tout ça, maître.
Avec des cotons et sa délicatesse, elle enleva le masque de mon visage, puis appliqua la crème en appuyant de façon divine à des endroits que je ne saurais décrire, mais c'était magique.
- D'autres talents secrets ?
- À vous de les découvrir, maître, avec le temps.
- Je m'y attellerai alors.
Elle posa un coussin sous mes fesses.
- Pour atteindre vos fesses avec la crème.
- Je m'en doute bien.
Elle appliqua la crème doucement sur tout mon sexe et mon pubis. Je ne saurais dire combien de temps ça a duré, mais pas assez longtemps. Le passage de ses doigts sur mon anus était un délice de douceur, et elle vit mes frémissements et en profita pour faire plusieurs de passages.
- Voilà, maître, vous voulez que je regarde votre dos ?
- À vrai dire, on a le temps plus tard pour ça, j'avais en tête après te faire monter à neuf, tu t'es beaucoup occupée de moi, prends ma place à quatre pattes.
Je me levai et lui laissai la place pour qu'elle se positionne, ce qu'elle fit rapidement. J'en profitai pour prendre divers ustensiles de cuisine, la seule et unique spatule en bois, une roulette de pâtisserie pour faire des trous normalement, ainsi qu'une spatule en aluminium. Il faudra vraiment que je m'équipe, mais ça fera largement l'affaire.
À côté d'elle debout, j'avais un sentiment de puissance relativement satisfaisant, tout comme le bruit sec de la spatule sur ses fesses. Sans prévenir. Un, deux, trois, quatre et cinq coups de suite, la faisant lâcher des cris qu'elle ne pouvait retenir.
- La douleur, je ne connais pas trop, je vais apprendre.
- Bien, Maitre, avec plaisir.
- Guide-moi.
- Le cuisses, maître.
Avec la spatule, je claquai ses cuisses, la gauche et la droite.
- Comme ceci ?
- Oh oui, maître, dit-elle, le souffle court.
Je recommençai deux fois, ses cuisses rouges tremblaient, faisant couler un long filet de plaisir intime de sa chatte.
- D'autres lieux ?
- Les mollets.
Cette fois, avec la spatule en aluminium plus rigide, je marquai sa chair sur ses mollets sous ses cris de douleur.
- Les bras, je suppose aussi.
- Oui, sur l'avant-bras et le biceps.
Après quatre coups, elle s'effondra dans un cri de douleur mêlé à un gémissement de plaisir, mais elle se remit en position rapidement
- Le dos, en évitant la colonne, maître.
Ça semblait logique, tout comme ses cambrures à chaque impact de la spatule en bois. Son corps suintait de transpiration, et Estelle virait au rouge, haletante. Puis j'essayai doucement la roulette crantée de pâtisserie sur ses fesses et son dos, ce qui la fit crier d'un petit cri strident. Je ne pense pas qu'elle s'y attendait.
- Comment tu te sens ?
- Je suis à dix mètres, effleurez mon clitoris et j'explose.
- Et si je t'encu... te sodomisais plutôt ? Les insultes ne sont pas loin, bientôt peut-être.
- Dans ce cas, il faudra rajouter le 11 à votre échelle.
- Tu brûles ?
- Oui, maître, il y avait un côté supplice dans sa réponse.
J'accueillis cette réponse avec une salve de fessées avec mes mains, son corps était brûlant.
- Il te reste 3 heures à tenir sans jouir, je le crains.
- Bien, maître.
- Par contre, ton corps est un appel sans retenue a assouvir mon plaisir.
Je pris du lubrifiant et le fit couler sur son anus.
- Sans grande délicatesse, je saisis ses hanches derrière elle, positionnai ma queue devant son cul.
- Violent ou doucement, soumise ?
- Violent, maître.
À cette phrase, j'enfonçai ma queue en elle, sentant l'étau s'élargir au passage de mon gland noyé de lubrifiant. Le plus excitant était clairement ce moment de pénétration, cette instant où je rentrais en elle sous ses cris et gémissements. Je fis doucement de grands va-et-vient brutaux, claquant mon corps contre ses fesses.
- Maître, mon clitoris, je vous en supplie.
- Je tirai ses cheveux violemment pour amener mon visage près du sien, monsexe entièrement dans son cul.
- 23 heures, soumise, 23 heures.
- Maître, je veux jouir.
- Je retirai violemment mon sexe et lui mis une série de fessées plus violentes que je ne l'aurais souhaité.
- Tu ne veux rien, tu veux juste être une soumise.
- Oui, maître, pardon, maître.
Et je me remis à la sodomiser, mais seulement pour quelques instants, car la pénétration, une fois l'instant de prise de possession de son corps passé, je trouvais cela plutôt inintéressant les vas-et-viens. Le plaisir de voir son cul écarter en sortant mon sexe me fit par contre monter d'un coup mon excitation, puis le voir se refermer. J'écartai ses fesses de ma main pour profiter du spectacle. Elle n'était rien à cet instant, juste un jouet soumis. Puis d'une main,je l'enculais avec deux doigts, et de l'autre, je me mis à me masturber sous ses gémissements. Mon plaisir arriva vite, et je retirai mes doigts pour laisser ses fesses écartées, et je me déversai dans son anus dans un râle de plaisir.
Je me rendis compte que je transpirais comme jamais, elle aussi. Je me dirigeai vers la table où se trouvait son téléphone, l'allumai et vis sa chatte en fond d'écran.
- Encore 2 heures et demie avant ta libération, soumise.
- Bien, maître.
Je pris sa culotte qui traînait sur la banquette et essuyai ses fesses avec.
- Ouvre la bouche.
Je lui mis sa culotte souillée dans la bouche.
- Reste ici jusqu'à ce que je t'autorise une douche, pour avoir dit "je veux jouir".
Je m'assis sur la banquette à côté, regardant Estelle à quatre pattes, son corps rougi par les coups de spatule, sa culotte souillée pendante de sa bouche.
Ça aurait pu être un moment plaisant de domination avilissante, mais un détail vint quelque peu gâcher l'instant. Mon esprit était rempli de pensées sur cette banquette.
C'est comme ça que tu comptes me faire partir de ta tête, en utilisant cette jeune fille ? Je ne suis pas sûr que ça marche vraiment, regarde-toi, tu n'es rien, juste un connard qui se croit puissant parce qu'il a pétée le cul de cette femme. Tu crois qu'en l'humiliant ainsi, tu vas être dominant ? Tu n'es rien, va chercher une bière, il doit sûrement y en avoir quelque part dans cette foutue maison. C'est tout ce qui tu merite un biere un cacheton et rester a rien foutre sur ta banquette, tu ne merite pas d'avoir cette femme que t'abuse pour essayer de rasurrer ton ego fragile d'homme.
Je pensais que l'addiction mettrait plus de temps avant de frapper, de venir me hanter. C'est quelque chose que je me disais souvant : j'arrête de boire et les médicaments quand je veux. C'était prétentieux. Ce qui m'a le plus frappée, c'est cette rapidité avec laquelle l'obscurité a envahi mon esprit, et sa capacité à se cacher pour mieux revenir.
Un gémissement, un frisson dans le corps d'Estelle, me fit sortir d'un songe passager. Ses jambes tremblaient et un léger fluide coulait de ses jambes sur les draps, accompagné d'un nouveau gémissement étouffé par sa culotte. Le spectacle dura de longues minutes, Estelle jouissant à quatre pattes, son corps subissant les affres du plaisir qu'elle ne parvenait plus à dissimuler. L'écoulement de son sexe, ne pouvant contenir son excitation, offrait un spectacle divin à mes yeux.
- Orgasmé cérébral, soumise.
Elle acquiesça de la tête. L'ombre disparut de mon esprit, chassée par la fierté que j'éprouvais à bien jouer mon rôle de dominant.
- Enlève ta culotte et allonge-toi, ça te fera du bien, je pense.
Elle s'exécuta sans discuter.
- Je crois que malgré le non-respect de l'heure limite, un orgasme cérébral fait un bien fou à mon ego.
- Pardon, maître, je n'ai pas pu retenir les vagues de plaisir.
- Je ne t'en tiendrai pas rigueur. Décris-moi ce qui s'est passé, ce que tu as ressenti pour en arriver là.
- Depuis le début ?
- Depuis quand tu le souhaites, et tu peux parler librement, vulgairement si c'est plus facile pour toi.
Je me levai, pris un plaide qui traînait et la recouvris. Puis, je me dirigeai vers la cuisine pour lui chercher un verre d'eau. Elle se redressa pour boire une gorgée, puis se rallongea sous le plaide.
- Ce matin, je me suis réveillée avec mon corps en feu. C'est ça qui m'a réveillée, en fait. Je ne sais pas si c'est le manque d'anxiolytiques, mais quelque chose me manquait et mon corps voulait combler ce vide. Vous dormiez encore, c'était terrible. Je sentais mon corps couler de transpiration. Je suis allée aux toilettes en me disant que ça se calmerait, mais non. J'ai essayé de me distraire avec mon téléphone, mais ça n'a pas marché non plus. J'essayais de concentrer mes pensées sur autre chose, ne pas penser aux médicaments. Quand vous vous êtes réveillé, il me fallait quelque chose pour chasser cette envie de médicaments. Je me suis jetée sur votre sexe.
Elle rit nerveusement.
- Oui, comme vous, je chasse le manque par le sexe. En addictologie, pendant mes cours de médecine générale pour devenir ostéopathe, on nous disait : "On ne soigne pas une addiction, on la remplace". Ça m'a fait tilt quand j'avais votre queue dans la bouche. Ce n'était sûrement pas le meilleur moment pour y penser, je suppose. Mais je me suis dit, je dois me jeter corps et âme dans la sexualité pour cacher l'autre addiction. Bref, j'avais l'esprit qui tournait à plein régime, même avec votre bite dans la bouche.
Elle prit une gorgée d'eau.
- Le fait que vous mettiez votre main sur ma tête m'a fait penser : "Laisse-toi aller, sois la salope que tu veux être, c'est ton maître qui gère, laisse-toi guider, ne pense à rien, donne-toi". J'ai laissé aller tout mon esprit à ma soumission, et c'était plutôt efficace, le manque s'est un peu dissipé. C'est pour ça que je voulais venir aux course, je ne voulais pas succomber bêtement. Et j'avoue que tous les petits gestes que vous faisiez étaient très efficaces pour mon rôle de soumise : vos mains sur ma chatte dans la voiture, le glissement de vos doigts sur mon cul pendant les courses. Tous ces petits détails me ramenaient à mon rôle de soumise et étaient comme des éclats de lumière dans mon esprit.
Elle prit la couverture et s'assit par terre.
- En fait, plus le manque se dissipait, plus mon excitation montait et plus je me laissais aller. Le fait que vous me laissiez libre avec mon livre était vraiment plaisant, vous n'étiez pas collé à moi, ça me laissait un espace salutaire. Et vos passages à chaque fois rajoutaient une couche d'excitation. J'ai totalement succombé à mon rôle de petite salope, désolée, j'adore m'appeler salope quand j'ai la parole libre.
- C'est bien pour ça que je t'ai laissée libre de parler, c'est plus simple de s'exprimer.
- Oui, c'est vrai. J'ai succombé quand vous avez parlé librement de votre plaisir et de votre kink sur ma chatte. Vous voir sentir ma culotte, mouillée et pleine de pisse de la punition d'avant.
Elle eu un grand souri soudaint
-Petite parenthèse, j'ai adoré que vous m'obligiez à pisser devant vous, c'était tellement humiliant et régressif, un moment savoureux de soumission pour moi. Le parfait dilemme entre aimer être humiliée et me sentir salope.Et le fait de remettre ma culotte sans m'essuyer m'a fait me sentir comme une chienne dégoûtante jubilatoir.C'etait court mais vraiment intense pour moi.
Elle semblait fière de son aparté.
-Bref, je me disais, le fait de vous voir sentir ma culotte m'a fait me dire : "Mon maître assume totalement, alors je vais faire pareil". Mince, quoi, si vous prenez votre pied à assumer vos kinks, moi aussi alors ! Et là, j'ai lancé un mécanisme d'excitation que je n'ai plus pu arrêter, je crois. Vous m'avez excitée, vous avez joué avec moi.
Elle finit son verre, un regard amusé aux lèvres.
- Après, vous m'avez détruite, vous m'avez fait mal, vous m'avez fait crier et vous m'avez pétée le cul. C'était terriblement excitant, j'étais cette salope que je rêve d'être, juste à subir, à être à vous. Au moment de la sodomie, je savais que j'allais jouir, pas avec votre bite, non, mon esprit était ailleurs, plus rien ne pouvait l'arrêter. J'étais dans mon espace de soumission vulnérable. Quand j'ai senti vos mains m'écarter les fesses, je me suis dit : "Il adore me voir détruite, il adore voir mon cul écarté, je suis ça chose, j'adore ça, tout simplement". Puis La culotte dégoutante dans ma bouche, vous qui me regardiez depuis la banquette, le foutre acre coulant sur ma langue, j'ai explosé cérébralement, et j'ai joui. C'était magique, c'était ce que je cherchais, je crois. Vous avez fait fuir mon manque l'espace d'une journée, je ne savais pas que c'était possible. Même si je n'ai pas respecté l'horaire, désolée, maître.
- J'aurais jamais cru que ça te fasse tout ça.
- Désolée, je me suis égarée dans mon monologue.
-Et tu as bien raison, il faut parler sans crainte, ça aide. Tu sais, je ne t'ai pas punie pour l'heure limite de ton orgasme, simplement parce que quand je me suis assis, tous les doutes sont revenus. Une simple accalmie et ils sont revenus à la charge. Te voir jouir les a balayés d'un coup. Et tout ce que tu viens de me dire les a encore éloignés. Mais clairement, le moment qui va être dur, c'est demain au travail.
- Oui, je l'appréhende énormément, être seule à la maison.
- Déjà, faisons les choses une par une. Va prendre une douche ou un bain, ça te fera du bien, je pense.
- Oui, faisons les choses dans l'ordre, désolée, j'ai sûrement souillé la couverture et les draps de foutre sortant de mon cul.
Elle marqua une pause, un doute la traversa.
- On peut faire une petite pause sur le plan sexuel, je crois que j'ai besoin d'espace personnel pour quelques instants.
- C'est toi qui choisis quand le jeu est en place ou non, c'est toi la maîtresse du jeu en SM.
- Merci, je vous dirai quand mon corps sera à nouveau prêt pour votre langue.
- Prends tout ton temps.
Elle se leva, emmitouflée dans le plaide, prit le livre policier et se dirigea vers la salle de bain.
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