Fleur bleue
Trop douée, ton chérie !
Première fois avec un homme et je suis trop contente du résultat !
Balèze, ton homme.
J'ai bien fait de t'écouter :)
Et voilà comment se faire voler sa clientèle ! Après seulement une semaine à travaillerà deux Maîtres avait conquis ses nouvelles clientes que je lui avais envoyées. Et la plupart m'ont envoyé un message dans la foulée pour me dire à quel point il est doué. Oui, je sais, merci, c'est le mien, non mais. Une semaine et Maître a conquis les ongles, les soins du visage, l'épilation des jambes de ces dames.
Là, on peut plus faire semblant, on est lancés à temps plein avec notre salon improvisé dans mon appartement. Une semaine où heureusement, Maître est un maniaque du rangement et de l'organisation. Il a réussi à caler tous les rendez-vous comme il faut, à ranger mon bordel, et à faire en sorte que rien ne prenne feu. Moi, j'étais au marketing et accessoirement, quelques allers-retours dans notre chambre donjon SM. Enfin, on pouvait souffler, tout etait lancé, et il n'y avait plus qu'à travailler !
Mais un travail où le matin on ne se disait pas "putain, faut y aller". Non, le matin, on regardait le planning, on préparait le matériel. Des matins où on était trop contents d'aller au boulot. On voulait que notre entreprise marche, on n'avait pas vraiment envie de retourner à un boulot à la con derrière un PC à remplir des tableaux Excel aussi utiles qu'un couteau en plastique. On était accaparés : boulot, soumission, dodo !
Objectif : faire grimper le chiffre d'affaires, car bon, c'est quand même le nerf de la guerre, la thune. Pour ça, fidéliser une clientèle, avoir de bons retours et lancer la machine. Après une semaine, Maître a fait un tableau d'amortissement, un calcul temps-client-thune. Comme d'habitude, on a fait les choses dans le mauvais sens. On a commencé seulement maintenant à regarder combien il faudrait de chiffre d'affaires pour vivre de notre société. En vrai, c'était pas si pire, surtout grâce à l'ostéopathie. On s'est mis en objectif, on verra dans six mois et on ajustera après. Ça nous permettait d'avoir une bonne visu des rentrées d'argent et des dépenses.
Ça, c'est sûr, on n'a pas fait d'école de commerce, mais rien à foutre, on profitait de notre petit nuage pour le moment. La seule chose où on est sûrs, c'est qu'on va pas lancer une franchise bien-être !
Euh, je sais pas si je peux te demander ça, mais il fait le maillot, ton homme ?
Ah oui, une semaine pour un maillot, je m'attendais à plus long, il est vraiment bon, Maître. Parfait, il va faire rentrer de l'argent. Je vais le fair bosser non mais! On avait mis qu'une règle pour notre entreprise : deux jours de repos consécutifs obligatoires pour nous. On avait choisi dimanche, lundi. Ma plus grosse crainte, c'est qu'on se noie dans notre entreprise en voulant toujours faire plus et qu'on se perde de vue.
Je ne veux pas qu'on soit entièrement perdus dans cette entreprise, je veux garder la soumission comme socle de nos liens intimes. Et si on fait que travailler, c'est plus compliqué pour l'intime et la vie à deux. J'ai besoin de cette bulle de foutre et de cyprine entre nous deux. J'aime notre cocon où on est que nous deux. Depuis quelque temps, on a renoué contact avec des amies perdues de vue, fait quelques soirées. Mais le social et nous, c'est pas notre point fort, et j'aime surtout nos momment a deux où je peux m'exprimer librement sans crainte. J'ai terriblement besoin de ses moments. Ca peut paraître égoïste, mais j'ai besoin tous les jours d'être dans mon rôle de soumise. Et pour ça, il me faut des moments avec Maître.
Je commence à composer ma vie différemment être femme, directrice est un rôle que j'adore avoir, mais j'ai aussi envie d'être une salope protégée par mon Maître, et Maître m'a fait comprendre qu'il avait besoin de ces moments aussi. On a dû trouver des compromis, la cuisine a été réduite à un énorme batch cooking le dimanche matin pour la semaine pendant que je faisais le ménage. Maître m'a dit qu'il allait faire des efforts sur sa maniaquerie de nettoyage et me laisser faire sans avoir trois cents remarques sur comment faire.
On allait tous les deux devoir composer avec nos personnages de patron et notre vie SM et ne pas se perdre dans la masse de travail. Maître en est tout à fait conscient, mardi était un rush pas possible avec trop de rendez-vous, je peux pour assurer que mercredi matin, Maître était en manque de sa soumise, je l'ai bien senti. J'ai failli être en retard, un sacré bouffeur de chatte compulsif mon Maître. Sur le dos, à quatre pattes et à califourchon, Maître voulait sa dose d'hormones et de cyprine et en grande quantité ! Il a sa façon à lui de me montrer que je lui ai manqué, pas désagréable du tout. Surtout que de 15 heures à 16 heurs, il n'y avait pas de clientes et jusqu'à 18 heures, que des clientes pour Maître.
J'ai passé la première heure suspendue à la balançoire en cuir à me faire fouetter, fesser, et brûler par de la cire. J'ai passé quarante minutes de douleur, puissante, brûlante, piquante, attachée en appesanteur. Se débatre dans le vide et vain, donnant une impression d'impuissance terriblement puissante. Surtout que Maître a développé un certain sadisme jouissif pour ma douleur. Attachée, les jambes bien écartées, quatre pinces en acier sur mes lèvres intimes écartant mon intimité entièrement à la merci des coups de cravache sur ma chatte. La douleur qui se propage, mes gémissements et surtout l'incapacité de pouvoir frotter là où Maître frappe, juste obligée de subir la sensation de douleur sans avoir la moindre solution pour effacer la douleur. Juste subir, et prendre mon pied.
Être face à cette impuissance, c'est un plaisir que Maître m'offre de plus en plus ces derniers temps et c'est vraiment puissant, l'aspect entraver où je n'ai aucun pouvoir sur ce qui m'arrive, je peux juste subir et m'abandonner à la confiance totale que j'ai en Maître. La balançoire suspendue est vraiment l'entrave la plus joussive pour moi tellement je me sens démunie de tout mouvement.
Avant sa premiere cliente de l'après-midi, Maître m'a fait basculer en arrière doucement, la tête vers le bas.
- Pisse, salope, et bouche bien ouverte.
Il a posé sa main au-dessus de ma chatte pour être sûr que tout le liquide coule vers mon visage, je ne pus que lui obéir, m'humilier avec ma propre pisse qui me coula le long du visage, mes lèvres et ma bouche. Maître était devenu sadique avec moi et j'adorais chaque instant de mes humiliations.
Une fois fini de m'auto-humilier, il me remit droite dans la balançoire.
- À dans trente minutes, soumise.
Trente minutes avec quatre pinces sur ma chatte, deux sur la poitrine et l'humide humiliation de ma pisse tiède le long de mon corps. Si je n'étais pas entravée de la sorte, je me serais branlée tellement ça m'excitait.
Puis j'ai passé mon après-midi dans cette balançoire, Maître venait jouer avec moi entre chaque cliente. C'était terriblement excitant d'être attachée à côté alors que Maître travaillait. Le temps était à la fois long et rapide, seul avec la douleur des pincements, l'odeur et le goût de ma pisse m'enivrant. J'étais dans un autre univers, subir un plaisir d'abandon total.
À son premier passage, il enleva les pinces de ma chatte en échange d'un plug anal mis avec aucune douceur sous mes cris. Il en profita pour glisser sa bite dans ma bouche quelques instants avant de partir pour la nouvelle cliente.
Seule avec le cul écarté et la douleur des pinces, j'étais qu'une chose, une chose emplie de plaisir.
À son deuxième passage, il enleva les pinces de ma poitrine en échange d'un sextoy dans ma chatte, il me fit de nouveau goûter sa bite. J'avoue qu'avec le temps, je prends un plaisir monstre à avoir la bite de Maître dans ma bouche, un côté avilissant.
Au troisième passage, Maître mit un gag ball dans ma bouche et me gratifia d'un grand sourire.
- Profite.
Et je sentis les deux sextoys en moi se mettre à vibrer, et je me mis à baver, la bouche ouverte par la balle. Dans mon cul, les vibrations étaient fortes et répondaient parfaitement aux vibrations de ma chatte. Un délice total.
Trente minutes d'abandon total hors du sol, je ne me sentis même pas jouir, une sorte de plaisir continu total, seules les contractions de ma chatte me firent comprendre que j'éjaculais. Je ne saurais trop décrire cette sensation de libération totale. Quand Maître rentra de nouveau dans la pièce, je n'avais aucune notion du temps ou autre, j'étais noyée dans un plaisir béat. Maître me sortit d'un rêve éveillé, mon visage noyé de bave par la balle, d'odeur de fluides, de transpiration et de pisse, et putain, j'ai envie de revivre ça.
Maître me détacha et je vis qu'il avait amené un plaid, une tisane, mon téléphone et des couvertures. Il lui restait une cliente, je profitai de ces trente minutes pour redescendre de cette expérience de fou. Quand la dernière cliente partit, je pris une longue douche pendant que Maître nettoyait mes fluides de la chambre, puis on rentra. Ça restera une expérience que je n'oublierai pas de sitôt.
Bref, Maître a sa façon à lui de me montrer que je lui ai manqué. Et moi, j'ai tendance à devenir ronchon si je me sens délaissée. Oui, c'est sûrement la pire des façons de montrer que Maître me manque au lieu de lui dire directement. Même si j'avoue en jouer un peu, Maître aime me faire débouder ! Sauf si c'est un massage, même après sa formation, il est toujours aussi mauvais en massage ! Mais en soins du corps, il peut me faire débouder autant qu'il veut, là, je suis preneuse. Je suis une fille après tout, j'aime être bichonnée, surtout par Maître ! Et pour les très gros boude, Maître maîtrise tout à fait le sujet.
On va avoir un peu de chemin et d'ajustements à avoir pour régler nos nouvelles vies, mais j'ai toute confiance, tant qu'on arrive à avoir nos moments à deux, j'ai comme l'impression que rien ne peut nous arriver. Oui, je suis toujours une petite chose fleur bleue à mes heures perdues.
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