Eros
Trigger : passage qui ne fait pas vraiment avancer le chmouilbuik, juste que j'aime bien écrire des trucs bas du front, oui de l'erotique assé cru, même tres cru. C'est jsute pour prevenir
Il y avait une règle, un non-dit que j'ai appris sur le Phœnix pour la baise. On respecte les envies de la personne de la cabine où l'on se trouvait.Pour Algaïn, il fallait être prêt à être son soumis et ne pas être allergique aux fluides intimes. Ajax, on était plus sur un salon de massage érotique. Enfin, chacun avait sa spécificité. Les chiffres du doc ne mentaient pas, le soir, le pont des cabines ressemblait plus à un baisodrome qu'autre chose. Beaucoup de monde entrait à deux ou trois dans les cabines.
Avec Algaïn, on avait une pièce qu'on lançait pour savoir quelle cabine on allait choisir. Les stats n'étaient pas bonnes pour moi, elle avait 73 % de réussite, loin de me deplaire.
En fait, là, au milieu de l'espace, il y avait une inhibition sexuelle assez importante et cette veille d'abordage avec le stress et les tensions, les groupes de baise se formaient vite. Étonnamment, Algaïn, énormément courtisée, était seule au réfectoire.
— Pas de bel étalon pour toi ? Elle semblait étrange. Ça va ?
— Je stresse de ouf avant chaque abordage, pas toi ?
— C'est mon premier, j'ai un mélange d'appréhension, de crainte et d'excitation.
— Moi, à chaque fois, je ne dors pas de la nuit avant, surtout que la dernière fois, ça ne s'est pas très bien passé.
— Tu veux rester seule ?
— Sûrement pas, pas la peine de lancer la pièce ce soir, on va dans ta cabine, je veux que tu me fasses oublier tout ce stress.
— Y a de la place pour trois ? C'était la voix toujours aussi perturbante d'Ajax, extrêmement masculine à l'opposé de son visage très féminin.
— C'est dans la cabine de Phyros, dit Algaïn.
— Veille d'abordage, je suis la salope de Phyros quand il veut.
J'étais le penchant masculin d'Algaïn dans ma cabine, je voulais mes compagnes et compagnons d'une nuit dociles et prêts à obéir à une bestialité sexuelle que je n'avais pas avant.
À peine la porte de ma cabine fermée.
— En sous-vêtements, je vous prie.
J'appuyais sur le panneau de contrôle du lit. Les deux furent en sous-vêtements très vite, tout comme moi. Algaine avait toujours les mêmes, blancs presque transparents, Ajax, lui, un boxer noir. Il etait un mystère pour moi, il y avait un mélange très masculin et féminin sans être capable de dire lequel prenait le dessus. Sauf la masse impressionnante que laissait entrevoir son boxer. Ici, dans les cabines perdues dans l'espace, les tabous n'existaient pas. On se soumettait au maître et à la maîtresse de chaque chambre personnelle. C'était un drôle d'univers parallèle du vaisseaux. Ici, Algaïn et Ajax n'avaient aucune gêne à se mettre à genoux et à engouffrer l'un après l'autre ma queue. Mes deux jouets étaient en place, la bouche bien ouverte, engloutissant mon gland sous les impulsions de mes mains sur leur tête. C'était jouissif de les voir ainsi affairés sur ma queue. J'avais l'impression d'être devenu un ado, noyé de pulsions bestiales si on me laissait le champ libre sur ma sexualité. Et ici, je laissais ces pulsions en liberté totale face à mes deux jouets à genoux. Le sexe devenait mon univers, ses odeurs, ses goûts et ses supplices de plaisir.
Ajax étouffait avec mon gland que j'imposais à sa gorge, pendant qu'Algaïn me bouffait les couilles. Le tableau était un régal, de gémissements et de sensations. Je relâchais la pression de mes mains sur leur tête, à genoux, couverts de bave et reprenant leur respiration, mes jouets me plaisaient sans commune mesure.
— À quatre pattes sur le lit vous deux. Algaïn, bouffe les couilles d'Ajax, je veux le voir frémir.
Elle se positionna derrière lui et commença à le lécher sans retenue. J'aimais ça, les voir m'obéir, j'aimais avoir mes marionnettes à ma disposition.
Voir mes deux jouets de la soirée dans cette position m'excitait au-delà de la raison. Un plaisir de domination étrangement absent en moi avant l'arrivée sur le vaisseau. Algaïn était une méta-humaine avec un goût douze fois supérieur à la moyenne et était complètement accro à la transpiration et aux goûts intimes du sexe. À quatre pattes à bouffé les couilles d'Ajax, elle devait être aux anges. Et Ajax n'y voyait rien à redire au vu de son érection et de ses gémissements. Je connaissais moins Ajax, c'était la première fois qu'il venait dans ma cabine. La sienne était un délice d'érotisme doux et de massages sensuels. Je le savais habitué de la cabine d'Algaïn, ce qui me laissait penser que j'avais une bonne marge de manœuvre avec ce jouet intrigant.
Je me plaçai derrière Algaïn et léchai son excitation perlante sur sa toison intime. La vue m'excitait terriblement, tout comme les effluves sexuels qui commençaient à inonder ma cabine. J'attrapai ses hanches fermement et la pénétrai sans préambule, sachant qu'elle était trempée. Elle gémit mais continua à dévorer les testicules d'Ajax. J'adorais voir son cul se contracter sous mes coups de reins.
La pénétration brutale et puissante, putain, j'adorais ça. Juste la prendre comme un trou de plaisir déshumanisé.
— Ajax, sur le dos et envoie ta bite au fond de sa gorge, je la sais très capable en cette pratique.
Il se retourna avec une grâce bluffante, comme tous ses mouvements d'ailleurs. Il saisit la tête d'Algaïn et enfonça sa bite doucement dans sa bouche grande ouverte.
— La douceur n'a pas lieu ici, étouffe-la de ta bite.
Il appliqua un geste fort de sa main et finit par l'enfoncer dans la gorge d'Algaïn. Je prenais presque plus de plaisir à voir Ajax m'obéir que mes coups de reins brutaux. En plus, mon nouveau jouet était foutrement bien monté. Les bruits de déglutition et d'étouffement sonnaient terriblement bien à mes oreilles ; j'imaginais sans peine l'asphyxie causée par le gland d'Ajax gonflé de sang.
Après un long moment à réduire Algaïn à un simple objet asphyxié par la bite d'Ajax et que je baisais, je me retirai et fis signe à Ajax de faire de même. Elle reprit fortement sa respiration, la salive coulant abondamment de sa bouche tout comme la bite d'Ajax.
— L'entrée en matière te plaît ?
— Oh oui, dit-elle le souffle court.
— Nettoie sa queue, elle est pleine de bave.
Elle se mit à la lécher avec une avidité déconcertante.
— Et toi ?
— Je suis à tes ordres, c'est excitant.
— Je vois ça.
Je me rapprochai de lui, plaçai ma main derrière sa tête en appuyant. Il comprit vite et se pencha, bouche ouverte, sur ma queue trempée de l'excitation de la chatte d'Algaine.
— Nettoie bien.
Le tableau me plaisait énormément : elle se contorsionnait pour lécher la bite d'Ajax et lui s'affairait sur la mienne. Il avait une façon de sucer douce et agréable. Le cul d'Algaine était à portée de main et j'en profitai pour la fesser sous ses gémissements. Sa peau blanche marquait vite. J'aimais les tableaux, les positions des corps. Je les faisais durer, juste pour profiter de ces moments sexuels sans autre but que le plaisir de la chair. Chaque tableau avait ses bruits, ses gémissements, ses odeurs, ses fluides. Une composition de plaisir.
— Ajax, à quatre pattes, et Algaine, pose ta tête au-dessus de son cul.
Ils comprirent vite mon projet. Aussitôt en place, j'enculai Ajax et passai de son cul à la bouche bien ouverte de mon autre jouet. Il gémissait à chaque coup de reins. Il y avait une dévotion sexuelle dans le regard d'Algaïn, tout à fait délectable. Après un momment, je leur fis inverser les positions et continuai mon office. Le cul d'Algaïn était un fourreau étroit, un plaisir à défoncer tant elle gémissait d'un plaisir qu'elle qualifiait selon ses mots : La douleur la plus agréable que je connaisse, me faire écarter le cul.
— Alors, il te plaît, le goût de son cul ?
— Un délice, répondit Ajax avec un grand sourire aux lèvres.
— Alors, la suite va te plaire.
Je plaquai sa tête fermement et me mis à enculer Algaïn avec violence et brutalité, mon plaisir montant et se déversant dans l'étroit couloir de son cul. En retirant ma bite, je plaquai la bouche d'Ajax sur son cul.
— Aucune goutte ne doit sortir de son cul, petite salope.
Je maintenais sa tête bloquée entre les fesses trempées de sueur d'Algaïn reprenant ses esrpits. Il étouffait à moitié, mais semblait prendre un pied monstre à mon ordre.
Je relâchai la pression de ma main quelques minutes après.
— Il est doué avec sa langue ? — Plutôt, oui.
— Allonge-toi, Ajax. On va lui bouffer la bite à deux.
Allongé à côté de moi, elle suçait tout autant que moi l'érection imposante d'Ajax. Un peu de calme des fois, ça ne fait pas de mal, surtout que la soirée faisait que commencer. On jouait à deux avec nos langues sur la queue d'Ajax. Il devait prendre un pied monstre au vu de ses gémissements et autres contractions de son corps.
— Ma belle, chevauche-le. Et Ajax, interdiction de jouir. Je veux te voir te tordre de plaisir jusqu'à la libération.
Elle se mit à chevaucher Ajax, face à moi, profitant au plus près de la vue de cette pénétration brutale. Elle adorait chevaucher, être au-dessus, donner le rythme, et elle s'en donnait à cœur joie. J'engouffrai mon visage dans l'espace réduit, bouche grande ouverte sur la chatte et la queue qui s'offraient à moi. De temps en temps, elle sortait la bite de sa cahtte, me permettant de la sucer avant de continuer ses chevauchées sous les gémissements de plaisir d'Ajax.
Bouffer sa queue noyée de mouille était grisant, bouffer sa chatte était grisant. À cet instant, ils n'étaient que deux jouets que j'utilisais.
— Je vais jouir, putain.
Elle se leva aussitôt, se mettant à califourchon sur son visage, penchée devant sa queue. On était face à face avec Algaïn.
— Dommage, mon beau, je t'offre que de la frustration.
Sa bite se contractait de plaisir, mais personne pour le branler ou le sucer. Son foutre se déversa dans un râle de frustration totale. Elle avait un visage carnassier, elle adorait gâcher les orgasmes, et j'avoue que voir son foutre couler, privé de plaisir, était puissant comme sensation.
— Le prochain, je te l'accorderai peut-être, dis-je en attrapant la tête d'Algaïn de mes mains et en lui enfonçant le visage sur sa queue pour nettoyer son plaisir gâché.
En relâchant la pression de ma main, j'approchai mon visage d'Algaïn.
— Je bande de nouveau, et j'ai envie de te détruire le cul, comme la dernière fois, petite catin.
— Avec grand plaisir.
Cette nuit-là, le stress empêchait de dormir beaucoup de membres d'équipage. Peu étaient seuls dans leur cabine, les corps mis à rude épreuve par la crainte que se soit la dernière soirée de plaisir. Être en vie est excitant, le risque de la perdre encore plus. Ce ne sont pas les cris d'Algaïn avec ma queue et celle d'Ajax en elle qui diront le contraire, ni le cul d'Ajax que j'ai pilonné pendant qu'il étouffait sous la chatte d'Algaine. Chaque cabine a ses règles et chaque cabine est un lieu de plaisir différent. Ici, dans la mienne, j'étais le marionnettiste. Première cabine à droite, et ici, mes jouets, je les utilisais à mon bon vouloir.
Ce soir, on avait fait durer les tableaux, les baises. Revenir à sa cabine signifiait que c'était peut-être la dernière fois. Ici, noyés dans l'odeur de foutre, de mouille et de transpiration, c'était une bulle, un exorcisme contre le stress et la fatalité du lendemain. Et se faire enculer par Ajax tout en se faisant sucer par Algaïn était un anti-stress puissant.
Ajax fut le premier à partir, après lui avoir refusé trois orgasmes, on le libéra au quatrième. Algaïn resta quelque temps supplémentaire, juste allongée dans le lit sans rien dire. On profitait des moments d'après, ce moment final, nos corps couverts des échanges intimes de la soirée et des odeurs qui ne seraient qu'un souvenir à notre réveil.
Elle sortit après un instant, son armure sous le bras. Dans ce couloir le soir il y avait un ballet de corps vidés de tout plaisir, retournant dans leurs cabines.
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