Eros
Trigger : passage qui ne fait pas vraiment avancer le chmouilbuik, juste que j'aime bien écrire des trucs bas du front, oui de l'erotique assez cru, même très cru. C'est juste pour prevenir
Il y a des cabines plus sélectives que d'autres sur le Phoenix. Celle d'Alycia faisait partie de celles-là. Et elle avait la réputation de ne presque jamais aller chez d'autres. Sa cabine était différente des autres que j'avais deja visité.. Il y avait un taux d'humidité extrêmement important, tout comme la chaleur.
Mon affichage m'indiquait 36 degrés avec 98 % d'humidité, donnant un côté extrêmement brumeux à la pièce.
— À poil et les pieds dans les deux cercles au sol, et je ne veux pas t'entendre parler.
Sa voix était carnassière. Il y avait bien deux ronds au sol. Je m'exécutai sans trop réfléchir, exposant ma première cicatrice obtenue sur le vaisseau.
— Écarte les bras.
En levant les bras, je remarquai qu'elle avait mis des sangles à mes poignets, puis à mes chevilles. Et elle se révéla face à moi, encore en armure de combat.
— Bienvenue chez moi.
Elle détacha des clips de son armure, laissant échapper de la brume.
— Mon organisme est incapable de s'hydrater normalement. C'est les pores de ma peau qui absorbent l'eau.
Elle détacha d'autres clips et finit d'enlever son armure, dévoilant son corps nu maculé de cicatrices.
— Ce qui fait que ma peau tout entière a des capteurs de goût. Pour moi, une pièce a une saveur, et ici, dans ma cabine, j'aime connaître le goût de mes victimes.
Elle se tourna devant un miroir et se mit à appliquer du maquillage, je supposais.
— Et j'ai bien sûr le cul, l'excitation a une saveur des plus délectables. Un corps soumis à la douleur et à l'impuissance a tendance à dégager des hormones, une transpiration qui me fait mouiller comme la dernière des salopes. Salope totalement hors de ta portée.
Elle tapa dans ses mains et la lumière s'éteignit. Me laissant dans une ambiance suffocante d'humidité. Je ne sentais que des mouvements tout autour de moi. La situation était des plus excitantes, je devais l'avouer. J'entendis cinq bruits secs caractéristiques d'un percuteur. Cinq petites lumières incandescentes s'allumèrent sur ma gauche, laissant échapper de la fumée à l'odeur florale. Mais impossible de voir Alycia.
Une main me griffa le dos de la base jusqu'à la nuque, arrivée en haut, un claquement sec alluma des lampes bleutées. Donnant à la pièce une ambiance surréaliste se noyant doucement dans les volutes des tiges d'ancre allumées. Je sentais sa peau plaquée contre mon dos et le souffle sur ma nuque.
— Les règles sont simples, supplie-moi et je te détache. Retiens-toi et je te mettrai à quatre pattes sur mon lit quand j'en aurai fini avec toi, entièrement offerte.
Elle glissa une de ses mains sur ma bouche et enfonça deux doigts dans ma gorge, bloquant tout arrivage d'oxygène.
— Tu pourras me baiser la bouche comme un simple trou.
De son autre main, elle saisit mes couilles, les broyant entre ses doigts.
— Tu pourras me défoncer la chatte comme une vulgaire vide-couilles.
Et d'un coup de bassin, je sentis mon cul pénétré par un objet froid s'enfonçant en moi. J'étais déjà noyé de sensations contradictoires, l'oxygène commençant à manquer.
— Et bien sûr, mon cul, tu pourras le défoncer à me faire crier.
En une seconde, elle relâcha tout son emprise et les sensations disparurent tout comme elle. Me laissant toussant pour reprendre mon souffle. Puis soudainement, son visage apparut face à moi, son maquillage rouge vif réagissant à la lumière bleue.
— Mais pour le moment, tu es ma victime.
Elle recula, elle avait mis du maquillage sur tout son corps, donnant un côté bestial à sa stature. Dans une main, elle avait une sorte de fouet et dans l'autre, une baguette qui m'était étrange. Entre ses jambes, un sextoy blanc d'une taille déraisonnable luisait.
— Le seul son qui t'est autorisé, c'est crier, gémir ou supplier. Et putain, tu bandes.
Les lanières en cuir de son fouet m'arrachèrent un cri à leur passage brûlant sur ma queue. La douleur irradiant tout mon corps sans possibilité de la faire partir. Un deuxième coup sur mes couilles me fit flancher et mes jambes me lâchèrent, retenues par les poignets.
— J'adore tes râles, bestiaux, puissants, c'est excitant.
La douleur me fit sentir une sensation que j'avais oubliée depuis longtemps, j'avais chaud, et sentais mon corps se mettre à transpirer.
— Deux coups sur les couilles et déjà tu suintes, j'ai hâte de te goûter.
Elle disparut de mon champ de vision, pour ne se rappeler à moi que par le claquement sec du fouet sur mon dos. Je ne pris même pas la peine d'essayer de me relever. Subissant les coups, laissant la douleur s'insinuer en moi. La brûlure de mon dos m'envahissait sans aucune pitié tout mon corps, ne me laissant que mes râles de douleur.
— Je commence à avoir ton goût. Relève-toi, sois un peu plus fort.
Je mis une énergie qui me semblait si loin en moi pour reprendre appui sous la brûlure de mon dos qui battait lentement à chaque battement de mon cœur. Elle se rapprocha, je sentis l'arnais avec le sextoy me pénétrer lentement sans aucune retenue. Sa tête se cala dans le creux de mon épaule.
— Hmm, je crois n'avoir jamais eu un tel goût, un tel ressenti. C'est bestial au-delà de tout sens commun. À la fois brutal et un côté charnel. Non, pas charnel, un goût excitant à la mesure de ta bestialité. Tu es perturbant, ce goût est envoûtant comme je n'en avais jamais eu.
Elle donna de grands coups de reins, le sextoy me perforant d'un plaisir des plus délectables. Bien vite accompagné de décharges électriques de la baguette qu'elle avait dans sa main, c'était une explosion de sensations qui m'était inconnue, me faisant enculer tout en ayant cette baguette qu'elle faisait courir sur mon torse. Chaque décharge me faisant contracter tous mes muscles, rendant la sodomie douloureusement agréable, sentant mon cul essayer de se refermer sur le sextoy inébranlable. Je ne savais dire si je gémissais de plaisir ou de douleur.
— Putain, c'est que tu prendrais ton pied.
Elle posa la baguette sur ma bite et mon râle fut de douleur sans aucune mesure, mes jambes me lâchant et le sextoy sortant de mon cul.
- Toi, t'es de la capitale ou d'une autre planète bien avancé pour ne pas broncher et prendre ton pied à te faire enculer. Pourtant, avec tant de bestialité et de virilité, je me serais attendu à une pleureuse dès qu'on s'approche de ton cul. Y'a que sur les planètes avancées qu'on baise sans se soucier du genre et autres idées arriérées.
Elle se mit face à moi, m'attrapa les cheveux pour lever ma tête.
- J'adore ça, ne supplie pas trop vite, je t'en prie. Je veux me noyer dans ton goût. Ça me donnerait presque envie de te sucer cette bestialité que tu dégages.
Je la gratifiai d'un grand sourire que j'espérais tout aussi carnassier que l'aura qu'elle dégageait par son corps nu, athlétique, que la lumière bleue dessinait à merveille sous son maquillage tribal.
Elle me gratifia d'une volée de gifles.
- Effronté en plus, on va jouer alors.
Elle se retourna, tapa sur un mur et je sentis les liens de mes poignets et ceux de mes chevilles se serrer, me maintenant à genoux.
- Suce-moi, salope.
Elle chopa ma tête et enfonça le sextoy dans ma bouche à me décrocher la mâchoire. Elle me maintenait la tête, enfonçant l'objet au fond de ma gorge, m'asphyxiant. Je sentis son autre main me gratifiant de coups de fouet dans le dos. Elle enfonça la longueur du sextoy par la force dans ma gorge, j'étouffais, touchant son pubis. M'étouffant, me brûlant la gorge tout comme les lanières de cuir mon dos, j'étais impuissant face à elle. Elle ressortit brutalement l'objet métallique, me laissant toussant, hoquetant. Elle me mit une gifle et, deux réspiration plus tard, l'objet me détruisait la gorge de nouveau. C'était terrible, elle recommença l'action un nombre incalculable de fois, je ne suivais pas le compte. Je sentais juste que j'asphyxiais et brûlais de douleur, incapable de savoir où j'étais. Noyé de sensations plus violentes les unes que les autres. Un long tunnel d'un plaisir que je ne connaissais pas, et je le découvrais à la manière forte.
Quand le calme revint, plus de douleur, de l'oxygène, je ne la voyais plus. Toussant, essayant de reprendre possession de mon corps et de ses sensations. Entre mes jambes, je vis l'objet de plaisir et de soumission, le harnais avec le sextoy noyé de bave, ma bave.
- Ton goût, putain, c'est une initiation à la baise. La voix venait de derrière, je croyais.
- Cette saveur, et si excitante, ta transpiration dégage quelque chose, quelque chose d'hypnotisant, je comprends enfin quand elle parle de ta transpiration Algaïn. Lève la tête.
Elle était nue face à moi, son fouet à la main. Malgré l'humidité, il n'était pas compliqué de voir le filet de son excitation couler entre ses jambes, coulant de son sexe entièrement nu.
- J'en peux plus, là.
Elle saisit ma tête fermement, passa ses jambes dessus de mon visage et plaqua ma tête sur sa chatte trempée que je léchais. Mais elle avait son plan en tête et je sentis son pied écraser ma bite. Mais elle me maintenait sur son sexe, je léchais et gémissais. Tout comme elle. Et il ne lui fallut que peu de temps pour se mettre à crier son plaisir sous les contractions de ses muscles, puis de reculer.
- Ah, je ne pouvais plus tenir. Gorge profonde, c'est fait. T'enculer, c'est fait. Dis donc, tu encaisses, ma salope.
Elle tendit la baguette devant mon visage, je voyais les petits arcs électriques.
- Suce de ton plein gré.
Être électrocuté, c'est quelque chose, le faire sciemment, c'en est une autre. Mon hésitation fut punie par une décharge sur ma bite, me faisant hurler.
- Suce.
Je pris l'objet pleine bouche, la décharge n'arriva pas.
- Si tu désobéis ou hésites encore une fois, la décharge part.
C'était effrayant et excitant, terriblement excitant.
Elle tapa sur un levier et mes entraves se détendirent.
- Debout, petite salope. Et je ne veux pas te voir fléchir. Elle avait un fouet dans chaque main.
Elle fit danser les lanières de cuir sur tout mon corps, le rendant brûlant et douloureux. Cela dura une éternité, mais la baguette dans ma bouche me fit tenir. Un moment que je ne pourrais pas savoir s'il était long ou court. Juste ne pas fléchir, se laisser noyer de sensations, jusqu'à sentir la baguette être retirée de ma bouche.
- Je commence à avoir un peu peur pour mon cul et ma chatte, j'avoue, le marionnettiste, là. Tu encaisses et je dirais même que tu prends ton pied.
Je la gratifiai d'un sourire en coin, j'avoue que l'idée de la posséder à ma merci de mes envies était une idée des plus délectables, que mon érection totale ne pouvait dissimuler.
Je sentis une main broyer mes couilles et l'autre enfoncer des doigts dans mon cul sans délicatesse.
- Je n'ai pas encore fini avec toi.
Elle n'avait en effet pas fini avec moi. Enculé, étouffé, électrocuté, le temps n'avait plus d'importance dans cette pièce, plus aucune. La douleur, un plaisir étrange qui se savoure avec humilité.
Le clic de la dernière entrave se fit entendre.
- Je suis à toi, elle se mit à quatre pattes sur le lit, cambrant ses courbes.
J'avais tenu, non sans mal. Je me mis face à elle, saisis entre deux doigts son menton, positionnant mon érection devant ses lèvres.
- Ici, c'est ton royaume, ta cabine, tu es la maîtresse des lieux. Si tu veux être ma marionnette, tu connais ma cabine.
Je me mis à me masturber devant ses lèvres.
- C'était une expérience des plus savoureuse que tu m'as fait vivre en tout cas.
Du liquide pré-séminal commençait à perler que je laissais couler sur ses lèvres.
- J'espère être invité de nouveau dans ton monde. Il y a beaucoup à découvrir, j'ai l'impression.
Un plaisir étrange montait en me branlant collé à ses lèvres sous le souffle de sa respiration. Une sorte de libération plus qu'un orgasme de baise classique.
- Mais si tu souhaites t'attarder dans mon univers, alors tu es la bienvenue.
Un râle de libération me submergea, recouvrant les lèvres entrouvertes d'Alycia de mon foutre. Une sensation étrange de plaisir brut après tant de sévices qu'avait subis mon corps. C'était plaisant de voir ma tortionnaire les lèvres recouvertes de mon plaisir.
- En tout cas, merci beaucoup.
Je glissai mon pouce le long de ses lèvres et fis glisser mon foutre dans sa bouche.
- Avale.
Je sortis de sa cabine, l'entendant avaler.
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