Eros

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Trigger : passage qui ne fait pas vraiment avancer le chmouilbuik, juste que j'aime bien écrire des trucs bas du front, oui de l'erotique assez cru, même très cru. C'est juste pour prevenir

Des fois, l'entraînement ne se passe pas comme prévu. Je devais défendre le pont huit avec mon binôme favori, mais je crois que je suis le premier à m'être fait buter ce jour-là. Un tir hasardeux venant du fond d'un couloir en plein dans le torse. Le boucher répliqua et réussit à avoir une personne avant de se replier vers un autre groupe, me laissant dans mon couloir reprendre mes esprits.

En allant vers la personne que le boucher avait eue, c'était ma rivale d'entraînement, assise par terre, toujours un peu sonnée.

— T'as vu ce tir, Phyros ? Tout le couloir et bim, je t'ai buté.

— On appelle ça de la chatte, Algaïn, je crois.

— T'es mauvais joueur, toi.

— C'est quoi les comptes déjà ?

— Ta gueule.

— Je dirais treize à quatre, tu progresses doucement.

Je lui tendis la main pour se relever. Le Phoenix avait des caméras de sécurité un peu partout, surtout utilisées par Thorgar pour nous engueuler pendant l'entraînement . Mais il y avait plusieurs points connus sans caméra. Comme disait un adage bien connu du Phoenix, "tu deviens vraiment un membre de l'équipage que si t'es chopé à baiser sur une caméra". La vidéo la plus légendaire et la plus rare est celle du Boucher avec Shargs. Sujet au combien à éviter d'évoquer avec cette derniere si on tient à la vie. Algaïn avait arrêté de compter les siennes et moi, j'étais toujours à zéro. Ma cabine me convenait très bien.

Alors quand dans le couloir Algaïn tourna à gauche là où il fallait aller tout droit, je compris vite ses intentions. Le chemin de réserve des drones n'était pas surveillé et il menait à un cul-de-sac avec juste un hangar à drones entassés.

— Je crois que t'as parlé de ma chatte.

— Je crois que c'était une expression, tout comme je crois que ton armure a besoin de joints supplémentaires à la taille.

Le pantalon de l'armure d'Algaïn percuta le sol dans un bruit métallique, révélant une culotte noire sans fioritures. Dans le vaisseau, j'avais deux partenaires régulières au final, Alycia et Algaïn. Les autres cabines étaient des expériences, tout comme certains venant de temps en temps dans la mienne. Mais avec Algaïn et Alycia, j'avais une connexion sexuelle des plus plaisantes. J'avais beaucoup réfléchi sur mon rapport bestial et brut de mes envies et je l'avais doucement fait glisser vers une approche plus charnelle du plaisir. Moins de pénétration aliénante et plus d'attention au corps.

— Moi et les expressions, je ne suis pas doué, tu sais.

Le sexe n'était plus vraiment une question d'être l'homme le plus fort, c'était surtout de prendre son pied. Alors me jeter à genoux devant Algaïn, empoigner ses cuisses et me mettre à lui lécher sa culotte était un plaisir total. Elle accueillait mes coups de langue sur le tissu de sa culotte par des rires des plus sensuels.

Il y a quelques mois, je l'aurais juste baissée dans ce couloir: sorti ma bite, mise à quatre pattes et sûrement enculée juste par ego de puissance. Mais là, non, je voulais ressentir son plaisir, son corps, ses odeurs. Là, à genoux, le chant des ses gémissements et l'odeur de sa culotte etait un délice. Je développais une nouvelle forme d'excitation. Plus lente, plus sensuelle, plus à l'écoute de l'autre. Être à genoux dans cette coursive à bouffer la culotte souillée de transpiration et mouillée était purement jouissif. Culotte qu'elle écarta de deux doigts pour m'offrir sa chatte trempée de plaisir, laissant. Algaïn était adossée au mur, prenant son pied à m'offrir son intimité.

Mais les pulsions bestiales étaient toujours là, toujours plaisantes, alors je glissai mes bras autour de ses cuisses et, profitant de la force offerte par mon sang à une température démesurée, je me levai, soulevant Algaïn contre le mur tout en lui bouffant la chatte debou, la portant sous ses cris de plaisir. Je mêlais un côté de contrôle la portant comme un jouet tout en profitant de l'excitation de la lécher ainsi. Elle n'était clairement pas indifférente à cette prise d'initiative.

Plus son plaisir montait, plus elle m'inondait de mouille. Plus j'étais inondé, plus elle était excitée. Algaïn prenait un plaisir monstre à l'idée de noyer ses partenaires de ses fluides intimes et odeurs. Un cercle vicieux de plaisir qu'elle ne pouvait arrêter. Je remerciais la force de mes muscles me permettant de la maintenir ainsi alors qu'elle jouissait, se contorsionnant dans tous les sens en m'inondant de son éjaculation abondante de plaisir. Bordel, c'était tellement plaisant de la faire jouir, la voir s'abandonner totalement. Je la maintins un long moment après son orgasme, continuant à lécher son plaisir avant de la reposer.

— Putain, c'était magique.

— Tu sais bien que je te bouffe la chatte quand tu veux.

— Oui, mais j'ai une réputation. Enlève ton armure.

Je n'étais pas difficile à convaincre, et mon armure fut vite enlevée. Contrairement à Algaïn, je devais enlever toute mon armure et être ainsi nue dans les coursives du Phoenix était toujours étonnamment excitant et flippant.

Mais je n'avais pas vraiment le temps de réfléchir que les mains d'Algaïn commençaient une danse diabolique sur ma queue, accompagnée de coups de langue terriblement excitants. Algaïn avait un talent démoniaque pour me branler et sucer. Elle connaissait mes aspects, mes pulsions bestiales et savait parfaitement les contrôler, enfonçant ma queue au fond de sa gorge. Elle savait que plus elle allait jouer à la petite soumise salope, plus elle allait faire monter en moi l'envie de la baiser. Et à sa façon de s'étouffer sur ma queue, elle voulait réveiller en moi une certaine bestialité.

La voir hoqueter, gémir me rendait fou, je sentais en moi cette envie de la baiser. Après plusieurs minutes à me provoquer avec sa bouche, je ne pus retenir l'envie d'empoigner son visage pour baiser sa bouche. Action qu'elle accueillit avec un grand sourire aux lèvres de sa part. Algaïn avait deux façons de baiser : douce ou brutale.

Si elle voulait la douce, elle m'aurait simplement sucé, mais là, elle voulait du brutal et c'était loin de me déplaire, voir son visage bloqué entre mes mains lui défonçant la bouche. Je crois que le plus plaisant dans tout ça, c'était de savoir qu'elle prenait un plaisir monstre à se faire défoncer de la sorte. J'adorais voir ma bite disparaître entre ses lèvres grandes ouvertes. Le côté pénétrant avait cet aspect déshumanisant qui me plaisait dans le sexe brut.

Alors quand d'un mouvement de bras je la plaquai au sol à quatre pattes, elle se cambra directement avant de recevoir mon érection dans sa chatte dans un cri de plaisir total. Les claquements de mon bassin contre son cul étaient magiques à mes oreilles, tout comme ses gémissements de plaisir. Je tenais ses cheveux tirés en arrière d'une main et de l'autre, je maintenais son bassin bien bombé pour la prendre comme une simple chose. Dans cette bestialité, une petite lumière d'idée germa sous l'assaut des hormones. Je me retirai, la fessant violemment.

— Contre le mur, salope.

Elle s'exécuta, l'air curieuse. Avant d'attraper ses cuisses, les écarter, la soulever et ensuite l'empaler de ma queue. Son visage s'illumina d'un sourire de plaisir non dissimulé. Et j'avoue que voir son visage si expressif sous mes coups de reins était un délice, ses traits noyés dans un plaisir bestial de laisser aller total. Algaïn n'était pas avare de gémissements et moi non plus de râles de plaisir. "Cette position face à elle était étonnamment extrêmement excitante. Tenant Algaïn avec force, je sentais tous les muscles de ses jambes se contracter à chaque aller-retour. Tout comme j'appréciais énormément la prendre en la fixant droit dans les yeux sous son regard de salope qui adorait prendre son pied sans aucune retenue. De temps à autre, elle glissait une main sur sa chatte coulante de plaisir, qu'elle léchait et sentait avidement. C'était une droguée des odeurs et goûts liés au sexe et elle s'en donnait à cœur joie dans cette position. Et je dois avouer ne pas non plus me plaindre de cette danse aux puissantes odeurs charnelles, intimes et de transpiration. C'était un mélange de position purement bestiale, la portant comme un jouet que j'empalais sur ma bite, et une puissante connexion de regards.

Il était inconcevable pour elle de ne pas avoir le fruit de sa soumission qu'elle m'offrait. Alors quand mon orgasme arriva, je la posai au sol et, d'un geste, lui enfonçai ma queue dans la bouche, déversant mon foutre directement dans sa gorge sous ses bruits de suffocation. Un plaisir terrible, rabaissant et plaisant à voir.

Ma queue sortie de sa bouche, elle eut un grand sourire satisfait.

— Tu m'en veux plus pour mon coup de chatte ?

— Non, ça va. Mais on a encore un peu de temps et je crois pas t'avoir assez goûtée.

— Oh, intéressant.

Elle s'allongea sur le dos, écartant les jambes.

Dans cette coursive, rien ne comptait vraiment hormis le fait de baiser pour le plaisir.

***

En retournant au hangar, l'assaut d'entraînement était encore en cours sur les ponts inférieurs.

— T'es enfin un vrai membre d'équipage, tu risques d'avoir beaucoup de femmes à la porte de ta cabine, me dit Algaïn en clignant de l'œil.

Elle rejoignit Alycia et j'entendis clairement un "je te l'avais dit que jy arriverais".

— Moi, je n'aurais pas fait confiance à Algaïn pour connaître la position des caméras du vaisseau, c'était le boucher qui me gratifiait d'une tape dans le dos.

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