Samuel dormait paisiblement dans sa chambre d'hôtel dans laquelle il avait pris ses quartiers pour une semaine de formation. Ses rêves le conduisirent à imaginer que la charmante hôtesse d'accueil rencontrée juste avant, dont il ne connaissait le prénom, entrait sans frapper dans sa chambre. Elle portait un uniforme aux couleurs de la chaîne, mais pas vraiment celui que sa direction aurait assumé au risque de poursuite pour sexualisation du corps des femmes à des fins financières.

Il était d'ailleurs souvent mitigé sur ces combats féministes, dont il partageait la plupart des idées, mais pensait que ça allait parfois trop loin. Quand il philosophait sur le sujet avec ses amis, il défendait la "femme libre", celle qui n'a que faire du jugement concernant ses envies frivoles, ses tenues ou même ses choix de vie en dehors des codes sociétaux. Il était d'ailleurs souvent déçu des conclusions de ses amis qui lui disaient "T'aimes les salopes quoi !". Non, il aimait les femmes libres d'être ce qu'elles voulaient. Même des salopettes si elles le désirent, comme il l'aimait le dire de façon affective, en précisant toujours avec les guillemets, "des petites salopes".

Il suivit donc en spect-acteur ce que son cerveau imaginait pour lui. Ce qu'il trouvait curieux était sa capacité à rêver à la première personne ou de voir les évènements en plan large comme s'il était sorti de son corps. C'était sûrement dû aux vidéos qu'il s'autorisait à regarder de temps en temps comme support masturbatoire. Il se demandait d'ailleurs, avec le sourire, pourquoi il ouvrait toujours un onglet de navigation privée alors que personne d'autre n'utilisait son ordinateur portable.

La charmante hôtesse, dont il ne connaissait pas le prénom, s'avança vers lui avec le regard illuminé de lueurs coquines. Lui, dans son rêve, était plein d'assurance, ce qui n'était pas toujours son cas dans la vie réelle en compagnie de jolies demoiselles. Il lui renvoya donc un regard appuyé plein de gourmandises.

Elle commença à opérer un striptease langoureux aux sons d'une musique sortie de nulle part, la pièce se tamisant au fur et à mesure de l'intensité qu'ils échangeaient. Pendant ce temps, il avait descendu la couette et commençait à caresser sa verge sans toutefois la prendre en main. Son excitation était visible, ce qui ne déplaisait nullement à cette déesse ondulante.

Une fois nue, elle arracha d'un geste la couette pour le découvrir entièrement et la mit par terre, puis elle avança à genoux sur le lit dans sa direction, l'oeil toujours emplit d'étincelles. Lui, se releva pour tenter de la caresser mais elle le repoussa sur l'oreiller tout en venant glisser sa langue le long de son sexe de bas en haut. Elle accompagna son va-et-vient de sa main en oscillant du poignet, parcouru de la langue les testicules, le scrotum et même l'anus, à la grande surprise de ce dernier peu habitué à cette pratique, mais il n'en bouda pas le plaisir.

Lui, était partagé entre la regarder faire et savourer le plaisir les yeux fermés. Il alterna donc les deux, et les ouvrit subrepticement avec un râle de plaisir quand elle prit son gland en bouche en titillant son frein de la langue. Petit à petit, sa verge fièrement dressée disparut entièrement dans sa gorge. La sensation était si exquise qu'il ne put se retenir et jouit intensément dans sa bouche en éructant sous l'oeil malicieux et conquis de sa divine partenaire qui se délectait de sa semence.