Aveux
— Tu m’explique ?!
Ma colère n’est pas forcément nécessaire au vu de sa peine. Je le comprends et je décide de moins m’agacer.
— Depuis ma naissance, j’étais enfermer, vous refusiez de dépasser le jardin intérieur ! M’expliquant que dehors, tout est dangereux même si la paix était présente. Mes parents, partaient souvent et jamais ils m’ont donné les raisons malgré mes insistances. J’ai accepté la seule raison que tu m’as balancé, à savoir un accident de la route. Et même si j’ai fais mon deuil, je t’en veux encore de m’avoir caché leurs meurtres ! Et le fait que tu voulais repartir cache effectivement quelque chose de louche. Toi, qui a tant aimé la Terre. Et comme tu m’embarques, je m’attends à ce que tu m’avoue la vérité. Qui sont les criminels ? Pourquoi l’Ordre te menace ? Qu’ont fait mes parents ?!
Il fixe ses mains gênés avant de sortir un petit carnet de sa veste dans la poche intérieur. Il me le tend pour que je consulte ses notes ainsi que des documents sans rien comprendre.
— Je cherche depuis sept ans, ça c’est vrai. Tes parents étaient secrets et j’ai découvert leurs métiers disons, après. Ils raconter qu’ils bossaient en tant que coiffeurs itinérants. Sauf qu’ils se désigner comme agents secrets libres. J’ai trouvé dans la boite à gang, des faux papiers ainsi que des contrats de tueurs à gages. J’ai renseigné tout ce que j’ai découvert dans ce carnet et j’ai une pochette de tout les autres papiers. En tout cas, oui, je voulais essayer de t’en parler, le plus tôt possible, crois-moi.
— Tu as des pistes ?
— Enormément et je t’embarque pour chercher des réponses. Concernant la menace, j’ai peur un peu. La création est certes récente mais comme il a dit, des essaies ont était déjà fait et sans doute que tes parents avaient des relations avec des hauts placer.
— Ils avaient vraiment tuer ?
— Aucune idée… J’espère que non.
— J’aurais du mal à les voir comme des criminels…
— Moi aussi.
— Bien. Donc pour toi, il faut commencer par où pour en savoir plus ?
Il reprend mon carnet et sort une coupure du journal présentant une femme qui semble éviter d’être pris en photo.
— Lis Vian. Et ? C’est qui ?
— Une femme d’affaire. Elle a repris la direction de « Nots », à la suite de la disparition de son mari, il y a dix ans. Une entreprise de logiciels pour les ministères, gouvernements. Enfin, en façade.
— Le rapport avec parents ?
— Un courrier datant de six mois avant leurs morts. Le dernier papier trouver.
— Elle se trouve où ?
— On va se présenter là-bas.
— On ne peut rentrer comme ça ! J’imagine qu’il faut un badge…
— Tu te doutes bien que j’ai pensé. On va d’abord voir un ami.
— Qui ?
— Un ami un peu dans le hors-système.
— Comment tu l’as rencontré ?
— Je ne suis pas partir seul, il m’a aidé. On se connaît depuis mes quinze ans, un vrai génie. Il habite toujours sur Ceta. Je l’ai contacté pour m’aider dans notre enquête et il saura si notre idée de plan est viable ou pas.
— Bien, on par quand ?
— Maintenant, on a encore du voyage. Sauf, si tu veux encore visiter ou faire les boutiques ?
— Non, je veux qu’on s’éloigne de là. Je ne me sens pas bien, comme si le Grand Ordre nous surveiller.
— Je peux comprendre. Allons y.
Pendant notre retour, on évite de trop courir pour ne pas paraître suspecter. Je m’isole ensuite dans le salon pendant qu’il démarre et enclenche le pilote automatique. Moi, je prend note du carnet.
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