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Le jour suivant, l’assemblée fut attaqué et mise en feu.

Le où les coupables furent recherchés.

Elodie déplora une attaque à nos valeurs.

« C’est inhumain, je me lève j’apprends ça avec ma fille. C’est inadmissible ! » dit t-elle aux journalistes.

Le président de la république prépara une allocution solennel.

Les Ministres déclarèrent cela comme un acte odieux et que les gouvernements trouveront le coupable.

Philippe Delargnion était sans doute pour quelques choses.

L’enquête avança rapidement. Vingt personnes majeurs furent mis en examens.

Tous démentirent sauf trois d’entre eux.

Elodie, attristée de la situation discuta avec des journalistes.

« C’est une attaque, une rébellion, une révolte. Nous sommes pas assez transparent avec le peuple pour être arriver là ! »

« Des terroristes ? »

« Des complotistes, des amis des députés, c’était préparé sûr depuis des mois. »

« Vous avez l’air en colère ! »

« Exact, le palais Bourbon a été construit en 1722 par Louise Françoise Bourbon , la fille légitime de Louis XIV. C’est devenue une institution nationale. »

« Laissez-moi dont poursuivre, ceux qui ont fait l’Histoire sont ceux qui savaient qu’un jour la culture allait poser problème ... »

Liliane courut vers Elodie.

« Maman ... »

« Que fais-tu ma fille ? »

« J’espère qu’ils vont les retrouver. »

« Ils vont payer l’attaque à la Nation ... »

Ce soir-là, Elodie et sa fille furent chez eux. Ils écoutèrent l’allocution du président de la République.

« Cher Français et Françaises, je sais combien on vit des temps hostiles et difficiles.

Aujourd’hui la Nation a été attaqué en plein cœur.

Nous pouvons réussir à surpasser cela. L’assemblée sera questionné et le temps révolu.

Nous serons forts ! Pour lutter contre l’obscurantisme général !

Je vous demande de ne pas avoir peur et les différentes différences culturelles nous diviseront pas …

Je répondrais à cela au plus vite.

Chaque fois que le monde a été attaqué, ensemble nous nous sommes relevés plus forts et plus intelligents.

Ne craignez pas une maintes fois une guerre civile, l’état et la justice seront toujours présents ! Merci le peuple. »

La marseillaise retentit et une minute de silence fut prononcée.

Liliane dormit sur les genoux de sa mère.

La Ministre s’endormit aussi.

Les semaines passèrent, Philippe Delargnion et d’autres furent mis en justices.

Elodie fut rassurée.

« Ils ont brûlés un symbole, ils ont brûlés la Nation. »

Elle pleura encore devant l’assemblée carbonisée.

Yohan Jordas lui serra la main.

« C’est notre combat, nous sommes là pour unir les gens. »

« Il y a une guerre en Birmanie, où va t-on ? » dit un député aussi attristé qu’Elodie.

« C’est le cycle de la vie et l’histoire c’est juste que l’Humain est un con, l’évolution est un con ! » Dit Yohan.

« Ce qu’on devient fera ce qu’on retient. » Sourit la Ministre de la Culture.

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