Affamées
Tinush ft Aretha Franklin - Struggle (Extended Mix)
https://youtu.be/rDXHFqrafEA?si=oPd1dNI8RR1ydV7c
Nos corps se touchent, le mien t'écrase. Tu me dépasses de peu. Tes yeux dégage cette lueur, ils sont si clairs, peut-être même dorés. Et je sais ce qu'ils veulent me dire.
Tu es essouflée et j'en ai le souffle coupé. Tu trembles, ton corps frêle tremble tout entier.
C'est moi qui te fait cela ?
Ma bouche à la hauteur de ton menton s'avance pour carresser ce dernier. Il n'y a désormais aucun espace, même infime, qui ne nous sépare. Ta poitrine se soulève et s'abaisse si vite. La mienne s'adapte, et ensemble nos bustes s'alignent et se mouvent pour ne former qu'un. Mes lèvres explorent maintenant ta mâchoire.
Tu t'impatientes et saisis ma main droite pour te toucher plus vite, plus fort et plus bas.
Je l'enlève. Serait-ce un grognement ?
Je t'attrape fermement les mains et les placent au-dessus de ta tête.
Tu me regardes, Tentation, tu me toises, me défie.
Ma descente est plus précipitée, ma langue trace sa route le long de ta jugulaire pendant que ma jambe se soulève doucement à la rencontre de ton entrejambe.
Je m'arrête. C'est le moment où je dois t'enlever la barrière du tissu qui jusque là ne m'avait pas déranger puisque l'accès à ta peau était libre.
Sous mes doigts se découvre peu à peu, une peau douce, brillante et la texture ferme de tes seins.
Soudainement, je te retourne et te plaque face au mur.
Je me rapproche, me colle, comme si nos deux corps aimantés ne pouvaient supporter la séparation. Ma poitrine sur ton dos, ma tête dans le creux de ta nuque et mon pubis appuyé sur tes fesses.
Je t'embrasse le cou, la main gauche dans tes cheveux, la main droite sur ta cuisse.
Cette dernière glisse devant, sur ton ventre, son ascension continue lentement, cruellement pour se stopper net sur le sternum. Tu es si peu épaisse, que mes doigts ont pu frôler et dénombrer tout les os de ta cage thoracique. Je déplace ma main et en pose le creux de sur la courbure de ton sein droit. Tu viens écraser de ton sein ma main sur le mur, j'ai compris : je dois continuer. Très vite ma main redescend pour refaire le même chemin sous ton vêtement à présent. J'empoigne de toute ma main ton sein, je te mords l'épaule et mon bassin vient naturellement se presser sur ton corps.
Ta peau est si douce dans ma main. Ta chaleur me réconforte. Mes paumettes, mes oreilles et plus bas encore, tout prend feu. Je me sens brûlée vive.
Encore une fois, cette fois pour de bon, je te retourne face à moi. Ton front luit. Tes narines sont dilatées et tes yeux... Oh oui, tes yeux sont plus beaux que jamais.
Les miens daignent enfin s'abaisser à tes lèvres que tu mords sans pitié. Ta bouche s'entrouve, me laissant un passage libre. Ce bassin encore vierge où l'eau y est pourtant trouble.
Je viens saisir entre mes dents ta lèvre inférieure. Je m'éloigne et tu me rappelles aussitôt.
Ce geste a suffit pour te donner envie d'initier un contact de toi-même.
Ta langue chaude, humide cherche avidement la mienne. Elle s'enlace et se dénoue. Mes mains à présent sur tes fesses, soulèvent tes jambes au-dessus de mes hanches. Tu es plus grande encore et nos bouches se quittent laissant un liquide filet les relier.
Tu t'empresse de retirer ton haut, pendant que je me dépêche de te retirer ta jupe.
Tu ne tentes même pas de me déshabiller. Ce qui se passe maintenant est incroyable. Je ne t'aurais jamais laissé m'embrasser auparavant. Et même si ce qu'il se passe est exceptionnel, tu ne le gâcherait pas en essayant de me déshabiller.
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