0ser. C0nfiance. 0ffrir. Tém0igner. Rac0nter. Sais0nner. Rais0nner. Sentiment insubmersible de vie. Quand on se laisse aller au sourire, on ne peut qu'évOluer. Être s0i, avec ses émOtions, ses détours d'un chemin en forêt, sente indispensable posée là parmi des milliers d'autres. Chaque Être à sa place ; il suffit de franchir les troncs couchés, les barricades de ronces, éviter les épines et caresser les feuilles, sentir le vent de l'élan nous enlacer. Nous laisser guider par l'instinct, la parole du cœur, et par la raison – mais pas la rébarbative – celle du cerveau réfléchi. Écouter les silences, entendre les paroles du vivant, entrer en résonnance incontrôlée, incontrôlable, vivifiante, celle qui nous pousse à Être nOus.

0rganiques.

Les chênes sont les seuls à nous attraper, ils nous ouvrent les portes d'un m0nde merveilleux, magique, une histoire suprême où nous sommes l'hér0ïne ou le hér0s.

Nous sOmmes.

M0dernes, soit. Il faut. Un minimum de c0nfort. Pourquoi pas un c0nfort éthique, durable et paisible ? Avec un peu d'effOrt, on vit bien. Suffit de lever un doigt et une fesse. Une seule. Splendide mOuvement humain.

Renaissance.

Au c0ntraire du citadine déc0nvenu·e. C0nforté. 0rdinairement platiste, ec0euré·e, marchandé·e. 0bjet c0nnecté par outrance, redevance éternelle au grand maître du Tout-est-rapide-tout-est-envisageable.

0rdure.

L'h0mme pr0gressiste est un 0 pOinté.

P.S. : Dépressi0n.

Entrer dans les cases d'une vie classique, facile et c0nfortable. Maux m0derner, maux inhérent au problème de l'effort retenu, malsain.

ou alors de la peur du chOix risqué de tenter la liberté sur 0rdonnance... Où se cache l'instinct dans l'inj0nction ?