Chapitre 21 – trio torride !

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Jour 17 (mercredi semaine 3) suite

### Pierre ###

Je trouvai Brigitte, dans la chambre visiteur, nue étendue sur le lit. Je reconnus tout de suite les vêtements de Ninah, étalés par terre, mais pas de Ninah !

– Elle s’est enfuie, évaporée ! ricanait-elle. Donne-moi un câlin au lieu de chercher ta servante ! riait-elle en me tendant les bras.

– Bonjour Brigitte, par quel miracle es-tu disponible jusqu’à lundi matin ?

– Je remplace une collègue qui a eu la bonne idée d’être malade, et mon boss m’a supplié de la remplacer. J’ai dit que cela ne m’arrangeait pas de m’enterrer dans ce trou perdu, à m’ennuyer pendant cinq jours ! Mais j’ai accepté à contrecœur.

– Oui, à contrecœur ! je dois te croire ?

– Non, mais je suis à peine partie que tu me remplaces par Ninah ? elle m’a raconté : 3 fois ! Bravo, tu ne manques pas à ta réputation mon chéri ! elle a compris comment te prendre.

– Par la surprise, elle avait besoin d’être consolée après ton départ Brigitte ; j’ai dû la câliner car elle était triste et elle était en manque de ta langue et de tes seins !

– Ouais, elle m’a tout raconté ! Elle apprend vite, il y a 48 heures elle avait encore peur du méchant loup… Et maintenant elle ne jure que par ta gentillesse. C’est mieux que « my fair lady » version hard ! Enlève tout ça et montre-moi les dégâts.

– Oui maîtresse, dis-je en me couchant à ses côtés et en embrassant ses tétons. Tu sais que c’est toi qui as dévergondé cette petite. Tu lui as donné sa première jouissance lesbienne et moi j’ai dû recoller les morceaux.

– Et tu les as recollés avec ta langue et ton sperme, tu es un bon bricoleur ! Tu es content de me voir ?

– Oui, mais ce soir, on va apprendre à Ninah le partage ! On dormira à trois dans mon grand lit et si demain tu as le temps tu pourras lui apprendre tes secrets !

– Oui Monsieur, je lui ai déjà raconté quelques histoires, comme : comment mordre un pénis, tirer les couilles et t’inonder de cyprine !

– Ahaha, je ne te crois pas !

– Non, ne me crois pas, mais fais gaffe Pierre elle risque d’avoir des sentiments profonds pour toi ! Elle m’adore et est d’accord pour te partager avec moi, mais… Elle m’a dit qu’Amina (que je n’ai pas encore vue) est amoureuse de toi ! Et elle n’a pas encore été dans ton lit ?

– Non, mais les rumeurs courent à ce sujet. Le DG m’a d’ailleurs averti à ce sujet, il connaît bien sa mère et il lui a téléphoné. Sa mère l’a rassuré en disant quelque chose comme « qu’elle me coupera les bijoux » si je la touche sans être son gendre !

– Ce serait vraiment dommage, car j’aime tes bijoux !

– Bien allons voir ce que Ninah a prévu pour nous donner des forces !

– Elle m’a dit que ce serait épicé ce soir, mais pas que dans ton assiette !

Je quittais sa chambre pour aller mettre mon kimono fétiche et je vins dans la salle à manger.

Ninah, qui dressait la table m’accueillit avec des yeux brillants, elle avait un tablier de cuisine mais rien en dessous ! Les épices n’étaient pas qu’à table, Brigitte avait raison ! En se retournant, je voyais ses petites fesses et le flanc de ses seins !

Waouh ! J’avais soudain un grand appétit… Et voilà Brigitte qui entre et constate également la tenue de la cuisinière ! Elle-même a juste une blouse totalement ouverte cachant juste ses seins et en petite culotte

– Pierre, il faudra rester zen ! Sinon c’est sur la table de la salle à manger que nous allons atterrir !

– Oui, Brigitte tu es également très peu habillée !

– Parle pour toi, Pierre ton soldat est déjà en alerte, dit elle en riant.

– Bien, mangeons avant que cela ne refroidisse ajoutai-je

Après le repas, Brigitte et moi prenions place dans le grand divan en attendant Ninah qui rangeait tout dans le lave-vaisselle, puis vint s’installer sur mes genoux en me faisant face, une jambe de chaque côté de mes genoux. Brigitte lui enleva le haut de son tablier dévoilant les seins de Ninah. Elle caressait les mamelons pendant que ma verge se trouvait devant son intimité.

Ninah gémissait déjà sous les caresses de Brigitte et ondulait son ventre se faisant ainsi un massage de ma verge contre son clitoris. Elle ne résista pas à prendre un sein de Brigitte pour le masser et le porter à sa bouche. Après quelques minutes j’entendis les soupirs de satisfaction des deux femmes ! Mais je tenais à rester encore en retrait et je glissai un doigt dans le vagin de Brigitte, qui était trempé et l’autre main prenait le sein libre de Ninah. C’était voluptueux, Brigitte haletait la bouche ouverte, profitant des caresses de Ninah et des miennes. Ninah plus discrète profitait du massage mutuel de ma verge contre son clitoris et fut la première à jouir en se cramponnant à mes épaules !

– Oh Pierre, c’est bon, continue encore !

– Je sentais des grands jets de cyprine qui inondaient ma verge, diminuant ainsi l’intensité du massage sur ma bitte.

Les succions de Ninah sur les seins de Brigitte et mes caresses profondes dans son vagin, déclenchaient à leur tour l’orgasme de Brigitte.

Les deux femmes reprirent doucement leur respiration et je m’attendais à une attaque combinée !

Ninah fut la première à émerger de son orgasme, elle se leva de mon corps pour s’accroupir devant moi, elle écarta les pans de mon kimono pour découvrir ma verge en érection maximale, le gland sortait à moitié du prépuce. Elle goûta sa cyprine qui humidifiait encore ma bitte. Brigitte sortit également de sa torpeur et vint se mettre à genoux à côté de Ninah. Elle saisit la base de mon soldat et poussa sa bouche de concert sur le gland, j’avais donc deux langues qui caressaient mon sexe en se souriant.

– Tu vois Ninah murmurait Brigitte entre deux coups de langue, laisse glisser ta langue sur le frein puis fais le tour en caressant seulement avec la langue. Maintenant pousse ta langue contre la fente comme si tu voulais rentrer, bien sûr tu ne pourras pas mais regarde Pierre comme il profite de nous !

– Mais je ne veux pas encore finir ! dit Ninah

– Bien sûr ma poulette, reprit Brigitte, on va continuer à l’exciter, jusqu’à ce qu’il demande de le finir ! Suce doucement ses couilles pendant moi je suce son gland.

La sensation était divine, si je n’avais pas une vision de ce qu’elles me faisaient, j’aurais cru être mangé par une bouche énorme. Au bout de quelques minutes Brigitte mit ma verge entre ses seins et Ninah suçait alternativement ses tétons et mon gland qui dépassait de ses mamelles. Comme il fallait s’y attendre Brigitte repartit dans des gémissements sensuels et prit la bouche de Ninah pour un duel de langues et puis un assaut combiné de ma verge.

Je n’en pouvais plus et je dus les avertir que ma sève montait et que l’éjaculation était imminente. Les deux bouches ouvertes devant moi, Brigitte fis une masturbation finale et ouiii ! Ce fut un coup de canon : le sperme sortait à une puissance exceptionnelle et fut recueilli par Brigitte et Ninah ensemble. Toutes les deux se disputaient les dernières gouttes et nettoyèrent les éclaboussures sur ma verge et se léchèrent les seins heureuses de leur exploit.

Puis elles me rejoignirent sur le divan une dans chaque bras et me firent chacune de leur côté un baiser sur la joue.

– Nous allons le laisser reposer un peu, puis on essayera de réveiller le dragon, dit Brigitte, il ne crachera plus autant de feu, mais on va essayer de vider ses bourses ! Mais on va s’installer confortablement dans le grand lit !

Ainsi fut fait, après quelques minutes de repos, on partit tous les trois s’étendre sur mon lit et entouré des deux filles, on prit un petit somme réparateur.

***

Peu de temps après, je fus réveillé par des gémissements et constatais qu’elles étaient en 69 et s’en donnaient à cœur joie ! La vue de ces ébats réveilla mon épée mais ce n’était pas terrible, je mis donc un doigt dans le derrière le plus proche de moi, qui était d’ébène et entrepris, de rechercher son bouton magique. Mon doigt glissa profond dans son vagin inondé de son jus, aussitôt elle couinait et cria :

– Brigitte, il est réveillé !

– C’est très bien, laisse encore se reposer, nous, on est occupé !

La langue de Brigitte s’activait à côté de mon doigt et Ninah ne put résister à la montée de son orgasme dans un cri de jouissance. Du coup elle roula sur le côté libérant le corps de Brigitte. J’approchais ma bouche de son vagin pour le lécher et Brigitte s’exclama :

– Ça, c’est la langue de Pierre, plus puissante et musclée, tu vois Ninah c’est un amant parfait !

Mais je fus surpris en sentant une bouche gobant ma queue qui commençait à bander plus sérieux et dus interrompre un instant le cunni que je pratiquais à Brigitte.

Ce n’était pas une fellation de spécialiste, mais Ninah donnait un cachet de débutante et de naïveté à ses caresses buccales. Je repris le léchage de Brigitte qui explosa dans ma bouche dans un râle merveilleux. Quelques instants après elle se tournait vers Ninah en lui demandant si je bandais dur. Ninah répondit :

– Oui Brigitte, Pierre a retrouvé sa vigueur !

– Alors Ninah il faut en profiter, tiens on va lui mettre une capote.

Avec beaucoup de rires et des commentaires salaces elles réussirent à me mettre la protection.

– Voilà Ninah, puisque tu l’as réveillé, tu peux commencer !

Elle se mit à califourchon sur moi, Brigitte tint ma verge en face du vagin de Ninah, qui se laissa tomber brutalement sur mon épée accompagnée d’un « Ahannn » puis entama une chevauchée sauvage.

Brigitte en profitait pour lui titiller les tétons et alternativement son clitoris, j’étais sûr de tenir la distance cette fois ; vu que c’était le deuxième match. Puis Ninah grimpa dans les octaves à l’approche de son orgasme :

– Oh oui, oui, oui Pierre, c’est bonnnn ! des larmes de plaisir coulaient de ses yeux lorsque épuisée elle se coucha sur mon torse. J’étais toujours dans son vagin qui palpitait encore de jouissance. Brigitte la prit un peu maternellement dans ses bras.

– C’était bon ma grande ?

– Oh oui, Brigitte je suis à bout ! et je te laisse la place, car Pierre bande encore très fort.

Elle se retira donc doucement et Brigitte prit immédiatement la place, la différence de vagin était peu sensible. Si Ninah était un peu plus étroite, Brigitte avait plus de muscles pelviens et fit une chevauchée plus rythmée. Ninah ne restait pas passive et prit les deux seins de Brigitte qui balançaient au rythme de ses mouvements et Brigitte fut secouée d’un orgasme libérateur, mais je n’avais toujours pas atteint le nirvana. Les pulsations du vagin continuèrent encore un peu, mais Brigitte déclara forfait :

– Pierre je n’en peux plus, attend on va te finir autrement, viens Ninah, je retire la capote et tu peux le mettre en bouche.

Je n’avais pas débandé et ce fut une véritable délivrance lorsqu’après de longues minutes de succions et de caresses j’explosais dans sa bouche !

– N’avale pas Ninah, garde en bouche et partage avec moi ! demanda Brigitte.

Et sous mes yeux, Brigitte embrassa Ninah sur la bouche pour partager mon jus. Je trouvais cette image très stimulante mais si le cerveau jouissait encore, mon soldat était mort sur le champ d’honneur et les caresses buccales post-coïtales ne le ranimaient plus !

Je sentis encore une petite main caresser mon corps pendant chacune se calait contre mon épaule, nous étions épuisés !

NDA : Pour ce soir on va laisser les amants se reposer ! J’espère que ce trio torride vous a plu ! Moi, j’ai aimé l’écrire…

Demain sera une autre journée

À bientôt !

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