Chapitre 23 – Rendez-vous clandestin.

16 minutes de lecture

Jour 18 (jeudi semaine 3)

### Pierre ###

La journée était finie, je rentrais donc à la villa. Ninah m’attendait :

– Bonsoir Ninah, tu es encore seule ?

– Oui Pierre, Brigitte m’a téléphonée pour dire qu’elle serait là dans moins d’une heure !

– Bien, donc on a un peu de temps pour nous deux, viens t’assoir avec moi dans le divan. Je t’ai promis des explications, voilà …

– Je peux m’assoir sur tes genoux, stp ? j’ai été seule toute la journée !

– Oui, mais sage ! Voila, tu sais que Amina a perdu son père il y a presque deux ans, sa maman a depuis de gros problèmes, elle pense encore toujours à son mari. Quand ils se sont mariés elle était encore très jeune et ils se sont beaucoup aimés. Et depuis qu’elle est veuve, elle n’a plus été touchée par un homme. Alors quand Amina m’a présenté à sa mère celle-ci a été éblouie par ma présence et a voulu retrouver un peu de sexe. Imagine toi qu’elle faisait l’amour avec son mari pendant plus de 26 ans et elle m’a avoué qu’ils faisaient encore l’amour au moins trois fois par semaine.

– Eh bien c’était le grand amour !

– Oui et donc elle m’a demandé de la caresser.

– Et tu l’as fait ?

– Oui Nina, je ne pouvais pas faire autrement, je ne voulais pas choquer Amina. C’était la première fois que je dormais dans la maison d’Amina. Je dormais dans la chambre d’Amina qui dormait avec sa mère, mais le soir pendant que je prenais une douche Lysa est venue pour me demander de lui faire l’amour. Je n’ai pas voulu car je n’avais pas de capote, mais on s’est caressé longtemps jusqu’à la jouissance.

– C’est tout ?

– Non elle est encore venue un soir à l’hôtel quelques jours après et là on a baisé avec un préservatif. Et j’espérais que ça s’arrêterait là mais non ! Et comme elle voulait continuer avec moi, elle est venue à la villa où tu l’as chassée.

– Tu l’aimes ?

– Non, c’était juste du sexe, pas de sentiments, c’est comme avec toi et Brigitte !

– Oui mais moi je t’aime ! Tu ne m’aime que pour le sexe mais je sais que tu es fâché quand je dis ça mais j’aime le sexe avec toi.

– Ninah, un jour tu rencontreras un garçon et tu l’aimeras !

– Non, Pierre, j’ai peur des hommes, tu es le seul que je veux !

– Ninah, il faut être raisonnable, je ne resterai pas toujours au Congo !

– On verra d’ici là…

– Mais en attendant, ne dis rien à Brigitte !

– Elle sera jalouse ?

– Non, car Brigitte et moi depuis des années c’est juste du sexe sans amour. Elle connait d’autres hommes que moi.

– Que vas-tu faire maintenant ?

– Aucune idée, sauf trouver le moyen de la calmer mais avec discrétion. Je ne veux pas qu’Amina l’apprenne !

– Pierre j’entends une voiture, ça doit être le taxi de Brigitte !

– Vas, tu dois encore dresser la table !

Brigitte rentra fatiguée mais contente :

– Bonsoir Pierre, le chef de l’escale m’a retenu un peu, je crois qu’il voulait palper mes seins ! dit-elle en riant. Il était déçu, et moi je voulais faire du shopping. Et j’ai trouvé un beau bracelet pour Ninah.

– Oh je crois qu’elle va aimer, Ninah viens une seconde ! dis-je

Ninah arriva et Brigitte lui donna le bracelet. Ninah était folle de joie et serra Brigitte et lui donnait plusieurs baisers très appuyés.

– Merci Brigitte, tu es trop gentille

– Non Ninah, c’est pour te remercier de l’hospitalité et je suis heureuse pour Pierre, car tu vas bien le soigner !

– Oh oui ! On peut passer à table !

– Oui dit Brigitte, mais avant, j’ai encore un cadeau pour toi, Pierre ! tu ne comprendras peut-être pas immédiatement son utilité mais il te servira lorsque tu n’auras pas suffisamment pour satisfaire ta partenaire ! Je suis sûr que nous allons le tester ce soir, car sans vouloir t’offenser, j’ai constaté que la qualité de ton érection faiblissait après quelques heures de jeux intenses, alors que nous les filles on en veut encore ! Comme nous sommes deux ce soir on pourra profiter de toi et ton « assistant », il est rechargeable et j’ai ajouté un tube de gel lubrifiant pour ne pas abimer notre intimité. On peut l’employer dans le vagin ou l’anus ou les deux à la fois avec cet appendice supplémentaire !

En sortant son cadeau nous éclatâmes tous les trois dans un rire fou, c’était un magnifique vibromasseur en forme de pénis de taille appréciable !

– Brigitte, tu es une vraie coquine, tu as trouvé ça ici à Kin ?

– Non je l’ai acheté au tax-free de Hong-Kong et je cherchais la bonne occasion pour te l’offrir !

– Alors mettons l’assistant à charger comme cela on pourra le tester ce soir !

Pendant le repas, le cadeau de Brigitte fit encore l’objet de notre conversation. Ninah n’avait jamais vu ce genre d’objet du temps du vieux DG. Elle ne comprenait pas très bien la différence avec un pénis en bois ou en silicone censé imiter le sexe masculin. Brigitte prit donc l’initiative de lui expliquer que l’objet contenait un système qui faisait vibrer le pénis dans le vagin ou l’anus de la femme.

Elle comprit bien sûr que le vibromasseur pouvait compenser la fatigue de l’homme après un ou des orgasmes répétés. Et donc trépignait d’impatience pour être la première à inaugurer le vibro sans attendre l’érection naturelle de mon soldat.

La table fut débarrassée en un clin d’œil et nous nous installions directement dans ma chambre. Le vibro était bien chargé et le temps de lire attentivement le mode d’emploi pour connaître les vitesses de massage, nous voilà se penchant sur le bas-ventre de Ninah. Après l’application d’une couche de lubrifiant, le pénis fut introduit dans le vagin de Ninah, qui émit des petits couinements puis Brigitte alluma le vibro sur la première intensité. Ninah fut d’emblée très surprise, les vibrations se propageaient dans son vagin et elle fut vite en transes. Brigitte demandait s’il fallait augmenter l’intensité, mais Ninah ne voulait pas :

– Ca donne du plaisir mais je préfère quand Pierre enfonce sa bitte et fait des allers-retours.

– Attends dit Brigitte et elle simula avec l’engin le mouvement naturel d’entrée et sortie en insistant sur sa perle à l’entrée du vagin.

– Oh oui, maintenant c’est bon !

Brigitte et moi regardions Ninah, se contorsionner autour du vibro pendant très peu de temps, elle cria son plaisir pendant que Brigitte se masturbait d’une main et agrippa ma verge de l’autre. Je sortis délicatement l’engin du corps de Ninah qui cherchait sa respiration et sans attendre l’enfonçais dans la fente de Brigitte qui se fit plaisir sans hésitation. Je voyais bien qu’elle avait de l’expérience et en quelques minutes elle grimpa au nirvana.

– Alors Ninah, demanda Brigitte, c’était bon ? on a vu que tu as joui très vite !

– Oui Brigitte, mais j’ai vu aussi que lorsque tu faisais des mouvements c’était beaucoup plus fort, mais je préfère le naturel. Viens Pierre, je te mets une capote et puis viens te vider chez moi.

Brigitte riait et supervisait la manipulation de Ninah, elle donna encore quelques conseils, puis Ninah se planta à califourchon sur moi et dansait avec sauvagerie sur ma bite. La cyprine et le lubrifiant firent que ma verge coulissait très (trop) bien et elle hurla son deuxième orgasme avant même que je sentis la tension monter dans mon sexe. Brigitte très attentive pris le relais sur mon corps et après beaucoup de gémissements de jouissance Brigitte et moi nous eurent notre orgasme quasi simultanément…

Ninah avec un plaisir évident, me débarrassa du condom et le jeta dans la salle de bains et puis vint s’allonger à côte de moi me serrant entre elle et Brigitte qui clignait déjà des yeux de fatigue. Ninah me fit encore des caresses amicales mais sensuelles et nous finîmes par nous endormir tous les trois.

***

Jour 19 (vendredi semaine 3)

### Pierre ###

Au réveil après les câlineries matinales et presque rituelles comme tous les matins depuis l’arrivée de Brigitte, Ninah et moi prirent une douche ensemble, mais très sage. Ninah trouvait cela très amusant sachant que je devais me pencher pour qu’elle puisse me savonner les cheveux, la tête et les épaules. Elle regardait comment je me rasais sous la douche puis je la savonnais avec une certaine tendresse. Je prenais vraiment un grand plaisir à l’enduire de mousse blanche qui cachait un peu sa couleur ébène profonde, je ne pouvais résister à faire jaillir ses tétons durs. Avec l’éponge je passais en douceur sur son intimité et entre ses fesses, elle aimait manifestement ces moments de lavage sous la douche, ses yeux brillaient de plaisir en voyant que je bandais. Comme le temps était trop court, elle n’insistait pas après m’avoir rincé se contentant de me sécher en insistant sur mon torse, mon ventre, ne négligeant pas mon épée dressée et mes cuisses.

Brigitte était encore dans le lit mais souriait en me voyant sortir de la douche mais avec mon épée au garde à vous et demanda :

– Tu vas travailler dans cet état ?

– Oui, Brigitte, je dois m’habituer à la douche matinale de Ninah, cela m’amuse beaucoup et je n’avais jamais imaginé de faire ma toilette matinale ainsi.

– Je connais quelqu’un qui va souvent dormir avec toi, fais gaffe Pierre l’amour n’est pas loin du jeu !

– Oui Brigitte, j’en suis conscient mais je deviens un vieux lubrique dis-je en riant.

La journée fut calme au bureau, j’hésitais encore toujours si j’allais répondre à Lysa. Amina, ce matin m’avait lâché que sa mère était particulièrement triste hier soir et encore ce matin elle semblait irritable. Elle me fit part de son inquiétude en pensant que c’était le stress provoqué par le travail à l’atelier :

– Oui maman m’a dit que ce soir elle voulait terminer une commande et qu’il ne fallait pas que je l’attende pour aller dormir, elle restera sur place quand elle aura fini.

Je sus donc qu’elle avait justifié son absence, je résolus donc de m’organiser moi aussi et répondis à Lysa : « je serai là. P. ».mon GSM clignota « ok » quelques secondes plus tard.

Restait à justifier mon absence…

– Amina , comme il fait calme et qu’il ne pleut pas, je vais quitter le bureau un peu plus tôt pour faire quelques achats.

– D’accord Pierre, à demain !

En même temps elle me fit un bisou, cette fois je ne détournais pas la tête et comme je m’y attendais ses lèvres touchaient ma bouche.

– Amina dis-je, qu’est ce que cela signifie ? dis-je doucement en souriant, j’ai l’impression que plusieurs fois tu essayes de m’embrasser sur mes lèvres ! Je crois que normalement les collègues s’embrassent sur la joue ! Cela ne me dérange pas mais quel est le message ?

Elle rougissait légèrement et un peu gênée me répondit :

– Oh Pierre, il n’y a pas d’autre message que tu es gentil avec moi et je te réponds en te montrant ma tendresse…

– Merci Amina, mais n’en fait pas une habitude et surtout pas en public ni devant ta mère.

– Pourquoi pas devant maman ?

– Rappelle-toi les rumeurs qui circulent à notre propos ! Ta mère a fait des menaces à mon égard lors de la réunion chez le DG, je tiens à mon intégrité !

– Mais non, ce ne sont pas des menaces !

– Amina, j’aime bien ta maman, mais je ne sais pas vraiment comment elle le prendrait si tu es trop …

– Trop quoi ?

– Laisse tomber ! à demain !

Amina, que veux-tu ? Quelle serait la réaction de ta mère si on ferait autre chose que s’embrasser – en pensant à ça mon soldat se réveillait ! Etait-ce pour Amina ou en perspective de la rencontre avec sa mère ce soir ? Qu’est ce qui me prend ? Laquelle des deux, mère ou fille, a ma préférence ? J’opterai certainement pour la jeunesse ! Je pensais que c’est une réaction normale pour un homme dans la quarantaine ! Nous sommes toujours attirés par une peau sans rides, des seins fermes et un ventre plat ! Lysa avait encore toutes ces qualités mais la perspective des années plaidait évidemment pour la fille, qui, si elle évoluait comme sa mère promettait encore de longues années érotiques ! Mais restait la question fondamentale qui avait perdu tant de blancs s’amourachant d’une femme africaine quelle sera la réaction des familles et que faire à la retraite ? Rester en Afrique ou retourner en Europe et déraciner la compagne ?

De mon côté, je n’avais pas de famille proche qui réagirait si je ramenais une femme africaine mais Lysa et sa famille ? Lysa ne sera pas contre si je glisse un anneau au doigt d’Amina, mais les oncles et tantes si elles existent ?

Je demandais à Zakpa de me déposer au centre ville et je le démissionnais pour le reste de la journée.

J’appelais Ninah :

– Bonsoir Ninah, est ce que Brigitte est là ?

– Oui, je crois qu’elle est sous la douche, je dois l’appeler ?

– Non Ninah, juste pour te signaler que je rentrerai très tard, Brigitte et toi ne m’attendez pas pour manger.

– D’accord !

– A ce soir

***

Le taxi me déposa pas loin de l’atelier.

Je rentre dans l’atelier par la porte entr’ouverte, à peine rentré la porte claque derrière moi, il n’y a presque pas de lumière et je suis pris par une main au niveau de mon sexe :

– Lysa ! doucement, si tu veux ne pas me rendre impuissant !

– Pierre, ça fait presqu’une semaine que je te désire !

– Non Lysa, ça fait une semaine que ton désir te domine et que tu as envie de sexe. Je ne suis que l’instrument de ton fantasme.

– Oui, peu importe, viens, suis-moi dans mon bureau, il y a un lit et je pourrai te voir, à la lumière.

A la lumière de son bureau, je vis que Lysa ne portait aucun vêtement ! Elle m’attendait donc nue derrière la porte de l’atelier. Fébrile, elle enlève mes vêtements et se jette avec sa bouche sur mon épée qui n’a même pas le temps de bander sérieusement.

– Tu n’es pas prêt Pierre, je vais réveiller ton sexe, prends mes seins, caresse-les je ne peux plus attendre, je suis comme une pute en chaleur. Mon Dieu, je ne me reconnais pas moi-même !

– Lysa, ressaisis-toi ! que se passe t‘il ? Pourquoi es-tu en transes ?

– C’est à cause de ta servante, tu couches avec elle ! je le sens et c’est pour ça que tu ne veux pas de moi !

– Lysa, non écoute-moi, regarde-moi et calme-toi ! Je ne suis pas ton amant, il est convenu qu’entre nous c’est uniquement du sexe, pas de sentiments. Tu es la maman d’Amina et je respecte notre relation, mais ça s’arrête là.

Je la secoue, je la redresse et la force à me regarder, ses yeux sont humides et elle embrasse mon épaule. Elle voit encore les traces de sa morsure et me demande :

– Qui t’a fait ça ? dit-elle suspicieuse.

– Lysa, c’est toi qui m’as mordu lors de notre première nuit ! lorsque tu as joui !

– C’est moi ? je te demande pardon Pierre, mais dis-moi la vérité !

– Lysa, tu n’as pas le droit de me vouloir pour toi seule, ma boyesse préserve ma vie privée et protège ce qui se passe à la villa. Et je ne veux pas que notre relation soit publique. J’ai de la visite à la villa et je ne veux pas d’histoires ! Viens calmement dans mes bras.

– Alors c’est vrai, ta veille cousine ?

– Oui, même si elle n’est pas très vieille !

– Tu la baises aussi ?

– Lysa, non, on ne va pas se comprendre, pas de jalousies, ma vie privée ne te regarde pas. Les caresses que je te donne, c’est du sexe, je te rends un service, je comprends ton désir de femme seule ! Ce n’est pas de l’amour ! je ne te fais pas l’amour mais je te baise ! excuse-moi si je suis vulgaire !

– Mais tu aime me rendre ce « service », je te plais non ?

– Oui Lysa, tu es très belle et ton corps m’excite.

– Oui Pierre, baise-moi alors !

Lysa était un peu calmée, je la pris donc dans mes bras avec tendresse, ses seins étaient durs, ses tétons étaient dressés et son vagin trempé. Chaque caresse sur son corps déclenchait de longs frissons. Elle s’agrippa à moi et me regardait avec des yeux suppliants. Qu’est ce qu’elle était belle sous son désir ! Sa peau transpirait légèrement et dégageait une odeur de noix de coco, que j’adorais ! Je ne résistais pas à sucer ses seins par taquinerie au départ, puis je réalisais que j’aimais sa peau et son corps !

Puis je descendis avec ma bouche sur son ventre, taquinais son nombril, puis embrassai son intimité, elle serra ma tête contre son corps en me suppliant de la caresser profondément. Chaque coup de langue à son intimité déclenchait des gémissements qu’elle ne devait pas atténuer vu que personne ne risquait de nous entendre !

Elle devenait de plus en plus excitée mais mes caresses buccales ne parvenaient pas à provoquer un orgasme apaisant.

Je pris donc un préservatif et le plaçais moi-même, car elle était beaucoup trop nerveuse, alors que la dernière fois elle avait placé la capote avec délicatesse et plaisir.

Je la pris en puissance et elle réagissait avec un hurlement bestial et primitif. Au bout de quelques mouvements à peine, elle eut un orgasme terrible, ses muscles enserraient ma verge de façon inattendue et je dus m’arrêter quelques instants pour qu’elle puisse reprendre ses esprits et sa respiration. Je baisais un volcan humain ! Cette femme avait accumulé tellement de désir !

Lorsqu’elle fut un peu calmée, j’étais toujours enfoncé en elle, naturellement elle bougeait son corps pour se donner du plaisir calmement. Ma verge sentait la pression et j’étais tellement impressionné que je me laissais aller à un orgasme apaisant.

Je me débarrassais de la capote et vint m’allonger à coté d’elle :

– Lysa, je peux te poser une question personnelle ?

– Oui, Pierre, reste encore un peu …

– Avec ton mari, tu avais souvent des rapports ?

– Oh oui, trois ou quatre fois par semaine ! Même parfois plusieurs fois par jour ! J’adorais faire l’amour avec lui, il m’a épousé lorsque j’avais à peine quatorze ans. Mes parents n’étaient pas très riches et mon mari travaillait déjà à l’Agence et était un beau parti ! Je crois que mes parents m’ont « vendue » pour assurer leurs vieux jours. Il m’a appris l’amour et m’aimait vraiment. Il était attiré par ma jeunesse et mon corps déjà bien formé. Il n’a jamais pris une seconde épouse et ne m’a jamais trompé avec un deuxième bureau ! Je fus tout de suite enceintée. Ma grossesse fut difficile et après la naissance d’Amina on a toujours eu des rapports protégés, je ne voulais plus d’enfant même s’il aurait bien aimé avoir un fils. Le matin de sa mort, on s’était encore aimé avec beaucoup de passion !

– Alors oui depuis la mort de ton mari, tu es en manque, ton corps demande du sexe !

– Oui et tu es le seul à qui j’ose demander ça ! Pardonne-moi Pierre, mais ta présence à la maison a provoqué cette nuit là une tension beaucoup plus grande qu’avec tous les hommes de mon entourage, qui m’évitaient à cause de mon veuvage. Ma fille est en admiration devant toi, et je me sentais encore capable d’être aimée !

– Bien, alors tu devras en parler avec ta fille et lui révéler ton problème ! car un jour ou l’autre ta fille va se jeter dans mon lit, car elle est en manque aussi depuis longtemps et il est clair qu’elle fait toutes sortes de tentatives pour me séduire. Je ne veux pas de disputes si un jour elle me demande le même « service ».

– Ce n’est pas vrai ! elle n’a jamais connu un homme ! Comment peut-elle te désirer ? Elle est toujours vierge !

– Lysa je ne prendrai pas sa virginité, car ta menace que tu as communiquée au DG est claire ! Je ne veux pas épouser une femme congolaise ! Alors décide-toi ! je ne veux plus que tu défonces ma porte et insulte Ninah ou qui que ce soit de mon entaourage que je voudrais baiser ! Si ta fille est au courant que tu veux baiser avec moi, ce sera plus simple non ? Cela freinera peut-être ses désirs pour moi !

– Non, je ne veux pas lui divulguer notre relation et je ne veux pas que tu la touches !

– Alors cherche-toi un autre partenaire ! Elle posera déjà moins de questions.

– Pierre, stp n’y a-t-il pas une autre solution ?

– Lysa, je te respecte, mais on ne peut pas continuer ainsi, ou alors maîtrise tes pulsions…

– Pierre, je comprends, je vais y réfléchir, mais en attendant puisque tu es ici, baise moi encore stp !

Et elle me fit un grand sourire et toucha ma verge, qui n’avait pas vraiment ramolli, son corps était excitant, elle était belle et elle me plaisait, oui je n’ai pas honte de le dire, depuis quelque temps les rapports avec Ninah et Lysa me faisaient penser que j‘aimais toucher, leur peau d’ébène ! La femme noire devenait un fantasme pour moi ! J’étais peut-être envouté ?

Cette fois elle était plus calme et elle coiffa ma verge d’une protection, elle s’assit en califourchon sur moi et s’empala sur mon épée avec un gémissement qui en disait long …

Je la laissai faire, elle montait et descendait pour se donner du plaisir et en finale cria son orgasme. Elle fut étonnée que je n’aie pas joui et voulut me finir :

– Non Lysa, c’est gentil mais j’ai encore des obligations ce soir, tu n’es pas la seule qui a des envies ! (je pensais que ce soir mon nouvel « assistant » sera utile !)

– Tu veux baiser ta servante ?

– Oui, ou ma vieille cousine ou les deux ! (cette affirmation de ma part était une provocation pour bien lui montrer que je n’avais pas de sentiments pour elle, juste de la tendresse pour son problème de sexe !)

– Bien et je ne peux pas être jalouse c’est ça ?

– Oui, ça fait partie de notre accord !

NDA : Ce chapitre était chaud ! Voilà donc l’explication aux pulsions de Lysa… Mais cela n’arrange pas Pierre ! Qui ne se rend pas encore très bien compte qu’il devra choisir un jour : Brigitte, Lysa, Amina ou Ninah ?

Demain sera une autre journée ! Il y a encore des surprises !

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