Jour 25 (semaine 4 – jeudi)

### Pierre ###

Ma montre me réveilla, Amina était toujours dans mes bras, j’entendis Ninah en nuisette qui rentrait dans la chambre.

– Je ne te voyais pas, pourquoi es-tu habillé et avec Amina ? Murmura-t-elle à mon oreille en se glissant près de moi.

– On a beaucoup discuté hier soir répondis-je toujours à voix basse.

– Et c’est pour cela qu’elle te montre ses seins ? Disait-elle toujours de sa voix douce et un sourire aux lèvres.

– Oui, Ninah elle veut du sexe avec moi et j’ai refusé !

Elle glissa sa main sur mon pantalon et tâta mon sexe

– Ta lance n’est pas en guerre ! Elle ne t’excite pas ?

Je n’eus pas l’occasion de répondre, bien que notre conversation fût murmurée, Amina ouvrit les yeux et nous souriait à tous les deux.

– Bonjour Pierre, mboté Ninah !

– Bonjour Amina ! répondions-nous en chœur

– Embrassons-nous, dit Ninah

Elle glissa sur moi pour m’embrasser sur la bouche puis fit pareil à Amina mais d’un baiser plus approfondi.

Je les regardais faire, je préférais cela à une dispute de jalousie, il est vrai que Ninah me partageait avec Brigitte et donc pourquoi pas un partage avec Amina !

La petite gazelle ne perdait pas le Nord !

Amina répondit à son baiser avec passion, Ninah passait sa main sur la poitrine dénudée d’Amina et provoqua des frissons violents. Ninah me regardait demandant mon approbation.

Je fis un signe discret, lui donnant mon accord. Elle déshabillait totalement Amina et commençait à la caresser sur toutes les zones érogènes. Amina était belle, elle gémissait sous les caresses de Ninah ! La vue des deux filles se caressant réveilla « ma lance » comme disait Ninah.

Je ne savais vraiment pas si je devais partir ou rester, finalement j’optais pour la seconde alternative, je me déshabillais et vérifiais si la table de nuit était bien approvisionnée en préservatifs, il y avait une grande réserve !

En me déshabillant je vis deux regards gourmands sur mon épée, Il faudra que je me domine, Ninah avait droit à la totale si ses règles étaient taries, mais pas question de déflorer Amina ! Je n’avais pas envie de reprendre la discussion de la veille.

Amina gémissait grave sous les caresses de Ninah, je ne voulais pas la toucher mais défis délicatement la nuisette de Ninah.

Elle murmurait à mon oreille :

– Oui, Pierre j’ai pris une douche ce matin, c’est terminé !

Je compris que sa « période rouge » était finie et donc elle me donnait accès à son intimité par la bouche et par mon sexe.

Elle était à quatre pattes au-dessus d’Amina et je devinais que bientôt elle plongerait entre les jambes d’Amina pour lui lécher son clitoris.

L’occasion était trop belle ! J’enfilais un préservatif et pénétrai en douceur Ninah. Son vagin était dégoulinant et donc ma pénétration coulissait aisément.

Ninah eut juste un petit cri lorsqu’elle sentit ma verge dans ses profondeurs. Je ne voulais pas la pilonner et donc fis des allers et retours en douceur. Je savais par expérience qu’à un rythme modéré, je pouvais tenir très longtemps.

Les caresses de Ninah devaient être très efficaces, Amina bien avant d’atteindre son orgasme gémissait de plus en plus de plaisir.

Je trouvais cette solution idéale, Ninah calmait le désir d’Amina et en même temps profitait de ma pénétration dans son vagin.

Moi, je profitais de la vision oh combien érotique, Amina grimpait dans les aigus et cria longuement lorsque son corps se cambrait sous la violence de l’orgasme. (Bravo Ninah, merci Brigitte, elle a bien appris tes leçons)

Ninah, se plaqua sur le corps d‘Amina pour lui donner des bisous et des caresses post-coïtales pendant que je continuais mon rapport en intensifiant le mouvement.

Ninah criait son orgasme pendant qu’Amina lui suçait les seins ! Je me penchais pour saisir un sein de Ninah et un sein d’Amina.

J’entendis des gémissements de jouissance sans pouvoir identifier laquelle des filles gémissait à mon toucher !

Je n’avais pas encore éjaculé mais je ne voulais pas prolonger notre union après l’orgasme de Ninah. Brigitte aimait assez que je continue, mais d’autres femmes pas. Il faudra que je demande à Ninah quelles sont ses préférences !

Je me retirais, mais Ninah attentive se retourna vers moi interrogative. Elle défit le condom sous le regard attentif et intéressé ( ?) d’Amina.

Elle prit mon soldat (toujours au garde-à-vous) dans sa bouche. Amina écarquillait des yeux ! Ninah avait de l’expérience maintenant, il ne fallut pas longtemps pour que j’expulse longuement dans sa bouche ! C’était puissant et je voyais des étincelles pendant de longues secondes. Elle avalait une grande part et puis demanda en souriant à Amina si elle voulait goûter !

Amina était encore choquée de ce qu’elle venait de voir, mais acquiesçait à ma grande surprise. Ninah lui fit un baiser profond avec le sperme qu’elle avait encore en bouche ! Et puis l’invita à lécher ma verge !

Amina n’hésita pas une seconde, elle léchait ma verge comme une glace, en faisant des longs passages sur mon bâton. En bon soldat, mon serpent se réveilla comme le dit Ninah et Amina vit de très près ma verge en érection.

Sa figure passa de l’étonnement à l’amusement et imita les gestes de va-et-vient que Ninah venait de faire devant ses yeux ! Je pris sa tête entre mes mains et l’embrassais sur la bouche, pendant que Ninah passait sa main sur ses tétons.

Amina gémissait dans ma bouche, ses yeux pétillaient de plaisir !

Voilà, j’avais refusé pendant la moitié de la nuit le plaisir à Amina et en moins d’une heure Ninah avait solutionné le problème !

Cela faisait 25 jours que j’étais à nouveau en Afrique et j’avais trois femmes noires qui voulaient jouer avec moi ! Et moi qui ne voulais pas baiser une femme noire, je m’étais accroché à trois négresses à la fois. Une femme de mon âge, veuve, qui était en frustration sexuelle. Ma boyesse dévergondée par Brigitte qui réapprenait le contact d’un homme. Et maintenant ma collaboratrice personnelle, vierge, qui voulait coucher avec moi depuis le jour de notre rencontre !

Quel retournement de situation !

Comme on avait projeté de travailler à la villa, il n’y avait aucune urgence à sortir du lit ! Le petit-déjeuner pouvait attendre un peu !

Ninah se lovait à son habitude dans mes bras pendant qu’Amina me regardait profondément dans les yeux.

– Que fait-on maintenant ? me demanda-t-elle.

– Eh bien dis-je on laisse nos corps se calmer, on prend le petit-déj. Et puis on va travailler !

– C’est tout ? répliqua Amina

– Oui, Amina tu veux ajouter quelque chose au programme ?

– Ce soir, tu me laisseras venir dans ton lit ?

– Oui, mais Ninah sera là aussi !

– D’accord, mais tu me feras l’amour ?

– Oui et non, des caresses oui, la pénétration non ! Il n’y a pas de discussion là-dessus, est-ce clair ? Et encore une chose vis-à-vis de l’extérieur, nous sommes collègues, point à la ligne. C’est d’accord ?

– Et avec maman ?

Ninah riait, mais je fis des gros yeux à Ninah et elle comprit !

– Tu ne diras rien à ta maman ! Je ne veux pas d’ennuis dis-je avec autorité et fermement à Amina.

On restait encore quelques minutes ensemble, Amina regardait attentivement Ninah qui me faisait des câlins, puis vint se lover de l’autre côté et me fit des bisous tout tendres sur mon visage et mes lèvres, en disant :

– Ici dans la chambre, je peux n’est-ce pas ?

– Oui, ma grande ! Ne m’en veux pas pour ces règles strictes ! Mais la discrétion est nécessaire.

– Tu aimes ce que Ninah t’a fait ?

– Oui, mais c’est un plaisir partagé, Ninah adore me faire une fellation. Je ne l’oblige à rien. Elle aime le sexe.

– Je pourrai aussi sucer ta verge ?

– Tu peux faire tout ce que tu veux, sauf au risque de me répéter, pas de pénétration !

– C’est vrai ce que tu m’as dit hier soir ?

– Oui, ma grande !

– Pourquoi tu m’appelles « ma grande » je suis aussi petite que Ninah que tu appelles « ma gazelle » ?

– Amina, ce sont des mots de tendresse ! Rien de plus ! Et puis même si je t’appelle « ma grande » au bureau ou devant une tierce personne, ça n’a de signification que pour nous deux. Tu comprends ?

– Oui Pierre, je peux te dire que je t’aime ?

Pendant tout ce dialogue, je sentis Ninah de l’autre côté qui me cajolait sous les draps et qui riait en douce des questions d’Amina. Et elle intervint gentiment dans la conversation :

– Amina, Pierre nous aime, parce que nous sommes ses amies, mais nous ne sommes pas ses femmes. Pour toi c’est pareil, tu peux jouer au sexe avec lui mais pas de sentiments !

– Mais Ninah, hier soir il m’a dit « je t’aime » !

– Oui, je l’ai dit intervins-je, je ne le nie pas mais j’aime aussi Ninah, je m’explique : J’ai de la tendresse pour vous deux, si vous êtes malades ou tristes, j’ai de la peine et je ferais tout pour vous aider. Je ferais tout pour vous rendre heureuses, maintenant et plus tard. Si Ninah ou toi Amina vous rencontrez demain l’homme de votre vie qui veut vous épouser et que vous êtes du même avis, je serai heureux et vous donnerai les moyens de réaliser votre bonheur. Et ne me dites pas maintenant « je veux rester avec toi ! ». Je suis dans votre pays pour quelque temps seulement, si demain l’entreprise m’envoie dans un autre pays ou en Europe, je serai triste, mais je ne vous prendrai pas avec dans mes valises. Votre avenir est ici, mais je vous promets que je ne vous oublierai jamais !

– Mais Pierre si demain maman te donne la permission de m’épouser que feras-tu ?

– Amina, tu n’es pas un objet qu’on vend ou qu’on achète ! Le mariage de ta maman était un contrat entre deux familles, mais aujourd’hui tu décides pour ton bonheur ! Les familles ne devraient plus décider à ta place, même si je sais que cela arrive encore. Je suis sûr que ta maman te laissera décider seule pour que tu vives avec l’homme que tu auras choisi ! Restons en là pour le moment, Ninah j’ai faim pour manger ! Cesse de me câliner, la récréation est terminée !

Ninah sortit de la chambre en riant, Amina me regardait avec des yeux tristes, je l’embrassais sur son front :

– Amina, ne sois pas triste, je ne veux pas te faire pleurer ! Si j’ai dit des choses qui te blessent, je te demande pardon ! Tu es intelligente, réfléchis à notre conversation ! et viens me parler quand tu veux. D’accord ?

– Oui Pierre, mais je n’abandonne pas, si un jour tu veux te marier, je me mettrai en haut de la liste, comme prétendante.

– Ok Amina, je te note sur ma longue liste de toutes les femmes qui veulent ou ont voulu m’épouser. Sois patiente !

En disant cela, je mis mes deux mains sur ses joues et lui donnai un tendre baiser sur sa bouche et sortis nu de la chambre.

Je passai par ma chambre pour mettre mon kimono, Ninah récupérera tout à l’heure mes vêtements restés dans la chambre d’Amina.

Dans la salle à manger, je retrouvai Ninah en top blanc et son short favori, Amina était en petite robe d’intérieur que je n’avais jamais vue !

– C’est tout joli ! c’est ta maman qui l’a confectionnée ?

– Oui, me répondit-elle avec un grand sourire, c’est un prototype de robe d’intérieur que maman veut lancer. Mais elle n’est pas encore dans sa version définitive. Quand elle sera prête je te la montrerai !

– J’aime surtout la grande échancrure qui met tes seins en valeur !

– Je le dirai à maman, elle sera charmée !

– Ne lui dis surtout rien du tout ! Je ne sais pas si elle est au courant que tu la portes dans ma maison et en ma présence.

– Non, mais rappelle-toi elle n’a jamais fait une observation lorsque nous avons déjeuné ensemble à la maison et que maman et moi on était en négligé ! Maman était dans un déshabillé qui ne cachait rien, moi je portais sa nuisette et toi tu bandais comme un éléphant !

Nous riions de bon cœur tous les trois, Ninah me demandait si elle aussi pourrait s’acheter une robe pareille !

Amina et moi après avoir déjeuné, nous nous installions dans mon bureau, et pendant quelques heures nous mettions tous les chiffres dans les tableaux Excel. Amina était sérieuse dans son travail, même si quelques frôlements intentionnels de sa part me troublaient. Vers midi, je commençais à être émoustillé de la vue de son décolleté et je pris ses épaules, écartais les pans de sa robe et posai un baiser sur l’aréole la plus proche de moi puis refermai la robe sans aucun commentaire ! Amina ne put retenir un gémissement mais répliqua :

– Si je n’étais pas ta collaboratrice, je déposerai plainte à la DRH pour harcèlement, mais comme je tiens à ma place, je ne dirai rien pour le moment ! Mais lors de la sieste après le repas, je demanderai l’aide de Ninah pour me venger de cet affront, de cette atteinte à mon intégrité physique !

– D’accord Mademoiselle, j’accepte l’arbitrage de Ninah !

Je n’ajoutai rien d’autre car Ninah venait de rentrer silencieusement dans le bureau pour nous proposer de déjeuner et son sourire en disait long qu’elle nous avait entendus flirter !

Le repas de Ninah était succulent et je signalais après le repas que je m’octroyais une sieste de deux heures pour reprendre ensuite le travail jusqu’au coucher du soleil !

Je partis dans ma chambre, pendant qu’Amina et Ninah rangeaient tout en se faisant des messes basses ponctuées de rires.

Je me couchai, sachant bien que dans quelques minutes, les deux femmes viendraient chercher leur plaisir dans ma chambre.

Quatre petits pieds entraient silencieusement, ayant les yeux fermés, je ne voulais pas influencer les filles dans leurs désirs. Je sentais le lit bouger des deux côtés et je fus entouré de mains exploratrices sur mon visage, mon torse, mon ventre, mes jambes mais aucun attouchement sexuel !

J’ouvris les yeux pour constater que mes copines étaient nues et se servaient de mon corps pour se faire des câlins, tout en parcourant mon corps. Les deux femmes se faisaient face, frottant leurs seins l’une contre l’autre en prenant appui de leurs mains sur mon corps. Leurs mouvements pour s’exciter leurs tétons sans autre contact manuel faisaient qu’elles devaient maintenir leur équilibre en posant leurs mains à divers endroits de mon corps !

Le spectacle était magnifique, je voyais deux paires de seins s’entrechoquer devant mes yeux, leurs tétons dressés. Les mouvements étaient ponctués de bouche-à-bouche violents qui ne se séparaient que pour sucer leurs mamelons !

Mon soldat voulait participer à ce jeu et écartait les pans de mon kimono pour montrer sa présence !

Ninah perfidement nota mon érection et souriait au résultat obtenu, elle fit remarquer des yeux seulement à sa complice que ma verge demandait son dû !

Amina, débutante à ces jeux sexuels, écarquillait des yeux et tenta un toucher léger pour sentir l’élasticité de mon érection en inclinant ma hampe qui se redressait aussitôt, provoquant le rire des deux naïades/cariatides. Amina était hypnotisée par mon engin qu’elle voyait de près pour la première fois et qui pulsait violemment devant ses yeux !

Ninah enfin prit mon engin en mains et décapsulait brutalement mon gland, provoquant un grincement de jouissance que je ne pus maîtriser. Ensuite elle me masturbait des deux mains, la longueur de mon pénis était suffisante pour encore y ajouter une troisième main.

Sur une invite silencieuse de Ninah, Amina osait le geste qu’elle m’avait déjà fait si souvent lors des moments de stress : prendre ma verge en main ! Mais cette fois-ci, il n’y avait plus aucun tissu que couvrait ma lance ! Elle accompagnait le mouvement initié par sa complice en me regardant. Je voyais le teint de son visage rosir de plaisir !

Je les stoppais toutes les deux sous peine d’éjaculer dans leur figure, je ne voulais pas terminer ma jouissance maintenant !

Je basculais Amina sur son dos et me couchai sur elle, Ninah suivit le mouvement et lorsque ma bouche descendait sur le ventre d’Amina, Ninah prit possession de ses seins.

Je réalisais que je n’avais pas encore touché l’intimité d’Amina ! J’hésitais un moment, mais Amina comprit mon mouvement, elle voulait que je lui fasse la même caresse que Ninah lui avait pratiquée ce matin ! Elle prit ma tête et la poussa contre sa fente…

Je me laissais faire, son entrejambe était fraîchement rasé ! Je passais ma langue sur l’intérieur de sa cuisse en remerciant silencieusement Ninah pour avoir ouvert le chemin.

Son corps sentait la lavande, mais la cyprine qui coulait était poivrée, je léchais tout ce qui se trouvait sur ses jambes, ma verge coincée sous mon corps devint douloureuse par son érection, j’allais devoir redoubler de prudence ! Je devais absolument me maîtriser et respecter la vierge qui était à portée de main (et de bouche et trop près de ma lance !!).

Ninah malaxait les seins et moi je finis de pénétrer avec ma langue très délicatement entre ses lèvres intimes, Amina gémissait et poussa plus fort sur ma tête :

– Oui Pierre, ça fait des semaines que je rêve de ce moment ! Fais-toi plaisir et donne-moi l’amour. Prends-moi, je ferais tout pour te plaire !

Je trouvai son clitoris, ce premier toucher de son bouton magique, c’était merveilleux ! Jamais je n’avais pensé que cette femme me ferait bander à ce point !

Soudain je sentis une main agrippant ma verge ! Ça ne pouvait être que Ninah ! Je tournai donc légèrement mon bassin pour lui permettre un accès aisé à mon membre. Elle avait bien appris, ce n’était pas une masturbation brutale mais une douce caresse enseignée par Brigitte !

J’écartais un peu plus loin les jambes d’Amina qui comprit que je voulais aller le plus loin possible, elle souleva son bassin et glissa un coussin sous ses fesses. J’étais au plus profond ! Je poussais et retirai ma langue. Le bout de ma langue touchait son hymen ! Je devais faire attention de ne pas l’abîmer ! Je reculais donc légèrement ma langue pour rester à l’entrée et me concentrai sur son clitoris.

Amina mouillait vraiment abondamment, je suçais et parvenais à peine à suivre l’écoulement que j’avalais.

Elle cria mon nom en se cambrant, ses jambes serraient ma tête comme un étau de forgeron, j’avais jamais senti une telle force chez les femmes que je faisais jouir ! Je ne pouvais pas bouger, je ralentis donc le mouvement de ma langue pour accompagner les vibrations de son vagin. Lorsque je pus dégager ma tête, je regardais son visage, ses yeux étaient fermés mais sa bouche arborait un sourire de jouissance et de satisfaction, j’embrassais une dernière fois son clitoris ce qui provoqua de nouvelles vibrations et un cri supplémentaire !

Je me couchais entièrement sur le côté laissant l’accès total pour Ninah qui sortit un préservatif de la pochette ! Bonne initiative !

Amina regardait attentivement la manipulation de Ninah, celle-ci en experte déroula le préservatif sur ma verge, puis enjamba mon corps pour s’empaler sur ma lance avec un gémissement de satisfaction sentant le remplissage de son vagin. Elle prit appui sur les épaules d’Amina pour renforcer les montées et descentes sur ma verge.

C’était divin ! Je voyais le regard d’Amina puis je vis pour la première fois Amina qui se caressait. La vue de la danse de Ninah sur ma verge l’excitait à ce point ? Amina était en transes, sa masturbation devait être efficace ! Soudain elle se plia en deux en gémissant, faisant perdre l’équilibre à Ninah que je rattrapais de justesse et ce qui nous permit de continuer notre jeu !

Je ne pouvais plus tenir, les caresses, la vision Ninah qui serrait son vagin, ma verge était saturée de ces délicieuses incitations et je lâchai tout. J’eus encore le temps de voir Ninah se courber sous l’orgasme avant que ma vue s’obscurcit sous la jouissance !

Lorsque je repris conscience, je sentis Ninah couchée sur moi haletante et Amina contre mon corps une main dans le dos de Ninah cherchant également sa respiration !

Ninah cherchait ma bouche juste pour un bisou car il ne lui était pas possible de m’embrasser profondément. Malgré mon orgasme puissant, mon soldat ne se rendait pas « no pasaran ! ». Il palpitait encore dans le vagin de Ninah ! qui sentit les vibrations. Son regard plein de tendresse se penchait sur ma hampe qui sortit lentement de sa cachette au fur et à mesure que Ninah se levait de son assise épuisée.

Amina se réveillait aussi de sa transe :

– Maintenant je comprends l’expression « la petite mort » ! et aussi les tableaux qui ornaient la chambre : un avec la femme assise sur l’homme et l’autre avec la tête de l’homme entre les jambes de la femme ! Ninah était dans la même attitude et Pierre m'a caressé avec sa langue entre mes jambes.

– Oui dit Ninah et le vieux DG voyait ça tous les jours !

Ninah défit le condom et le jeta dans la salle de bains, puis elle eut un regard compatissant sur ma bitte dressée.

– Ne t’en fais pas Ninah, je vais travailler, la journée n’est pas finie et je voudrais encore avancer un peu, demain vendredi, Amina sera à la répétition du mariage et donc je prendrai ce jour pour aller faire les achats avec toi, Ninah. Car samedi soir au retour de la fête la maman d’Amina logera ici. Et dimanche nous pourrons nous reposer jusqu’à lundi matin ! Fin de la sieste récréative !

– Oh Pierre, je ne pourrai pas !

– Si Amina, la vie n’est pas faite que de sexe ! Il faut bosser aussi !

NDA : Je ne sais pas si le prochain épisode sera plus calme, ce seront les derniers préparatifs avant le mariage de la petite sœur de DG ! Moment de stress intense et d’étincelles entre les participants !

Soyez gentils (gentilles) avec l’auteur, il a vraiment besoin d’encouragements, donc abonnez-vous et votez svp! Merci !