Chapitre 4 : Une nuit de folie !
Remarque : Ce chapitre contient une scène explicite qui ne convient pas aux personnes âgées de moins de 18 ans. En raison de la nature mature de cette partie du texte, il est strictement réservé à un public adulte averti.
Je quittai le travail aux alentours de 16 h 30 et rentrai directement à l’appartement. Ma tante était déjà installée sur le canapé, fixant son téléphone avec insistance. Je suppose qu’elle m’attendait avec impatience, désireuse de connaître tous les détails de ma croustillante journée.
En refermant la porte d’entrée derrière moi, je l’entendis relever doucement la tête dans ma direction et me sourire de toutes ses dents. Je m’approchai d’elle et m’assis à ses côtés sur le canapé, n’oubliant pas de retirer mes chaussures dans le hall d’entrée et de suspendre mon manteau.
Une fois confortablement installé sur le canapé tout en cuir du salon, je pris une grande inspiration :
— Alors, raconte-moi, comment s’est passée ta première journée ? Tu rentres tôt, non ? Ça s’est mal passé ? Demanda-t-elle rapidement.
— Mon patron avait des réunions très importantes, alors il a décidé qu’exceptionnellement, je pouvais finir le travail plus tôt. Ma journée s’est plutôt bien passée. Pour l’instant, je n’ai fait qu’observer mes collègues sur les tâches qui me seront proposées. Il m’a présenté toute l’équipe et mon bureau, et j’ai aussi pu visiter l’entreprise. Pas tout en détail, c’est tellement grand ! Dis-je en levant les bras aussi hauts que possible pour « montrer » la hauteur du bâtiment. Et…
Pendant presque une heure, je relatais tout en détail, ma journée, et répondis à ses questions avec soin et attention. Elle écoutait chaque parole, chaque mot qui sortait de ma bouche, comme si mes paroles valaient de l’or. Elle hochait la tête de temps en temps, manifestant son intérêt pour chaque anecdote que je partageais.
Il était 17 h 30 lorsque je décidais de prendre une douche et de me changer. Une fois, cela fait, mon téléphone sonna, indiquant un appel entrant. Je pensais d’abord que c’était ma mère, voulant savoir comment s’était passée ma journée, mais ce n’était pas le cas. Une autre personne, à laquelle je ne m’attendais pas du tout, m’appelait.
— Bonsoir, Victoire ! J’espère que je ne vous dérange pas ? Demanda Brandon, mon séduisant patron.
— Non, pas du tout. Y a-t-il un problème ?
— Pas du tout. Cependant…C’est un peu délicat à expliquer. On se connaît à peine, j’en suis bien conscient… Mais il y a une soirée commémorative au bureau ce soir, et… je me demandais si, par hasard, vous pourriez m’accompagner à cette soirée ? Je sais que cela peut paraître étrange, mais… dit-il en bafouillant.
Je ne m’attendais vraiment pas à cela. Mon patron m’invite à sa soirée commémorative… Et en plus, il semble tellement embarrassé au téléphone, ce que je trouve très craquant. D’un autre côté, je ne sais pas si je devrais accepter… Était-il en train de me séduire, en créant ce prétexte pour m’inviter ?
Décidément, j’avais vraiment l’esprit mal-placé.
— Écoutez... Je veux bien… Mais pourquoi m’avoir choisi ? Vous n’avez pas d’autres personnes pour vous tenir compagnie ce soir ?
— Pas du tout. Je suis seul et cela me ferait plaisir que vous veniez.
Cela me semblait un peu rapide comme méthode de séduction, mais après tout, pourquoi pas ? Je décidais d’accepter sa proposition.
— Parfait ! Je vous remercie énormément, Victoire ! Une limousine sera devant chez vous, aux alentours de 19 h 30, cela vous convient-il ?
— Mais comment savez-vous où j’habitude ?
— Votre CV, Victoire…
— Oh ! Dis-je, très embarrassé. Eh bien, dix minutes, c’est parfait. Mais vous savez, je peux venir à pie..
Je n’eus même pas le temps de finir ma phrase, qu’il raccrocha. Drôle d’individu, tout de même.
Il me restait un peu plus de deux heures, soit peu de temps, pour m’habiller, me coiffer et me maquiller. Je me rendis donc dans mon dressing et choisis une tenue appropriée pour ce soir.
Après plusieurs minutes à contempler toutes mes robes de soirée, je finis par opter pour une robe qui attirait particulièrement mon regard. C’était une robe très courte qui m’arrivait mi-cuisse, et très moulante, épousant avec perfection les courbes de mon corps. La coupe ajustée soulignait ma taille et mettait en valeur mon fessier. La robe était d’un beige délicat, une teinte très douce à l’œil qui complétait bien mon teint. Ce qui la rendait spéciale, c’étaient les paillettes qui la recouvraient entièrement.
Comme la robe n’était pas du tout adaptée à cette saison hivernale, je décidai de prendre un manteau rose pâle pour me protéger du froid extérieur. Ce manteau s’accordait à merveille avec ma robe beige pailletée. Il a été confectionné à Paris, avec un tissu chaud et confortable, idéal pour les soirées très fraîche.
Pour compléter ma tenue, je choisis des chaussures à talons de la même couleur que la robe. Ces escarpins, très élégants et raffinés, allongeaient mes longues jambes et ajoutaient une note de sophistication. Elle créait une harmonisation parfaite à ma tenue, créant un look cohérent et chic, sans trop en faire.
Concernant la coiffure, je ne voulais pas quelque chose de trop extravagant, donc j’optai pour une simple queue de cheval sur le côté. Cette coiffure, à la fois élégante et décontractée, mettait en valeur mes traits sans en faire trop. Pour agrémenter cette coiffure assez simple, je mis de petites boucles d’oreilles dorées qui encadraient à merveille mon visage avec subtilité.
Pour le maquillage, je remis un coup de mascara pour intensifier mon regard. Je maquillai légèrement mes yeux avec du marron cuivré, une teinte chaude qui faisait ressortir la couleur de mes yeux. Pour finir, j’appliquai un rouge à lèvre marron clair.
Une fois prête, je jetai un coup d’œil à l’horloge. Il était 18 h 50.
Je me dirigeais alors vers le salon où ma tante se trouvait toujours, n’ayant pas bougé depuis plusieurs heures.
En m’entendant arriver, elle leva la tête.
— Waouh ! Tu es magnifique ! S’exclama-t-elle, les yeux pétillants. Tu as des plans pour ce soir ?
— Oui, mon patron m’a appelé pour m’inviter à la soirée commémorative de l’entreprise qui a lieu ce soir au bureau, répondis-je.
— Tu veux que je t’y emmène ? Proposa-t-elle.
— Ce n’est pas nécessaire, une limousine viendra me chercher à 19 h 30, expliquais-je.
— Une limousine ? Dit-elle, surprise. Eh bien… Ton patron doit être vraiment très sympa, pour envoyer une limousine te récupérer.
— Je ne pense pas que ce soit lui qui vienne me chercher, mais plutôt son chauffeur, précisai-je.
— Dis donc, tu as de la chance, petite cachottière, dit-elle en posant sur moi, un regard malicieux.
— Pourquoi, me regardes-tu comme ça ? Demandai-je, embarrassée.
— Pourquoi rougis-tu ? On dirait que ton patron ne te laisse pas indifférente…
— Pas du tout ! On se connaît à peine ! Et puis la question ne se pose même pas ! C’est mon patron, ce genre de relation est totalement interdit, répondis-je vivement.
— Oui… Oui…
Un coup de klaxon interrompit notre conversation et retentit dans la pièce. Était-il déjà 19 h 30 ? Que le temps passe vite…
— Je dois y aller, dis-je
— Profite bien de ta soirée !
— Merci !
Je déposais un baiser sur la joue de ma tante et quittais l’appartement du haut de mes talons de 12 cm. En sortant de l’immeuble, je vis une grande limousine blanche garée devant le portail. Les passants regardaient le véhicule avec curiosité.
Un homme sortit de la voiture du côté passager.
— Bonsoir, Mademoiselle Smith. Je m’appelle Franck et je serai votre chauffeur ce soir, dit-il en ouvrant la porte arrière. J’espère que vous passerez un agréable trajet en ma compagnie.
— Bonsoir Franck, répondis-je avec gentillesse en montant dans le véhicule.
Franck retourna s’installer à sa place derrière le volant.
— Souhaitez-vous un petit rafraîchissement ? Demanda-t-il.
— Ce n’est pas nécessaire, merci Franck, répondis-je poliment.
La limousine démarra et je laissai mes pensées vagabonder. Je fermai les yeux et appuyai ma tête contre l’appui-tête de mon siège. Soudain, je ressentis des sensations très agréables au niveau de mon dos et de mes jambes. Je compris que j’étais assise dans un siège massant et chauffant. Je me détendis instantanément. Malheureusement, le trajet de l’appartement à l’entreprise fut très court, ne durant pas plus de dix minutes. Je n'eus pas le temps de profiter pleinement du massage que nous arrivions déjà à destination.
— Nous sommes arrivés, Mademoiselle Smith. J’espère que vous avez passé un agréable trajet avec moi, dit-il.
— J’ai passé un excellent moment en votre compagnie, Franck. J’espère de tout cœur vous revoir un jour.
— Sans aucun doute, Mademoiselle.
Le SkyCorp de nuit était encore plus impressionnant que de jour, se distinguant parmi les nombreuses autres entreprises environnantes. Des lumières scintillaient de partout, et une musique vrombissait à l’intérieur de l’établissement, signalant que la fête battait son plein, même s’il n’était que 19 h 40. Devant le bâtiment, des dizaines de personnes fumaient leur cigarette, avant de retourner à l’intérieur. Ils discutaient avec joie et rigolaient. Des rires résonnaient de toute part, créant une ambiance très conviviale.
Soudain, un trac m’envahit. C’était la première fois que j’assistais à une fête de cette envergure. Le stress était palpable. Je n’arrivai même pas à ouvrir la porte de la limousine pour descendre du véhicule. J’avais l’impression de vivre un rêve éveillé.
Des milliers de questions me trottaient dans la tête. Je ne connaissais presque personne à part le patron et quelques collèges de mon département. Est-ce qu’ils seraient tous présents ? Ils étaient tous très sympathiques. Et si Brandon ne venait pas ? Ce qui serait absurde puisqu’il m’avait invité… Et si je n’arrivais pas à bien à me comporter ? Et si je ne tenais pas l’alcool ? Et si j’étais malade pendant cette soirée ?
Toutes ces questions étaient ridicules, j’en étais bien consciente. Je me secouai la tête pour chasser ces pensées absurdes.
La porte de la limousine s’ouvrit, me faisant sursauter. Je ne m’y attendais pas du tout. Je remarquai que le chauffeur était toujours à son siège. Alors, qui pouvait bien ouvrir la porte ?
Brandon était là, imposant et sûr de lui comme toujours, souriant de toutes ses dents.
— Bonsoir Victoire. Je suis absolument ravie que vous ayez pu venir à cette soirée, dit-il d’une voix grave et sensuelle.
Il me tendit la main et je la pris avec plaisir pour m’aider à descendre du véhicule imposant. J’avais l’impression d’être une princesse sortant de son carrosse.
— Vous êtes absolument magnifique ce soir, murmura-t-il près de mon oreille gauche, pour que je sois la seule à l’entendre.
Un agréable frisson me parcourut tout le long de mon dos jusqu’à mon cœur qui commença tout doucement à battre la chamade. Il posa son autre main sur ma taille, presque au niveau de mon fessier. Un geste peut être anodin pour lui, mais très agréable pour moi. Peut-être même un peu trop…
— Merci beaucoup ! Vous êtes aussi ravissant avec ce costume qui vous va à ravir.
Il me sourit en guise de remerciement et referma la porte de la limousine, qui repartit aussitôt, tout en m’accompagnant vers l’entreprise. Il m’escorta jusqu’à un petit groupe dans le grand hall, où des personnes sirotaient des alcools forts. Je ne le savais rien qu’à l’odeur assez forte que dégageaient les boissons. Ces personnes, je ne les avais jamais rencontrées. Je ne savais pas dans quel département elles travaillaient.
— Laissez-moi vous présenter Victoire, notre nouvelle stagiaire au sein de SkyCorp, qui va travailler à mes côtés puis avec l’équipe de communication et marketing, commença-t-il en me présentant au groupe. Victoire, voici quelques amis de longue date : Damien, Véronique, Maxime et Stéphane. Termina-t-il en me présentant chacun de ses amis.
— Enchantée, tout le monde. Je suis ravie de faire votre connaissance.
— Nous de même, dit Damien.
— Eh oui ! Ça fait 15 ans que l’on se supporte ! Expliqua le fameux Stéphane, un monsieur à ma droite, sur un ton plaisantin.
Brandon le frappa doucement à l’épaule, de manière très amicale.
— Arrête de plaisanter ! Tu sais très bien que je ne peux pas me passer de toi. Aujourd’hui encore, tu as accepté de venir à ma soirée au lieu de jouer à tes jeux vidéo. Dit Brandon.
— C’est totalement faux. Je reste avec toi UNIQUEMENT parce qu’en soirée, tu amènes des tas de jolies filles, toute plus belles les unes que les autres, dit Stéphane en me regardant d’un air très taquin et insistant.
— Il n’est pas question que tu la touches, ni même que tu t’approches de Victoire, est-ce clair ? Dit Brandon d’un ton autoritaire et froid, connaissant par cœur les intentions de son ami.
— Oh, déjà protecteur à ce que je vois ? Plaisanta Stéphane.
Un seul regard de Brandon envers son ami suffit à le faire détourner le regard. Moi, je n’osais même pas bouger. Je n’avais même pas remarqué que Brandon avait déposé son bras autour de mes épaules, comme pour me protéger. Mais de quoi ?
— Excusez-moi, je vais aller me chercher une petite collation, dis-je précipitamment, en m’extirpant de ce groupe d’amis et surtout de MON PATRON.
Je me dirigeai vers une table au fond de la pièce, où se distinguaient toutes sortes de pâtisseries et de boissons alcoolisées. Tout en contemplant ce lot de nourriture, je sentis le regard de Brandon sur mon corps.
Je commençais à me servir quelques gâteaux raffinés dans une assiette et en mangeai une grande partie avant de sentir deux grandes mains chaudes m’enserrer la taille et un corps très musclé épouser mes formes à la perfection.
Je fus tellement surprise que je renversai mon assiette de gâteaux.
— Merde, jurais-je
J’essayais de me retirer de ses bras, mais il était trop fort. Alors, je regardais autour de moi, mais personne ne semblait prêter attention à ce qui se passait. Il se rapprocha encore plus de moi et je sentis une bosse se frayer un chemin parmi mes fesses. Je savais pertinemment de quoi il s’agissait, mais nous étions au milieu de tous ces gens… Quelqu’un finirait bien par remarquer ce qu’il se passait ?
Comme s’il lisait dans mes pensées, il murmura doucement :
— Allons dans mon bureau.
Il prit délicatement ma main et nous nous dirigeâmes tous les deux vers l’ascenseur. Une fois les portes refermées, la situation bascula.
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Attention : Scène très explicite. Interdite au moins de 18 ans.
Il se mit à m’embrasser avec passion sur la bouche, mais également dans le creux de mon cou. Il picora ma peau très sensible à ce niveau, ce qui m’arracha un petit gémissement de plaisir. Je basculais ma tête en arrière pour lui faciliter l’accès à mon cou, qu’il avait l’air d’apprécier. Sa main glissa sous ma robe et caressa mes cuisses de haut en bas sans toucher ma partie très sensible, que je sentais s’humidifier à son contact.
— Tu penses réellement que je ne t’avais pas reconnu, dit-il. Toi, la fille de l’avion…
Oh mon Dieu… Il m’avait donc bien reconnu. Pourquoi, ne m’avait-il rien dit auparavant ?
Dès qu’il prononça ses paroles, mon corps réagit au quart de tour.
Les portes de l’ascenseur se rouvrirent et Brandon passa ses deux bras sous mes jambes pour me porter. Il me souleva avec une facilité assez déconcertante. Je n’étais pas enveloppée, comme personne, mais je n’étais pas légère non plus…
Il traversa le long couloir que je reconnus aussitôt. Il m’emmena directement à son bureau, ouvrit la porte et me posa sur son grand bureau avec une vue grandiose sur la ville en pleine nuit. Il se détacha de moi, et se dirigea vers la porte pour la refermer.
Ok. Là, les choses sérieuses vont commencer. Je n’avais pas spécialement prévu que les événements de ce soir, se passeraient ainsi, mais bon… Allons-y… Je n’ai qu’une seule vie, donc profitons-en.
Mais je sens que je vais peut-être le regretter plus tard.
Dès qu’il referma la porte, un sourire assez malicieux se forma sur mes lèvres et j’écartais mes jambes pour qu’il ait un accès plus facile à mon intimité. Je sentis que ma culotte blanche devait toute humide et qu’une tache d’humidité s’était former.
Quand il découvrit cette tâche, il revint vers moi et m’embrassa avec passion en entra sa langue dans ma bouche. Celle-ci caressa délicatement la mienne. Je sentis son haleine qui sentait la menthe et l’alcool qu’il avait bu, quelques minutes auparavant.
Ses mains caressaient d’abord mon dos pour ensuite aller se réfugier sur la fermeture éclair de ma robe au niveau de mon dos. Il abaissa la fermeture et je l’aidais à retirer ma robe en soulevant mes bras. Mon corps était presque nu. Il ne restait plus que mes sous-vêtements. Heureusement que j’avais pensé à mettre des sous-vêtements assortis.
Il se recula pour me contempler avec attention. Je ne me sentais pas forcément à l’aise sous son regard, plein de sous-entendus. Je mis mes mains sur mon soutien-gorge, pour avoir un peu plus d’intimité.
— Ne te cache pas de moi. Tu es magnifique.
— Je suis désolé. Je ne suis pas forcément à l’aise… Je n’ai pas l’habitude qu’un homme me regarde de cette façon.
— De quelle façon parles-tu ?
— D’une manière assez équivoque… Sur ce qu’il va se passer ensuite…
— Oh ! Mais j’avais l’intention de passer aux choses sérieuses avec toi. Tu es d’accord avec ça ? Dit-il en m’embrassant mon lobe d’oreille. Une zone particulièrement érogène pour moi, comme la peau de mon cou.
Je fermais les yeux pour apprécier ce moment. Quelques instants plus tard, je décidais de prendre les choses en main.
Je descendis du bureau et me mettais à genoux devant lui, au niveau de sa braguette. Je descendis celle-ci et retirai l’objet de mon intention. Elle était assez grosse, mais surtout longue. Elle était déjà en forme quand je posais ma main sur sa longueur. Le bout était tout rouge et un liquide transparent ressortais de son bout. Quand je touchais cette zone, Brandon grogna de plaisir.
— Je devrais dire que toi aussi, tu n’es pas mal non plus, dis-je en faisant de doucement va et vient.
Ne voulant pas trop réfléchir sur ce moment. Je me mis à lécher avec délectation, cette « glace » chaude en posant ma langue sur son bout tout violet. Brandon sursauta un instant, qui ne s’attendait pas à ce que je fasse ce genre de chose, mais très vite, il attrapa mes cheveux, toujours en queue-de-cheval, et imprima un rythme qui lui plaisait.
Au bout de quelques minutes, Brandon émit une grimace et me força à arrêter ma démonstration.
— Que se passe-t-il ? Ça ne te plaisait pas ? Demandais-je.
— Pas du tout. C’était incroyable. Mais je voudrais te faire plaisir.
— Oh ! Dis-je en rougissant.
Je m’assis sur le bord du bureau, le bois froid contre ma peau nue, et écartai lentement mes jambes, offrant à Brandon une vue imprenable sur mon intimité. C’était à son tour de s’agenouiller devant moi. Il glissa ses doigts le long de la bordure de ma culotte, avant de le glisser doucement le long de mes cuisses, révélant progressivement mon sexe. Il se mit à parsemer mes jambes de millions de petits baisers. Il commença par mes pieds, remontant lentement, savourant chaque centimètre de ma chair. Ses lèvres effleurèrent mes mollets, genoux, cuisses.
Pour mieux savourer ces sensations exquises, je m’allongeai plus confortablement sur le bureau. Je pouvais sentir chaque mouvement de son corps, chaque caresse de ses lèvres, chaque souffle contre ma peau.
La langue de Brandon trouva mon bouton d’amour, et il commença à jouer avec une habilité qui me fit haleter. Ses mouvements étaient à la fois délicats et précis, chaque coup de langue envoyant des vagues de plaisir à travers mon corps. Il goûtait mon nectar qui commençait à couler de mes puits, savourant chaque goutte avec passion, intensifiant mon excitation. Pendant ce temps, l’un de ses doigts trouva l’accès vers mon mont Vénus, traçant des petits va-et-vient le long de l’entrée de ma grotte chaude et humide. Avec lenteur, il fit pénétrer son doigt en moi et continue de faire des mouvements rapides tout en poursuivant ses léchouilles intenses sur mon clitoris.
Des sensations incroyables parcoururent tout mon corps et cela titilla avec perfection le bout de mes tétons qui pointa d’excitation. Je poussais des gémissements assez forts et je priais pour que les autres, ne m’entendent pas.
Juste au moment où je sentais une vague de plaisir m’envahir, prête à me submerger complètement, Brandon arrêta son traitement. D’un seul coup, il retira ses doigts et sa langue, laissant un vide immense et un désir insatisfait.
— Mais ? Dis-je confuse et frustrée.
— Désolé. Je ne voulais pas que tu prennes ton plaisir tout de suite.
Il se releva doucement et d’un geste habile et pressé, il ôta son pantalon qu’il lança au fond du bureau. Il ouvrit ensuite le tiroir de son bureau et en sortit un préservatif. En quelques mouvements très précis, il le déroula sur son membre, prenant soin de s’assurer que tout était en place. Pendant ce temps, j’enlevais mon soutien-gorge, laissant mes seins libres. Nous étions tous les deux nus, vulnérables et excités, prêts à explorer chaque recoin de notre désir.
Il revint vers moi et m’embrassa avec ardeur. Je sentis la pointe de son anatomie toucher mon endroit féminin. Il fit de doucement vas et vient à l’entrée en touchant mon bouton. Quand il sentit que j’étais suffisamment humide et prête, il rentra son engin à l’intérieur de moi et une explosion de plaisir me parcourra le corps. Je n’avais jamais connu de sensation aussi incroyable de toute ma vie ! Il poussa lui-même un gémissement de plaisir, tout en effectuant des allées et venues avec une énergie redoutable. Mon corps se ballottait.
J’étais transportée dans une autre dimension, un monde ou le temps semblait se dissoudre et où ma capacité à réfléchir avait disparu. Tout ce qui comptait, c’était l’instant présent, et nous étions ensemble, enveloppés dans une euphorie partagée. Nos corps étaient en sueur et chaque mouvement, gestes, caresse semblait avoir un sens très profond et précis. Nous étions en symbiose !
Pendant ce qui a semblé être des minutes, peut-être même des heures, nous nous mouvions l’un autour de l’autre dans une danse sensuelle et passionnée. Nous changions régulièrement de position, explorant et découvrant le corps de l’autre. Il y avait des moments où il était au-dessus de moi, dominant notre union avec fermeté. Puis les rôles s’inversaient, et je prenais le dessus, savourant la sensation de domination de mon partenaire, avant de passer à des positions plus animales et instinctives, comme à quatre pattes, où chaque mouvement devenait une exploration plus profonde de notre désir.
Finalement, une vague de plaisir a commencé à monter en moi, une sensation intense et indescriptible, semblable à une décharge électrique qui se propageait dans tout mon corps. Cette vague n’était pas seulement physique ; elle était émotionnelle, mentale, une libération totale de tout ce que je ressentais. Mon corps réagissait de manière totalement incontrôlable, de petits sursauts de jouissance parcourant chaque centimètre de ma peau. Je ne pouvais pas retenir mes cris d’enthousiasme.
Alors que la vague commençait à se dissiper, je ressentis une connexion encore plus profonde avec Brandon qui se vidait dans son emballage. Je ne pouvais sentir son propre plaisir monter en lui, ses muscles se contractant à l’intérieur de moi, transmettant des ondes de plaisir qui raisonnaient en écho avec les miennes...
Dès qu’il eut fini, il se retira de moi.
— Waouh ! C’était incroyable ! Dis-je encore sous l’effet de mon plaisir.
— Je suis content que cela t’ait plu. Je suis désolé, je dois te laisser. Je dois retourner à la fête. Dit-il en remettant ses vêtements.
— Mais attends !
Trop tard. Il était déjà reparti.
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