Rappels en début de tome 3

7 minutes de lecture

Hello les filles !

Je suis très fière de vous annoncer que j'ai totalement fini le 1er jet !

Après six ans de travail, Masques & Monstres est TERMINÉ !! Enfin ! Je suis libre !

Nous aurons donc 4 tomes en tout (vous êtes en train de lire le début du 4e tome).

Actuellement, j'ai mis ce premier jet de côté (vous n'aurez pas de nouveaux chapitres à lire avant un petit moment) car je suis en train de préparer la sortie du tome 3. Celui-ci contient les arcs des archanges et de Midas.

Je suis en train de revoir les rappels qui seront présents en début de tome 3. Si vous en avez le temps, est-ce que vous pouvez me dire si tout est bon ?

(J'ai prévu aussi d'ajouter plusieurs grosses scènes qui se dérouleront chez les archanges ! Je vous les posterai dès qu'elles seront écrites)

------------------

Les points clés du tome 2

Le territoire d’Actéon : En traversant Lyon au début du tome 2, le convoi a affaire à Actéon. Ennemi juré d’Aegeus, l’immortel a déjà été aperçu par les sœurs dans le tome 1 (voir les rappels en début de tome 2). Il tient à ses mille chiens comme à la prunelle de ses yeux. L’un de ces molosses est retenu en otage par Aegeus, un plan censé assurer la sécurité du convoi. Mais lorsque certains boyards maltraitent l’otage, Pouet sort de ses gonds, suivi de Blanche et Cornélia qui prennent la défense du chien. Celui-ci parvient à s’enfuir et retrouve son maître légitime, mettant le convoi en danger…

Alors que tous se voient déjà réduits en charpie, Aegeus parvient de justesse à retourner la situation. Actéon accepte de mettre en jeu la survie du convoi dans un combat d’arène, qui opposera Aaron à l’un de ses monstres.

Hélas, dans l’arène, Aaron se retrouve face à Asmar, son ancienne tarasque qu’il croyait morte. L’âme en miettes, il sort tout de même vainqueur du combat. Actéon s’incline devant cette victoire et tient parole : le convoi est libre.

Mais lorsqu’il atteint enfin la frontière, tout dérape. Iroël fait évader des dizaines de nivées emprisonnées dans les fermes-usines d’Actéon. Alors que les créatures tentent de se joindre au convoi, pourchassées par la meute de l’immortel, Aegeus retourne sa veste et ordonne aux boyards de mitrailler tous les chiens, brisant le pacte de non-agression. Le convoi quitte alors le territoire d’Actéon et entre dans Las Vegas, laissant un bain de sang derrière lui.


L’évasion et ses conséquences : Sous l’impulsion de Blanche (toujours elle !) les deux sœurs se lancent dans une tentative d’évasion désespérée pour rejoindre le monde réel, en volant l’un des camions du convoi. Leur fuite s’achève sur un échec cuisant. Elles perdent Pouet et Oupyre et récoltent la haine des boyards et les menaces d’Aegeus. Celui-ci s’en prend à Greg pour les punir.

Grâce à Iroël, elles parviennent finalement à cacher Greg sous un masque de chapalu (une sorte de monstre amphibie qui ressemble au croisement incertain d’une loutre, d’un bouledogue et d’un chat écrasé). Toujours grâce à Iroël, elles retrouvent Oupyre, mais celle-ci est en danger : suite aux meurtres de plusieurs boyards par une créature inconnue, la colère gronde dans les rangs du convoi, et la hase est la première suspecte. Iroël la camoufle donc sous un masque de jackalope, une créature inoffensive, à peu près similaire aux wolpertingers.


Le territoire d’Homère : Les sœurs rencontrent bientôt cet étrange immortel, qui a abandonné son humanité au profit d’un corps robotique. Il s’agit d’un grand pacifique, qui prend soin des nivées qui errent à Las Vegas et tente de lutter contre le manque d’eau potable de la Strate. Mais il s’agit surtout de l’une des plus anciennes connaissances d’Aegeus. Au terme d’une partie de poker gagnée par Blanche avec brio, il leur révèle des images d’archive issues du passé d’Aegeus.


La vouivre : Grâce à Homère, les sœurs découvrent que le chef du convoi est une vouivre, une sorte de dragon d’eau, et a été jadis capturé, maltraité et condamné à combattre dans des arènes, avant de réussir à se hisser dans la sombre hiérarchie de la Strate. Blanche et Cornélia découvrent aussi que les vouivres sont dotées d’une pierre merveilleuse qu’elles portent sur le front, qui fait défaut à Aegeus. Elles comprennent qu’il s’agit du fameux « orbe », volé par Iroël, pour lui extorquer des places gratuites dans le convoi.


La mystérieuse clé d’or : Homère mentionne l’importance de la petite clé d’or qu’Aegeus a confié à Cornélia au début du voyage. Blanche, qui n’en a jamais entendu parler, se sent trahie et une dispute violente les oppose. Leur relation, déjà mise à mal par leur fugue ratée, se détériore de plus belle. Blanche finira par voler la clé à Cornélia et essayer d’ouvrir le coffre noir appartenant à Aegeus. Sa tentative échoue, mais les sœurs découvrent le matagot, la créature bavarde qui vit dans ce coffre.


Les masques du convoi : Tous les boyards sont désormais en possession d’un masque fabriqué par Iroël et apprennent à se métamorphoser sous les ordres d’Aegeus. La fracture s’aggrave entre les deux sœurs lorsque Blanche parvient à maîtriser parfaitement son masque de raijū et devient l’éclaireuse du convoi, tandis que Cornélia refuse de se transformer et subit un harcèlement des boyards. Après que Cornélia se soit violemment vengée sur l’un d’entre eux, Iroël l’encourage à maîtriser son masque de tzitzimitl. Blanche accepte de l’aider à s’entraîner aux métamorphoses, et les deux sœurs finissent enfin par se réconcilier. Cornélia parviendra même à utiliser le pouvoir de la tzitzimitl, qui permet de marcher dans le ciel sur un chemin d’étoiles, et à comprendre la « langue sans mots ».


La langue sans mots : Le langage silencieux des animaux et des nivées, qui s’expriment par des gestes, des expressions et des regards. À force de métamorphoses, Blanche et Cornélia la comprennent toutes les deux à la fin du tome 2.

Les personnages et nivées du tome 2

Mitaine : Malgré son côté débonnaire, ses belles rondeurs et sa superbe chevelure de fougères, cette dryade est une vraie boyarde qui ne lâche jamais son fusil d’assaut (surnommé Bibiche). C’est la seule à sympathiser avec les sœurs au début du voyage. Elle n’a pas d’organes humains – excepté une vessie – et vit par photosynthèse. Sa peau est couverte de mousse, sauf trois de ses doigts, écorchés par des braconniers qui l’ont jadis capturée et « marquée ». Grâce à un masque d’Iroël, elle peut se transformer en groostlang, une sorte de gigantesque serpent de pierre affublé d’une tête d’éléphant.

Gaspard : Un boyard au long visage rieur, aux yeux très clairs et aux muscles noueux, qui manifeste une certaine sympathie envers Blanche et Cornélia. Il ne prend jamais ouvertement leur parti, mais quand Aegeus lui ordonne d’abattre Greg, il fait en sorte de sauver le matou, suite à quoi les sœurs le considèrent comme un allié. Malgré ses chamailleries incessantes avec Mitaine, il semble attaché à la dryade, et les sœurs finissent par découvrir qu’il l’a jadis sauvée lorsqu’elle était esclave chez Midas. Avec son masque, il peut se changer en manticore, un fauve terrifiant à tête humaine et à queue de scorpion. Contrairement à tous les humains du convoi, il ne semble pas subir les variations temporelles de la Strate.

Beyaz : un grand soldat taciturne et musculeux, défiguré par une large brûlure, qui manifeste parfois des bribes de sympathie envers les sœurs.

L’hippalectryon : une créature du convoi, croisement improbable entre un étalon noir et un coq au plumage flamboyant. Il fait preuve d’une vanité certaine mais semble apprécier les sœurs ; Blanche le surnomme Monsieur Plume-verte. Grâce à elle – ou à cause d’elle –, il se retrouve obligé de prendre un petit poulain sous son aile, rescapé de chez Homère.

Les harpies : Mi-femmes mi-oiseaux, ces trois déesses de la dévastation sont alliées à Actéon et massacrent une partie du convoi lors de son passage à Lyon. Beaucoup de dragons perdront la vie à cette occasion.

Baba Yaga, Kochtcheï-sans-mort, le Gel : Trois démons russes qui feront échouer la fuite de Blanche et Cornélia à Las Vegas. Lorsqu’Aegeus les confronte au sujet du dérèglement climatique, ils refusent de voir la vérité en face.

L’Airavata : Un éléphant blanc gigantesque, à trois têtes et six yeux, issu de la mythologie hindouiste. Il a la capacité de créer des nuages de pluie, pouvoir ô combien utile dans la Strate. Mais celui que les sœurs connaissent n’est qu’une copie du vrai Airavata : c’est un masque fabriqué par Iroël pour abreuver le territoire d’Homère.

Le matagot : Un diablotin ayant la forme d’un chat noir à la langue bien pendue, qui vit dans le coffre d’Aegeus. Son exosquelette et ses yeux d’un vert radioactif n’inspirent pas franchement confiance, mais il semble bien disposé envers Blanche et Cornélia (qui l’ont pourtant jeté par terre et soudoyé avec des boîtes de pâtée pour chat). Il est dévoué au Diable et collectionne jusqu’à neuf maîtres à la fois, qui tous sont promis à Satan à plus ou moins long terme. Si ses maîtres prennent soin de le nourrir tous les jours, il peut démultiplier leur richesse ; mais au moindre manquement, il leur arrache leur âme pour l’apporter en Enfer.

Les kitsunes : deux femmes-renardes hautaines et dangereuses, à priori japonaises. La plus jeune veille jalousement sur sa grand-mère. Lorsqu’elles se trouvent sous forme humaine, elles portent des diadèmes couronnés d’un crâne de renard, et inversement lorsqu’elles sont renardes.

Les bakus : des nivées pacifiques, au corps de tigre noir, à la tête d’éléphant. Ils absorbent des rêves pour se nourrir et peuvent aussi transmettre des souvenirs et des pensées d’une personne à une autre. Grâce à eux, Cornélia et Iroël entrevoient l’enfer qu’ont vécu les coulobres dans les élevages d’Actéon.

Les hydres : De gigantesques reptiles aux multiples têtes, qui font partie du convoi. Pacifiques, elles sont au nombre de trois : deux parents et un petit. Ils s’entendent très bien avec les jackalopes.

Les jackalopes : de grands lapins aux cornes de cerf, proches des wolpertingers, mais inoffensifs et herbivores. Ils acceptent Oupyre parmi eux et se joignent au convoi, bien qu’ils n’aient pas payé leur place, ce qui fait râler Aaron.

Les zonures & thyréophores : deux espèces de dragons qui sont opprimés par Actéon et exploités dans ses élevages. Ils ont quasiment disparu du convoi après avoir pris part à la bataille contre les mille chiens d’Actéon.

[Se reporter au bestiaire du tome 2 pour plus d’informations]

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 1 versions.

Vous aimez lire Cornedor ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0