Chapitre 4
Ce bar m'est inconnu, mais quand un chat noir entre par la fenêtre resté ouverte, tout ce complique. Des ailes sortis de nul par engouffre cet enfant entre elles pour le protéger, mes ailes. Puis, là, assis sur une chaise devant le contoir, un homme. Le rêve se transforme. Assise prêt de l'inconnu, il me demande de le rejoindre, calmement, je comprends, il n'est pas un homme ordinaire. Plus jeune je l'ai deja vu sous une autre forme, cette chose qui me poursuivait à travers un champs de canne à sucre. Je m'y cachais jusqu'à me reveiller en sueur.
Et là, la question se pose. Que c'est-il passé ? Et plus vous cherché à savoir, plus vous vous engouffrer dans cette autre réalité.
Où je suis il fait bon vivre, parfois la pluie, et parfois le beau temps. se lever, se laver, préparer à manger, manger . . . Cette routine inepuisable est je l'avoue, rassurante. Ailleur, il y a pire ! Mais quand est-il du dangé, de la passion, se comprendre respirer, sentir sa main posé dans l'autre, se sentir vivre. Tout ça, aussi petit qu'est ce désir parfois oublié, parce que l'on y pense pas spécialement ! Je prends le temps de respirer et je peux vous dire, que c'est aussi magique qu'un joli rêve. Prendre le temps de regarder les nuages comme quand j'étais enfant et bien, je me sens vivre, et j'oublie le pire de mes cauchemard.
Cette jeune femme que je regarde dans le miroir n'est pas moi, mon esprit m'appartient, mais ce corps n'est pas le miens. Je t'ai obervé, puis je t'ai comprise. L'amour que tu ressens pour celui qui te tiens la main, ce regard que tu partage avec lui, on ne le voit pas souvent. Ton grand amour. Puis, quelque chose me pousse à être toi, je suis toi. . . Lui le comprend immediatement, alors qui suis-je ? Le rêve, ou la réalité ? Le passé, ou le présent ?
Ce rêve est encore plus étrange de ceux que je fais abituellement. Il me pousse à me poser encore plus de questions. Suis-je l'humain ou l'esprit ? Un esprit peut-être oublier, qui vit dans une boucle infenale. Comment savoir ce qui est réelle ? Et c'est au moment ou vous semblez le plus perdu qu'il se passe quelque chose. . .
Les étoiles brillent dans le ciel, la solitude me pèse, et mon seul réconfort c'est la beauté de l'immensité de ce que j'ai sous les yeux. Assise sur le toît, je pense, et quand la fatigue me gagne je rejoint mon lit attendant d'être bercé par celui-ci.
T'elle un echo, cette voix est mon réconfort, elle m'appaise. Moi qui, plus tôt étais perdu, je me retrouve devant cette montagne, et sans levé la tête la galaxie fait partie du ciel où je me trouve. Cette voix qui me dit de ne pas pleurer car je peux voir le monde comme personne ne le peux.
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