Chapitre 5
Une nué de papillons blanc m'entour, volent autour de moi. Cette electricité s'empare de mon être et réchauffe mon coeur. Comme un songe, je me sens rassurée, comme si on me prenait par la main. La tristesse, la solitude, l'incompréhension, ne dur qu'un instant. Car si vous pouvez voir les signes, vous ne serez plus dans ce gouffre qui vous brûle à petit feu. Vous n'êtes pas seule . . .
Ce soir je suis toi. Perdu dans ce desert de sable de couleur chaire, une tempête nous guête. Mes hommes s'arrêtent et montes une tante. Je sais que mes parents veulent que je devienne une puissante reine. C'est pour cela que je dois rejoindre le temple.
Un rêve qui ne s'arrêtera pas à là, car quelque temps plus tard, je verrais la suite. C'est donc là que je me dis qu'il n'y a aucun rapport entre ceux qui c'est passé dans la journée et ces rêves.
Ce temple est gigantesque, je traverse un couloir sombre avec un de mes garde. Mon père et ma mère m'y attendent au bout de celui-ci. Les torches allumé illumine l'immense pièce au haut plafond. Une sorte de sorcier est là, je ne veux pas qu'ils me fassent leurs petit tour de magie ! Mais je ne m'appartient pas vraiment. Ce dernier me souffle dans la bouche, mes yeux se remplissent de noir. Je ne suis plus seule dans mon corps. Cette noirceur c'est emparé de moi, et pourtant je la combat, j'arrive à la combattre. Je suis à nouveau moi, et eux, fière de leur fille qui a passé cette étape avec succès. Entre temps, je me suis souvenu que dans l'autre monde j'étais Mégane, j'avais une famille. Et que je n'hésiterais pas à tout abbandonner pour eux. Mes parents savaient leurs existance.
Est ce ma vie ou celle d'une autre ? Je ne sais pas où tout cela va me mener, mais j'ai l'impression qu'il y a quelque chose de tellement grand qui me guide. Si c'est la vie d'une autre, alors, elle me ressemble. Alors je suis elle, ou, elle est moi ? Le serpent qui se mort la queue. L'oeuf ou la poule. Un cercle vicieu. Voilà où j'en suis. Il n'y a pas de fausse réponse, ni de mauvaise question. Juste une éternel insatisfaction.
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