Chapitre 10

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*Aujourd'hui je vais vous conter l'histoire d'une jeune femme au nom de Lanna. Elle peut être moi, ou pas !*

Son nom était sur la liste, mais personne ne savait qu'elle était la favorite de l'homme le plus important de l'assemblé.

Quand l'une d'entre elles, en eu vent, elle s'empressa de le répéter. Lanna fû jetté dehors et battu. Elle ne se souvînt plus du nom de son sauveur, il était marqué en elle, oui, mais avait été effacé. Elle cria tout de même de toute ses forces, "Aides moi". Il lui avait dit que si elle avait besoin de lui, de ne pas hésiter à l'appeler. Sa souffrance était si grande qu'il l'entendit dans l'au delà.

Chaque centimètre de son corps s'engouffra sous la queue de l'énorme animal qui apparu comme par magie, entourant tout son être.

- Je m'étouffe. Réussit-elle à dire. Ramenant le dragon à la raison. Sa colère était sans limite. Toute les souffrances qu'elle avait pu ressentir, il la partagait aussi. Un seul mot de cette femme et ils n'auraient fait qu'un seul être.

Son regard croisa celui de Lanna, un regard profond et dorée à l'or pur. Qui était-il ? Mais, tout lui revînt en une seconde. Il était celui qu'elle aime, elle en avait la certitude.

- Je t'aime. Ce sont ces mots qu'il attendait. Il pris son envole et disparru dans le vide de la pièce, une nuée d'étoile ce mit à briller, descendant jusque Lanna.

Son corps se transforma en celui d'un homme majestueux. Ses yeux étaient les même que celui du dragon. Il s'avanca jusqu'aux portes du monastère qui avait été fermé quelque minute plus tot par la grande pretresse.

- Vous devez tous voir ce qu'elles sont. Des femme plus hautaines les unes que les autres, sans scrupule, des dragonnes, jalouses en quête de pouvoir. Qui n'auraient surtout pas dû profanner la femme qu'il aimait plus que tout.

Sans aucun mot les femmes lui offrit deux objets d'or, ils étaient un souvenir lointain du roi dragon. Mais ce qu'elles ne savaient pas, c'est que les mains qui pris ces objets, etaient les mains de Lanna qui avait compris leur intention de posseder le dragon.

Celui-ci se rejouis de la clairevoyance de Lanna. Il s'avança vers l'assemblé,

- Toi, je vais t'arracher la tête, et toi, il montra du doigt les personnes concerné, je vais te bruler tout doucement pour que tu souffre.

La pensé qui vînt aux deux êtres fantastique était qu'ils pouvaient se voir dans le monde des rêves, mais que dans le monde des vivants ils ne faisaient qu'un. Un seul corps pour leurs amours eternel.

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