J'avais fuit, sans me retourner, je n'avais pas chercher à comprendre qui était l'homme qui c'était retrouver devant moi, peut être un pervers, ou alors un homme qui avait lui aussi fui quelque chose, mais malgré tout le grondement sourd qu'il avait produit m'avais fait complètement fuir et je n'avais pas arrêter ma course folle avant d'avoir atteint ma maison dans l'espoir que cette personnes ne m'ai pas suivis. Je l'espérais, je ne voulais pas que ça arrive. Je ne voulais pas qu'un homme que je ne connais pas me suive, j'avais peut être tout fait pour atteindre la mort plus tôt, ce faire suivre n'étais pas la meilleure des options.

Une fois en sécurité dans ma maison porte verrouillé, je jetais un rapide coup d'œil à la fenêtre, vérifiant par la même occasion que personnes ne se trouvais devant, et heureusement pour moi personne ne m'avait suivis, je n'avais plus à m'inquièter, je n'avais plus rien à craindre. Ma soirée écourtée je n'avais pas pu observer les étoiles à ma guise et je n'avais pas l'intention de retourner à cette endroit avant un moment, je ne voulais pas retenter l'expérience.

Je filais donc sous la douche pour enlever l'odeur de sueur et de peur que j'avais pu avoir sur moi, ne sait on jamais, et filais me coucher, l'adrénaline redescendu, je me sentais fatigué, et sachant que demain je devais reprendre le travail, je ne voulais pas me fatigué d'avantage devant un programme ou un film.

Le lendemain, je n'avais pas envie, comme tout les jours, et la soirée d'hier tournais en boucle dans ma tête, je ne sais pas si il était utile d'aller voir la police et de déclarer ce que j'avais vu, qui me croirais quand je leurs raconterais que j'avais entendu le grondement sourd d'une énorme bête ? Et qu'ensuite un homme nu était apparus ? On penserais que j'avais pris quelque chose, ça ne servais à rien, je me préparais alors lentement, prenant le temps qu'il me fallait pour me décompresser, et essaye vainement de penser à autres choses, mais ce fut impossible, arrivée à mon travail, un nouveau client m'attendais, et mon estomac se fit violence pour ne pas rejeter ce que je venais de manger.

En effet en face de moi se trouvais l'homme d'hier soir, j'en étais certaines, je n'avais pas eu le temps de correctement voir son visage, mais j'étais sur de me trouver face à lui, habillé bien évidement cette fois, mais je ne saisissais pas, comment m'avait-il retrouvé ? Comment avait il su où je travaillais ? J'étais pourtant sur de ne pas avoir été suivis, hier soir et encore moins ce matin, ce n'étais pas possible.

« - Qui êtes vous ? Ma voix tremblais légèrement, un léger malaise au creux de l'estomac.

- À vous de me le dire, que faisiez vous hier soir sur cette falaise ? Une voix rauque, animal.

- Je viens toujours là bas, et je n'ai jamais rencontré ni d'animaux ni personnes, alors je repose ma question, qui êtes vous ?

- Naos, et vous ?

- Je ne donne pas nom au patient.

- Vraiment ? Pourtant il est de coutume de dire son nom quand on demande celui d'autrui ? Ce n'est pas comme ça que ça marche ?

- Non, en tout cas pas du patient à son psychologue, cela instaure une certaine distance entre vous et moi.

- Bien alors une fois cette séance finis aurais je le droit de le savoir ?

- Reviendrez vous ?

- Probablement.

- Alors non. Répondis-je lasse de jouer à ce petit jeux avec cet inconnu.

Un sourire au coin des lèvres et ses yeux ancré dans les miens laissait clairement comprendre que cette situation l'amusais.

- Que faites vous ici ? Quels sont les problèmes qui vous amènes dans mon cabinet ?

- Voyez vous, il y a cette jeune femme que j'ai rencontré récemment qui m'attire inexorablement, mais je n'arrive pas à en comprendre le sens, et elle refuse de me donner son nom.

- Bien, et quoi d'autres ?

- Vous n'avez pas de commentaire à faire ?

- Je vous donnerais mes impressions avant la fin de la séance.

- D'accord, et j'ai certains problèmes personnel que vous ne pourriez pas comprendre, voyez vous cela dépasse l'entendement humain. Pouvez nous passez à vos impressions docteur ?

- Rien d'autres à ajouter ?

- Rien, seulement que je suis légèrement agacée de ne pas connaître le nom de cette fille.

- Bien. Répondis-je. Si cette fille refuse de vous donnez son nom c'est que vous ne l'intéressé sûrement pas, voyez vous, quand une fille vous dis non, il ne sert à rien de forcer et...

- Je suis pourtant du genre à plaire voyez vous.

- Et bien vous ne plaisez pas à tout le monde.

- Et je vous plais ?

- Vous voulez une réponse honnête ?

- Toujours.

- La réponse est non, vous ne me plaisez pas.

Son sourire disparu, vexé de ne pas plaire, mais ce n'est pas parce que on se croit beau que nous le somme forcément.

- Vraiment ? Pourtant je suis le type d'homme qui vous conviendrais.

- Ne venez pas à ces conclusions, nous ne sommes pas amis, et nous ne nous connaissons pas, je n'ai pas à débattre de mon type d'homme avec vous, si c'était tout vous pouvez partir, il n'y a rien a tirée de cette séance pour vous, ne chercher plus à recontacter cette jeune fille, et quand à vos problèmes personnel je suis sûr que vous pourrez les réglées vous même. Répliquais-je d'une voix sourde, je n'avais pas spécialement envie de rester une seconde de plus en présence de ce mégalomane psychotique.

Un grondement sourd ce fait entendre. Je me figeais à ce bruit, alors cela voulais dire que ça venais réellement de lui ? Impossible un humain n'est pas capable de produire un tel son, je relevais les yeux vers lui, lui faisant comprendre par la même occasion de partir.

- On se reverra soyez en sur Mademoiselle.

Une fois la porte referme je soufflais, impossible pour moi de le revoir, je ne voulais pas. Il n'y avait pas moyen que je puisse le recroiser quelques part. Mais ce type était louche, je ne voulais plus avoir à faire à lui.

Ma journée avait été donc écourté, et j'avais finis par rentrer chez moi exténué, une douche rapide, et je m'étais endormis, terrifiée à l'idée d'un jour le recroiser, comme si il pouvais savoir où j'étais.

----- Auteur ------

J'espère que ce deuxième chapitre vous à plu, je ne sais pas si je serais régulière quand je posterais, comme je ne peux pas écrire comme je veux avec mon travail, mais j'espère sincèrement que cette histoire vous plait.