« Et soudain, les peupliers s'embrasent : que ne puis- je t'offrir tout cet or en bouquet de silence ? » Poète bohème, surréelle phrase : âme rebelle, coeur innocent, ô quel amour immense !

L' insatiable fulmine puis un mutisme fulgurant... En transe ? Seule sa plume mutine s'accroche en son sein... silence !

- Sous une pluie salvatrice, ô Etincelles Incandescentes, deux phénix aux abois gravissent enfin simultanément cette abrupte, corrosive, inéluctable pente pour peut- être s 'abandonner une ultime fois, en toute liberté, à leurs émois. Souvent, ils renaissent de leurs cendres après s'être perdus dans d'incontournables méandres ! Ainsi, ensemble, ils découvrent le verbe « Aimer » qu'ils conjugueront en magnifiant le « Passé »!-

Objection ? Diantre non ! Nulle abjecte question, au diable la frustration ! Notre unique guide ? Quelque note ésotérique sous ton égide, « L' Authentique » !

Ô Métaphore, déleste notre corps muet et sourd dans un parfait accord. Dessine- y tes contours là où rime encore, jamais et toujours ! Toi seule libérera en nous l' « « Intime » : subtile transmutation, projection infime, Ô Emotion ...

Quand à Vous, Artistes androgynes qui encensez ci et là nos esprits errants, quel merveilleux présent votre poésie d'un autre temps ! Ô je le conserverai tel un précieux trésor dans ce somptueux écrin : votre « Inaccessible Insensé » verrouillé sans remord sur mon « Indéfectible Inné » ... Irréversible fin, je ne suis plus un pantin !!!

Intemporelle poésie,
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