Chapitre 37 –Sofia (3) – Le  nouveau lit de Corina.

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### Sofia ####

J’étais tout excitée d’aller à ce rendez-vous de Corina, je ne mis qu’une petite robe simple sans sous-vêtements. Arrivée à l’adresse, je vis un immeuble magnifique au bord d’une immense marina.

À l’entrée un garde imposant comme un gorille me barra le passage en me demandant où je voulais aller.

– J’ai rendez-vous avec Corina dis-je. Je me rendis compte que je ne connaissais même pas son nom de famille.

Le garde consulta sa tablette, il secoua négativement la tête.

– Inconnu ! Passez votre chemin !

– Mais j’ai reçu cette adresse appartement 51 B !

– Un instant !

Il prit son téléphone et appela l’appartement et demanda mon nom. Au bout de quelques instants, il me dit d’un ton à peine plus aimable que je pouvais monter.

Dans l’ascenseur, il n’y avait que des numéros d’appartements sans nom, celui que je cherchais était en haut d’une série de boutons.

Arrivée en haut je me trouvai devant une grande porte blindée avec juste l’indication du numéro de l’appart. J’allais chercher la sonnette lorsque la porte s’ouvrit et Corina me fit entrer.

Elle me fit la bise et j’allais la complimenter pour son bel appartement lorsqu’elle me dit que c’était la résidence de Marc. Elle portait un top admirable laissant ses épaules totalement découvertes jusqu'à la naissance de ses seins. Son short par contre avait des déchirures à plusieurs endroits montrant sa peau.

Je donnai un bisou à Corina puis m’accrochai au cou de Marc pour me serrer contre lui.

Pour garder l’équilibre il dut me tenir et j’étais certaine qu’il avait senti que je ne portais rien sous ma robe légère ! Cette accolade de quelques instants eut le résultat escompté et Marc me repoussa gentiment.

Le living était immense mais le mobilier était sans originalité, me faisant penser à ces revues de maisons et appartements de standing mais sans aucune personnalité.

Corina me proposa à boire et me servit du vin blanc comme sur le Zéphyr, je me promis de ne pas trop boire, mais lorsque Marc servit la deuxième bouteille, je sus que j’avais déjà trop bu. Le temps était passé trop vite pendant que je lui eus raconté mon entrevue avec le directeur du musée.

Heureusement Marc proposa de manger, mais je dus faire un effort pour m’asseoir à table et la nourriture absorba un peu le vin. Mais comme j’exprimai ma crainte de ne pas pouvoir rentrer, Corina me rassura que le lit de Marc était assez grand pour nous trois ! L’invitation était claire et je me détendis.

En me rassoyant dans le divan après le repas, je compris que ma robe était remontée sur mes cuisses et que Corina regarda avec envie vers mes jambes.

– Tu n’as pas perdu ton hâle des îles me, dit-elle.

– Oh si, dis-je, je n’ai plus pris de bain de soleil depuis mon retour à Athènes.

Inconsciemment je relevai le bord de ma robe pour montrer le haut de mes jambes mais compris trop tard que je ne portais pas de culotte.

– Effectivement, dit Corina, on ne voit plus de trace de ton maillot !

– Oh, pardon, je ne voulais pas m’exhiber !

– Mais ce n’est pas grave Sofia, on est entre nous ! N’oublie pas qu’on t’a vue toute nue sur le bateau.

Mais Corina voulut voir plus loin et remonta ma robe découvrant mon intimité qu’elle caressa en douceur.

– Ça doit être agréable de se promener ainsi et sentir le vent entre tes jambes dit-elle.

– Oui, répondis-je, c’est le même effet que de se promener nue mais sans choquer les passants ! Corina, Marc nous regarde !

– Oui bien sûr dit-elle, regarde sa bosse de son pantalon ! Il adore le spectacle !

Et en disant cela, elle enfonça ses doigts dans mon vagin aussi profondément que lui permettait ma posture. Je ne pus retenir mon gémissement de surprise, Corina me regarda provocante, je ne voulus pas rester impassible et mis ma main sur le haut de son top dont les épaules étaient totalement dégagées et tirai pour révéler un sein. Cela me parut surréaliste. Deux femmes dans un divan tirant sur les vêtements devant un homme impassible dont l’excitation ne se voyait seulement que par la bosse dans son pantalon.

Je pris le téton découvert pour le pincer pendant que Corina fouillait mon vagin.

– Non, Corina pas trop vite ! Laisse-moi te câliner aussi.

Je parvins malgré tout à ouvrir le short de mon amie et vis qu’elle ne portait pas de culotte ni de string. Sans ménagement j’abaissai le short pour lui rendre la pareille en enfonçant mes doigts dans son intimité.

– Corina, tu es toute mouillée !

– Oui, je sais mais c’est à cause de Marc, qui fait le voyeur sans même se toucher ! – Marc combien de temps vas-tu rester calé dans ton fauteuil à nous regarder ?

– Oh, dit-il, le spectacle n’est pas encore excitant. J’attends encore un peu !

– Ah bon, dit-elle en remontant ma robe, découvrant mon ventre et mes seins. C’est mieux ainsi ?

– Non pas vraiment !

Elle prit ma tête et me força de mettre ma bouche devant son entrejambe.

– Lèche-moi ! dit-elle, prend toute la cyprine qui coule et fait moi vibrer. Peut-être qu’alors le vicieux d’en face daignera te donner son gourdin à sucer !

Je me mis donc à genoux devant Corina, je compris alors que je montrai mes fesses à Marc toujours impassible !

Puis on échangea nos positions, Corina entama avec sa langue une caresse pénétrante excitant mon bijou. La cyprine dut être abondante car je sentis l’aspiration de Corina dans mon intimité. Sa langue se fit de plus en plus sauvage et insistante. Elle s’enflamma progressivement d’autant plus qu’elle se masturba pendant qu’elle continua ses caresses buccales.

Corina prit mes seins pour faire poindre mes tétons et ce fut le signal pour Marc, qui défit son pantalon, exhiba son mat et sans hésitation plongea dans le con de Corina.

Cette pénétration fut violente car Corina interrompit un instant son léchage pour reprendre sa respiration. Marc dut être fort émoustillé car il ramona intensément au point que Corina interrompit ses caresses.

### Corina ###

– Oh, oui Marc, tu t’es enfin décidé, la vue de Sofia et mes fesses te plaisent ?

– Oui, mais c’est juste pour me lancer ! dit-il.

Il ressortit de mon antre pour plonger sur la bouche ouverte de Sofia où il se masturba jusqu’à l’éjaculation !

– Oh, le salaud, et moi ? criai-je.

– Tu auras ta part ajouta-t-il en continuant de se décharger dans la bouche de Sofia.

La pauvre, le sperme déborda de partout, sans doute peu habituée à une fellation imposée. Marc fut vraiment au sommet car il continua jusqu’à la débandade. J’abandonnai la léchouille pour la masturber manuellement jusqu’à l’orgasme, qui survint très rapidement. Marc tint encore sa tête lorsque tout se déclencha m’aspergeant du contenu de sa bouche dans un spasme violent.

Marc était déchaîné, il prit les seins de Sofia, trop brutalement à mon goût mais je me trompai ! Sofia hurla son plaisir et je vis la verge de Marc reprendre un angle d’attaque ! Puis je sentis qu’il revint me copuler intensément avec la même intensité que précédemment.

J’étais toujours agenouillée devant le vagin de Sofia offrant mon postérieur aux assauts de Marc, qui ne connut pas de limite. Son ramonage eut raison de ma jouissance et je dus poser ma tête contre le divan, me tenant aux hanches de Sofia pour absorber les vagues de mon orgasme. Marc était loin de conclure ce deuxième round et continua son pilonnage tout en tenant toujours les tétons de Sofia. Nos cris se joignirent et mes spasmes ne prirent fin que lorsque Marc finit de conclure dans un râle douloureux.

Quel assaut ! Marc resta encore engagé jusqu’à ce que mes vibrations cessent. Sofia passa sa main sur son visage pour récupérer le sperme qui avait éclaboussé et le remit en bouche.

– Marc ! J’ai adoré ! Tu es pareil à mes frères, qui s’amusaient à se masturber dans ma bouche, mais toi quelle abondance. Mes frères faisaient ainsi avant de m’avoir déflorée à tour de rôle mais leurs jets n’étaient pas aussi abondants !

– Ils te faisaient cela souvent ? demandais-je.

– Oui, c’étaient des bêtes de sexe, je crois t’avoir dit déjà qu’ils viennent encore régulièrement se défouler avec moi, alors même qu’ils sont mariés ! Je leur ai déjà dit souvent que tant que je n’ai pas trouvé l’homme de ma vie, ils sont toujours les bienvenus !

– Ils viennent ensemble ? demandai-je.

– Ça arrive, mais la plupart du temps, ils viennent séparés, lorsqu’ils ne peuvent pas baiser leurs femmes.

– Et lorsqu’ils viennent ensemble ?

– Ils me prennent à tour de rôle un dans la bouche et l’autre dans mon vagin, jusqu’à ce qu’ils se soient vidés ! J’ai compris depuis longtemps qu’ils viennent me voir au moment des règles de leurs femmes !

– C’est toujours ainsi ?

– Non, le plus vieux doit avoir une maîtresse ici à Athènes. Quand j’étais plus jeune avant leur mariage, on s’ennuyait ferme sur l’île, c’était plus fréquent. Maintenant ils doivent prendre le ferry pour baiser avec moi.

Je ne dis plus rien, j’en savais assez ! Marc écouta en silence, sans faire de commentaire.

J’estimai que pour ce soir, j’avais mon compte et je m’endormis serrée entre Marc et Sofia.

***

Le matin, à mon réveil, je constatai que Sofia n’était plus dans la chambre. Comme Marc dormait encore je me levai aussi silencieusement que possible et retrouvai Sofia habillée dans le living.

– Corina, je ne voulais pas te déranger mais j’ai reçu un message d’un de mes frères. Il m’attend devant chez moi, il faut que je rentre. Mes frères ne sont pas au courant pour nous deux !

– D’accord Sofia, on se tient au courant si j’apprends quelque chose du Musée, dis-je.

– En tout cas, c’était super hier soir ! embrasse Marc.

Et elle partit. Je retournai dans la chambre pour me couler dans le lit dans ses bras, Marc bougea à peine et je me rendormis dans ses bras.

Au moins une heure plus tard, Marc me réveilla pour me dire que Lora avait appelé. Rina s’était réveillée et le professeur avait examiné ses paramètres et conclut que Rina était tiré d’affaire. Il confirma qu’il retournerait le lendemain à Lausanne.

Il me demanda aussi pourquoi Sofia était partie, je lui donnai la vérité, ce qui ne déclencha qu’un lever de sourcils.

Un peu plus tard dans la journée, je reçus un appel du fournisseur de mon nouveau lit signalant la livraison dans l’après-midi de ma commande. Je lui demandai s’il pouvait fournir les draps correspondant à la taille du lit car j’avais complètement oublié de les commander. Il me promit d’ajouter un jeu de draps à la livraison.

Nous partîmes donc vers ma maison, le livreur fut de parole et le lit fut monté rapidement. Il était exactement comme l’illustration sur le Net ! Je ne dus pas répéter mon invitation que Marc se coucha sur le lit pour m’attirer à lui ! Je ne fus pas longue à sentir que Marc défit mon short et mon chemisier pour me câliner de baisers.

– Ton nouveau lit me plaît ! me dit-il.

– Tant mieux ! répondis-je, ainsi tu viendras me baiser souvent ici !

– Oui, c’est plus discret que dans mon immeuble !

– Pourquoi ? tu veux cacher notre relation ?

– Non, pas du tout ! De plus on est plus près de l’hôpital !

– Tu penses à Lora ?

– Non, quoique son physique soit plus attirant que Sofia, qui est trop désaxée avec ses frères !

– Lora te fait bander rien que d’en parler ! lui dis-je.

– Non, c’est parce que je pense à vous, voir toutes les deux nues, le spectacle sera plus innovateur.

– Marc, tu voudrais que je l’invite ?

– Pas tout de suite, voyons d’abord comment elle se comporte avec toi sans le stress.

– Un tour sur le Zéphyr ?

– Oui, c’est mon idée. Mais avant je vais faire quelques recherches sur Lora et Sofia.

– Tu veux le faire maintenant ?

– Non, je veux te baiser dans ton nouveau lit !

– D’accord, mais c’est moi qui mène le jeu ! Tu feras tout ce que je désire !

– À vos ordres amiral !

– Commence déjà par te déshabiller ! Je veux te voir nu en mon pouvoir !

Il obéit sans commentaire, OMG (oh my God) ! Il était beau avec son mât de misaine tout dressé !

– Déshabille-moi !

Il défit mon short qui tomba à mes pieds, souleva mes jambes une après l’autre pour dégager le vêtement. Il approcha sa bouche de mon ventre.

– Non ! tu dois d’abord enlever mon top !

Je vis à sa grimace, que son envie de me lécher était déjà très forte à voir les pulsations de sa verge. Mais il défit lentement les quatre boutons sur le devant de mon top libérant mes seins qui j’avoue étaient un peu à l’étroit. Mais j’adorais ce vêtement car il mettait en valeur mes tétons lorsque j’étais excitée. Lorsqu’il eut défait le quatrième bouton, il approcha à nouveau sa bouche avec l’intention ferme d’embrasser à tout le moins mes seins. J’eus envie de le laisser faire, mais ce n’était pas mon jeu !

– Non, tu n’as pas fini ! Enlève le top et prends-moi dans tes bras pour me coucher dans le lit ! Masse mes seins ! L’huile est sur ma table de nuit.

Il laissa couler un peu du liquide dans ses paumes et entreprit un massage en douceur, soulevant mes seins, caressant mes aréoles. Je suivis du regard ses mains, qui me faisaient un bien fou ! C’était relaxant pour moi, mais son sexe eut encore une érection plus forte dégageant naturellement un peu le gland brillant. Je me maîtrisai mon envie de le prendre en main ou mieux encore en bouche. Par contre ce massage libéra de la cyprine entre mes jambes.

– Lèche le jus qui coule entre mes jambes mais sans me pénétrer. Tu restes en surface de mes lèvres, je ne veux pas tacher les draps tout neufs ! Mets-toi en 69 sur moi, que je puisse surveiller ton érection !

Je m’amusai, le voir si obéissant, alors que je fus certaine qu’il n’attendit que le signal pour me posséder. Sa langue était fraîche, il lécha consciencieusement le liquide allant de mon pubis jusqu’à l’anus. Ce qui me donna une envie supplémentaire et j’écartai un peu plus mes cuisses !

– Mouille ma rosette avec l’huile et introduis doucement un doigt dans mon anus. – Oui, encore ! va plus loin !

Quelle sensation agréable, le gland de la verge de Marc prit une couleur plus foncée, montrant un afflux de sang plus important.

– Je crois que tu peux me lécher en profondeur maintenant, je vais prendre ton mât en bouche. Ne bouge pas surtout, c’est moi qui te suce, je ne t’autorise pas à te masturber dans ma bouche !

Quel plaisir de le caresser avec ma langue, je mis une main sur sa hampe pour entretenir sa tension puis descendis sur sa bourse pour caresser doucement ses testicules. Je savais de mon ex que cette caresse était délicate car c’était un endroit très sensible. Je sentis que je ne pouvais pas aller plus loin, car je sentis une hésitation des caresses dans mon vagin.

– Oui, Marc c’est délicieux, mais viens maintenant et plante ton pieu dans mon antre et défonce-moi.

Marc ne se le fit pas dire deux fois, à peine en position du missionnaire, il me pénétra d’un coup, j’ai cru qu’il allait buter contre l’utérus ! Pendant de longues minutes sa verge bougea dans mon corps. Je ne pus me retenir plus longtemps et partis dans les spasmes de l’orgasme. Je ne voulais pas que Marc s’arrête !

– Continue … oui… continue … encore… laisse-toi … aller … oh mon amour… oui !

Je sentis le jet de son sperme remplir mon vagin suivi d’autres éjaculations, je m’accrochai à ses flancs, je ne voulus pas que ça s’arrête. Marc continua jusqu’à ce qu’il n’y eût plus rien qui s’écoula puis soupira de contentement.

Il prit encore mes seins en bouche mais je dus l’arrêter.

– Merci Marc, reste dans mes bras, on reprendra après un peu de repos !

NDA : Bon, je sens que ce nouveau lit connaîtra bientôt toutes les positions possibles du Kamasoutra !

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