Chapitre 51. Escale érotique à Tolo
### Marc ###
En entrant dans le restaurant, le proprio nous accueillit avec un large sourire, la clientèle était plutôt restreinte et cinq clients, ce n’était pas du luxe.
Il nous désigna une table à l’écart, où je choisis de m’asseoir contre le mur avec une vue sur le restaurant entier. Sans que je ne demande rien, Olympe s’assit à ma gauche et Corina à ma droite. Lora et Sofia prirent place en face de nous.
L’homme nous demanda ce que nous désirions boire, il me proposa d’emblée le whisky que j’avais bu la fois précédente, les filles votèrent pour une carafe de vin blanc de la maison. Après avoir trinqué, nous examinions la carte, mais sans une parole je sentis deux mains remonter sur mes cuisses, une de chaque côté, qui se touchèrent sur mon entrejambe. Regardant à gauche et à droite, je vis les sourires de mes voisines, complices, bien décidées à entamer une séance de préliminaires avant de dormir. Je soupçonnai qu’elles s’étaient mises d’accord à me faire bander déjà avant de manger !
Je pris donc une gorgée de mon verre, ce qui me permit de masquer mon sourire, pendant qu’elles commentaient les plats proposés. Tout le monde opta pour des mezzes pendant qu’une main non identifiée descendit la tirette de ma braguette ! Je parvins à rester calme choisissant une brochette de thon comme repas principal. Lorsque tout le monde eut exprimé son choix, Lora et Sofia se lancèrent dans une discussion sur les mathématiciens grecs, Pythagore n’avait jamais rien écrit prétendit Sofia et toutes les théories étaient en fait élaborées pas ses disciples. De mon côté de la table, les commentaires furent plus calmes, Olympe demanda à Corina de parler du club de sport où nous nous étions connus. Pendant que les deux mains extrayaient mon engin qui se réjouit en montrant une érection monumentale.
J’eus vraiment du mal à rester serein, mais la chirurgienne à ma gauche murmura à mon oreille :
– Non Marc, ce n’est que l’apéritif, Corina et moi avons convenu de prendre la cabine de proue, Lora et Sofia dormiront à l’arrière ! Tu peux contrôler que nous sommes en chaleur ! Nous ne ferons rien de plus que maintenir la pression !
Les mezzes étant servis au centre de la table, Olympe me fit goûter ses doigts qui n’avaient pas touché les plats mais bien la cyprine récoltée de son intimité !
– Olympe, c’est trop bon ! mais donne-moi plutôt du tzatziki, sinon je ne pourrai pas rester impassible !
– Demande à Corina de goûter son jus ! Ainsi tu pourras choisir laquelle de nous deux pourra commencer, murmura-t-elle.
Elles étaient vraiment de connivence, c’était un guet-apens bien préparé, car sans un mot je reçus les doigts de Corina dans ma bouche pendant qu’une des mains sous la table décalotta mon gland brutalement !
En gardant la main de Corina devant ma bouche, je parvins à leur dire :
– Soyez gentilles, arrêtez votre jeu ! Vous aurez votre dessert à tour de rôle.
– D’accord, fit Olympe, on va te laisser manger, mais après le repas, on veut notre plaisir !
Le vin du patron était excellent, les carafons se succédaient sans discontinuer et l’ambiance s’échauffa. Les mains sous la table s’activaient et je dus mettre fin à ce jeu sous peine d’éjaculer, tellement j’étais tendu ! Nous avions tous bu assez bien, et les corsages des filles étaient plus ouverts qu’à l’arrivée, me montrant que même Sofia et Lora avaient les tétons dressés.
La courte marche vers le bateau, ne put se faire qu’en se soutenant mutuellement. Une fois à bord, Corina prit l’initiative de demander à Lora et Sofia de prendre la cabine arrière et coucha Olympe dans la cabine de proue. Elle-même se dévêtit dans le carré et m’invita à faire de même.
– Oh, mon capitaine c’est le grand pavois ! dit-elle en regardant ma verge. Viens, on va d’abord s’occuper d’Olympe qui est dans les vapes !
– C’est le moment de chanter « What shall we do with the drunken sailor!” dis-je en riant.
– Oui, toi aussi capitaine ! Tu n’es pas dans un meilleur état !
Nous entrâmes dans la cabine où Olympe tenta vainement de se dévêtir.
– Ah, Marc viens m’aider ! les boutons de ma blouse sont impossibles à ouvrir ! Ah, mais vous êtes déjà nus ! Quel engin ! Corina, je voulais déjà baiser Marc dans le restaurant, toi aussi, tu voulais, alors embrasse-moi ! On va en profiter à tour de rôle, sers-toi, je te caresserai en attendant ! dit-elle avec une voix traînante. J’ai vraiment trop bu !
Corina m’aida à défaire la blouse et le pantalon d’Olympe qui ne portait pas de sous-vêtements.
– Olympe, tu avais prévu ? tu es sans culotte ! dit Corina.
– Oui, dit-elle, je voulais le baiser sur le pont ! Mais à deux ce sera plus amusant ! Corina, je suis trempée, calme-moi ! je veux sentir ta langue !
Pendant que Corina se pencha pour boire la cyprine d’Olympe, le postérieur de ma copine était trop tentant et en écartant un peu ses jambes, je plongeai dans son vagin sans aucune difficulté.
– Ah ! Corina, quel délice !
Je la voulais, je ne sais plus depuis quand je ne l’avais plus baisée, mais ce soir, les deux mains sur ma verge, avaient attisé mon désir au-delà du raisonnable ! Je devais trouver une échappatoire et Corina en était la première bénéficiaire !
Les deux femmes s’en donnaient à cœur joie, mais je n’étais pas en reste. Je ne me rappelle plus qui a eu le premier orgasme, mais en finale Olympe, Corina et moi, nous crièrent notre désir à l’unisson.
Olympe fut la première à refaire surface et se pencha sur mon sexe toujours dressé.
– Marc, viens, donne-moi du plaisir ! Le jeu sous la table, m’a fait mouiller et Corina ne m’a pas apaisée ! Défonce-moi ! Donne-moi la jouissance que j’attends depuis ce matin, J’ai bien joui en barrant mais je n’ai pas eu mon compte ! Je n’ai jamais ressenti autant de jouissance que ce soir ! Oui, je sais que j’ai trop bu, mais tenir ton bâton pendant le repas, m’a donné envie de te baiser ce soir sans limite !
Elle ouvrit largement ses jambes, pour m’inviter à la pénétrer. Corina, fut très coopérative en orientant correctement mon chibre vers le vagin d’Olympe. Son vagin coulissait trop bien ! Ce n’est que l’étroitesse de son orifice qui me donna une sensation de plaisir. Je ne pus pas me satisfaire ainsi et je la retournai sur son ventre pour pénétrer son anus.
– Marc, tu me fais mal, mais continue ! prends ta jouissance !
Corina ne resta pas inactive et glissa sa main dans le vagin d’Olympe, je sentis les vibrations que Corina provoqua en masturbant Olympe. Les gémissements d’Olympe allaient en croissant, jusqu’au climax, ce devait être violent car elle mit la main sur ma verge toujours enfoncée dans son orifice.
– Marc, stop ! C’est trop bon ! J’ai mon compte, demande à Corina de continuer.
Corina n’attendait que ce signal, elle me poussa sur le côté et s’enfourcha sur ma hampe. Elle entreprit une chevauchée incroyable, je vis ses seins osciller devant mes yeux jusqu’au moment où je les saisis pour accompagner ses va-et-vient. Son vagin était aussi trempé et ma verge était trop lubrifiée ! Heureusement, le frottement contre son clitoris fit son effet et Corina cria son plaisir sans moi !
Les deux femmes étaient terrassées et moi je n’étais toujours pas proche de la conclusion ! La tension sur ma verge était trop forte, il ne me resta plus que de me calmer en solitaire. Mon chibre était dur comme de la pierre et la masturbation ne me donna pas le résultat escompté. Olympe avait repris ses esprits et me voyant faire, finit par comprendre mon problème et avala mon mat pour une fellation de roi !
– Oui, Olympe merci de me délivrer, j’ai sans doute trop bu, je ne parviens pas à conclure.
– Attends, cria Corina, je vais t’aider ! Et elle enfonça ses doigts dans mon anus pour masser ma prostate. L’effet fut immédiat et brutal, Olympe reçut une giclée dans sa bouche qui la surprit, mais elle continua jusqu’à ce que la dernière salve meure sur sa langue.
– Ah, merci beaucoup les filles, vous avez réussi ! Je vous dois au moins une revanche mais, je crois qu’avant on fera un petit somme !
– Oui, dit Olympe, je n’ai jamais subi une telle violence, mais c’était très bon ! Et toi Corina ?
– J’ai eu mon compte, Marc ton engin était délicieux, mais on recommencera tout à l’heure car tu n’as toujours pas débandé !
– Oui, dit Olympe en riant, en tant que médecin je pense que Marc souffre d’une forme bénigne de priapisme !
– Mais non Olympe, murmura Corina, cela lui arrive souvent ! Il repliera son matage à la prochaine tempête !
– Attends Corina, un examen médical s’impose ! Marc, est-ce que le contact est douloureux ?
– Non Docteur, ton massage me détend !
– Alors, un traitement immédiat devrait suffire, Corina veux-tu commencer car j’ai encore des crampes à ma mâchoire, je te relayerai plus tard !
Corina, se dévoua et entreprit un massage buccal tout en sensualité explorant toute la surface de mon gland et alternant les succions et les massages manuels.
– Oui, Corina, je sens la pression qui diminue, continue !
– Non, non, intervint Olympe, le massage ne doit pas encore provoquer d’éjaculation ! dit elle en riant. Cela pourrait entraîner des dommages irréversibles ! Corina, laisse-moi ausculter !
Olympe joignit le geste à la parole et massa longuement mais en douceur ma verge.
– Voilà, c’est déjà beaucoup mieux ! dit-elle en essayant de garder son sérieux. Le malade est prêt pour un essai, je vais entamer un traitement radical !
Elle m’enfourcha et reprit une cavalcade sur mon gourdin.
– Oui, le traitement fait son effet, parvint-elle à dire entre les secousses. Mais son engin est trop efficace ! Je dois me freiner si je ne veux pas jouir avant lui !
– Ce n’est pas grave Olympe, je prendrai la relève, j’ai envie de goûter son sperme si tu ne tiens plus.
– Oh oui, Marc, tu es sur la voie de la guérison ! dit Olympe en laissant son orgasme exploser.
Comme prévu, Corina pencha sa bouche avec tendresse sur mon engin. Ma sève ne fut pas longue à monter ! Corina garda beaucoup en bouche pour partager le contenu avec la doctoresse.
Les deux femmes dégustèrent mon sperme et même si l’image était fort érotique, mon engin se replia lentement.
– Oui, dit Olympe, la crise est passée, le goût du sperme ne présente aucune anomalie et le pénis se détend ! Je suggère un repos, avec le personnel soignant en surveillance !
Et elle se coucha à côté de moi en glissant son épaule sous mon bras. Corina fit de même et le doux balancement du Zéphyr fit que je m’endormis.
***
### Lora ###
Après l’amarrage au quai de Tolo, Sofia et moi descendîmes dans la cabine pour nous habiller. Marc voulut retourner dans la taverne où nous avions mangé lors de notre précédent passage.
Je profitai de notre isolement pour demander à Sofia, comment elle avait rejoint la bande de Marc.
– Oh, Corina est entrée dans la boutique de ma tante, il y a quelque temps lorsque je séjournais à l’île de Skyros. Nous nous sommes trouvé des affinités. J’étais à quelques mois de l’obtention de mon diplôme en histoire et nous avons fait le tour de l’île et discuté de mon avenir. Après la fin de mes études, grâce à Corina, j’ai été engagée par le Musée d’Athènes ou je prépare des fiches pour les objets récemment acquis. Je prépare aussi une exposition à thème sur les mathématiciens grecs.
– Il y a beaucoup de mathématiciens de la Grèce antique ?
– Oh oui !
Et Sofia m’énuméra toute une série de noms hommes célèbres pendant que nous suivions les autres vers le restaurant.
Comme je me retrouvai à côté d’elle à table, Sofia lancée sur le sujet continua la discussion sur Euclide fondateur de la géométrie, Pythagore, qui n’a jamais rien écrit ce sont ces élèves qui ont écrit le fameux théorème.
Je l’écoutais intéressée par l’histoire de la Grèce, mais mon regard fut capté par le spectacle de l’autre côté de la table. Trop de mains sous la table en face et des sourires entendus. Marc avait la tête d’être prêt à jouir ! Je finis par croire qu’Olympe et Corina le masturbaient et je finis par comprendre lorsque Marc prit les mains des deux vicieuses pour les mettre sur la table !
Je commençais à mouiller sérieusement ! Le vin innocent prenait quand même à la tête et je ne pus pas m’arrêter d’en boire en compensation à mon désir frustré.
Le retour vers le Zéphyr, fut quand même assez compliqué, Marc tenait les épaules d’Olympe, qui voulut absolument caresser son sexe. J’aurais bien voulu qu’il couche avec moi mais pour ce soir Marc voulait sans doute finir le jeu commencé dans le restaurant.
De plus Sofia, avait aussi remarqué le jeu de mains sous la table et insista pour dormir avec Marc.
– Sofia, dis-je, laisse Olympe et Corina finir cette nuit avec Marc ! Nous aurons notre chance aussi !
– Lora, tu as raison, mais cela fait si longtemps que je n’ai plus serré la queue de Marc entre mes jambes. Je suis en manque depuis que mes frères ne s’occupent plus de moi !
Nous étions arrivées dans le bateau, j’avais embrassé Marc à la sauvette avec une petite caresse sur son sexe proéminent.
– Lora, demain on voit tes parents, dit-il, comme je ne désire pas choquer tes parents, on rattrapera nos étreintes plus tard. Reste avec Sofia cette nuit, c’est une chouette fille mais elle est un peu perdue sans ses frères !
Je ne comprenais pas, Sofia et Marc tous deux faisaient allusion aux frères de Sofia. Cette dernière se déshabilla dans la cabine, elle était très excitée, elle caressa ses tétons érigés ostensiblement.
– Lora, est-ce que je peux dormir dans tes bras ?
– D’accord, mais explique-moi, Marc et toi vous faites allusion à tes frères, tu peux m’expliquer ?
– C’est une longue histoire, maintenant j’en ai un peu honte. Je te la raconterai mais éteins la lumière, je te la raconterai dans le noir.
Elle se serra contre moi, je n’avais gardé que ma petite culotte et elle caressa mes seins. Elle me raconta sa jeunesse, ses frères qui l’utilisaient comme une poupée pour calmer leur vice ! Pendant une bonne partie de son adolescence elle fut un objet sexuel aux désirs de ses frères et cela était encore d’actualité nonobstant que ses frères furent mariés. Ce n’est que depuis qu’elle vivait à Athènes que l’éloignement physique avait diminué les abus d’inceste.
Sofia, me confia entre des sanglots, que ses frères l’aimaient vraiment et qu’elle souffrait de leur absence.
– Ce n’est que Marc qui parvient à combler le manque de sexe et Corina m’apaise grâce à ses caresses.
– Tu veux que je te calme ? demandais-je.
– Oh oui, Lora ! Merci de me comprendre.
J’étais très tendue également, cette histoire de ses frères et les douces caresses de Sofia sur mes seins firent que j’accueillis avec plaisir ses doigts dans mon vagin pendant que je la masturbais. Il ne fallut pas attendre longtemps pour que nous atteignîmes le sommet du plaisir. Nous continuâmes longtemps les caresses post-orgasmiques jusqu’à ce que le sommeil nous assaille.
NDA : Désolé de ne pas avoir respecté les délais de publication mais je suis sûr que ce contretemps sera compensé par ce chapitre !
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