Chapitre 52. Désirs refoulés, échanges imprévus.
### Marc ###
Je me réveillai très tôt, les mouettes de Tolo étaient vraiment matinales, leurs cris étaient stridents. En jetant un regard circulaire, le spectacle dans la cabine valait la peine : Olympe totalement nue dans les bras de Corina encore assoupie ! Je me souvins vaguement de la nuit passée, nous n’avions pas lésiné sur le vin et ma tête ce matin sonnait encore des battements douloureux.
Je m’extirpais donc en douceur de la cabine en ramassant au passage un short pour couvrir mon gréement déjà en alerte ! Dans le carré je vis Lora déjà éveillée mais nue qui m’embrassa en passant une main câline sur mon mât.
– Bonjour Lora !
– Bonjour Marc, tu es déjà tout dressé ! Olympe et Corina ne t’ont pas satisfait hier soir ?
– Si Lora, mais ce matin, le spectacle de les voir enlacées a rappelé à mon sexe qu’une autre séance était la bienvenue. Et toi maintenant avec tes tétons dressés, ne m’invites pas à la modération !
– Pardon mon capitaine ! dit-elle, mais je ne m’attendais pas à te trouver déjà debout ! Je comptais enfiler un maillot pour plonger vite dans l’eau pour me rafraîchir.
– Ce n’est pas trop froid ce matin ?
– Non, Marc, déjà enfant, j’adorais plonger dans la mer à mon lever ! Mais ce matin c’est surtout pour calmer mes pulsions. Marc, j’ai un désir mal maîtrisable, ce soir je te veux ! Je sais que ce n’est pas raisonnable mais je suis vraiment en manque de sexe ! Je tiendrai encore ce matin car je veux faire bonne impression à mes parents, surtout à ma mère qui comprend vite ! Et je ne veux pas lui montrer des morsures ou des suçons qu’immanquablement tu me ferais ce matin !
– Je n’ai pas l’habitude de mordre, dis-je en souriant.
– Si, Marc, la dernière fois tu as mordu mes lèvres, non pas celles de ma bouche mais celle de mon intimité ! C’était bien agréable mais cela m’a gêné pendant quelques jours !
– Je ne m’en souviens pas !
– Oh, Marc, ton sexe s’en souvient, mais je tiendrai !
Nous fûmes interrompus par Sofia qui apparut également dans le plus simple appareil !
– J’ai entendu votre conversation, mais moi Marc, je ne rencontre pas mes parents ! Alors je ne refuse pas une étreinte vite fait !
– C’est gentil Sofia, mais ce matin, je ferai vite un plongeon comme Lora, cela me calmera certainement !
– Oui, mais embrasse-moi quand même ! dit-elle en m’offrant ses lèvres et serrant ma verge dans sa main.
Je me laissai faire, en jetant un coup d’œil à Lora qui eut un sourire complice ! Je parvins quand même à m’extirper de ses bras et d’enfiler mon short. En descendant l’échelle de coupée je constatai que l’eau était encore bien froide ce matin ! Cela calma rapidement mon sexe dressé qui comme un escargot se rétracta dans sa coquille !
Lora plus téméraire, plongea du pont et émergea de son plongeon en riant.
– Elle est quand même plus froide que je croyais ! J’ai les tétons durcis par le froid !
– Oui, dis-je, on les voit pointer dans ton maillot !
En sortant de l’eau je vis Olympe et Corina qui préparaient la table dans le cockpit pour le petit-déjeuner. Elles m’embrassaient à tour de rôle en me câlinant.
– Marc, tu es trop mouillé et froid pour recevoir plus qu’un petit bisou ! Viens te sécher et manger ! me dit Olympe.
– As-tu des précisions quand les parents de Lora vont arriver ? demanda Corina.
– Demande directement à Lora, dis-je, moi, je vais me sécher et m’habiller !
### Lora ###
Le plongeon dans l’eau quand même encore froide, réveilla toutes les sensations et calma mon désir. Mais la fraîcheur de l’eau contracta mes tétons au plus grand plaisir de Marc ! Mais je devais rester zen, car mes parents avaient prévu d’arriver avant midi et j’avais convenu qu’on irait manger ensemble dans le restaurant favori de mes parents situé un peu à l’écart de Tolo. Comme Marc voulut discuter de l’avenir du verger de mes parents, nous convînmes de laisser nos amies à Tolo et d’y aller seulement Marc et moi. Je demandai donc un taxi qui nous conduisit en quelques minutes au lieu de rendez-vous. Marc était en tenue estivale, et moi je portais une robe discrète que Marc trouva trop sérieuse.
– Marc, mes parents ne sont pas au courant de notre relation, si maman savait que je couche avec trois autres femmes et toi, elle m’aurait reniée et ne voudrait plus te voir !
– Lora, tu as raison, Dafni ne doit pas être choquée par notre façon de vivre, restons donc à distance et dans une attitude de « Lora engagée par la Fondation pour aider les enfants » !
– Oui, Marc mais ce soir…
– Chut Lora ! voici tes parents !
Maman était resplendissante, Papa me paraissait plus reposé, après les embrassades et les salutations nous nous installions à table. Le propriétaire et mes parents étaient des amis de très longue date et il nous proposa d’emblée un menu personnalisé. L’apéritif fut bien entendu le vin de la propriété parentale que Papa livrait depuis des années.
– Ma fille dit Maman, je te trouve meilleure mine que lors de notre dernière rencontre !
– Oui, Maman, les nuits de garde et les opérations à la chaîne, c’est de l’histoire ancienne ! Marc et moi avons sélectionné l’équipe médicale et après cette mini-croisière, j’aurai un poste de responsabilité, certes, mais plus reposant !
– Es-tu amoureuse ? demanda Maman.
– Non, mais la compagnie de Corina et Marc est très relaxante, de plus nous avons laissé au port deux autres équipières.
– Ah mais il fallait les amener ! dit Papa.
– Oh, non, Olympe est chirurgienne engagée dans mon équipe et skipper expérimentée. Sofia travaille comme historienne au Musée d’Athènes
– Ah, Marc tu es bien entouré alors ! dit Papa.
– Oui, dit-il, cela permet de souder l’équipe et de penser à autre chose que le travail !
Papa orienta ensuite la discussion sur la venue probable de l’expert français. Marc avait des plans bien précis pour investir à titre personnel un centre pour la rééducation des enfants victimes d’accidents. J’étais vraiment enthousiaste pour ce projet. De manière naturelle mais inconsciente, je mis ma main sur la cuisse de Marc.
Maman sourit en voyant mon geste, cela devait la convaincre que j’avais une relation plus que professionnelle avec Marc. À la fin du repas Marc prit congé de mes parents mais Maman lui donna un baiser signe d’affection assez inhabituel de sa part.
Dans le taxi sur le trajet du retour, j’en fis part à Marc.
– Marc, je crois que Maman soupçonne quelque chose entre nous !
– Mais ce n’est que la vérité Lora !
Je ne pus me retenir et lui fis un baiser passionné que le chauffeur du taxi apprécia certainement !
– Marc, cette nuit, je te veux pour moi sans partage !
– D’accord, au besoin on dormira sur le pont dans une crique isolée.
– Oh, oui, je mouille déjà !
– Tu es certaine ? Corina prétend que tu as une sécheresse du vagin !
– Oui, mais rappelle-toi, Corina m’a excitée jusqu’au moment où la cyprine coulait !
– Bien Lora, on verra ce soir, si nécessaire je demanderai à Corina de te coacher comme cette fois-là !
– Non, Marc, je veux être seule avec toi !
J’étais convaincue qu’en me couchant avec Marc, sa tendresse, ses caresses, me ferait produire assez de cyprine pour supporter un coït satisfaisant avec lui !
À notre retour au Zéphyr, le trio des filles avait préparé un repas léger, mais Sofia avait déjà bien entamé le vin !
– Marc, mon frère aîné m’a appelé ! Il veut me baiser, mais je lui ai répliqué que je ne pouvais pas rentrer et qu’il n’avait qu’à se masturber si sa femme ne voulait pas copuler !
– Et comment a-t-il répondu ? demanda Corina qui me paraissait aussi avoir trop bu.
– Il m’a prévenu que je payerai cher ce refus, mais il s’est calmé lorsqu’il a compris que j’étais en croisière.
Olympe, riait doucement et me murmura qu’on ferait bien de coucher Sofia et Corina. Marc compris ce qu’Olympe m’avait dit à l’oreille et nous mîmes les deux femmes ensemble dans la cabine arrière.
– Oui Lora, me dit Olympe après que nous n’étions plus qu’à trois, cet après-midi on a vidé au moins deux bouteilles de vin plus celles du repas de ce soir ! Je tiens encore la route, mais j’ai envie de coucher avec toi Lora ! Je sais de Corina que Marc adore regarder les femmes qui font l’amour, alors donnons-lui ce plaisir !
Ce n’était pas mon plan pour ce soir, mais ce serait peut-être une bonne idée si mon corps et mon mental acceptaient le jeu lesbien. Une fois Olympe endormie je pourrai jouir dans les bras de Marc.
Olympe défit le haut de ma robe et embrassa mes seins sous le regard de Marc, qui ne disait rien, mais dont le sourire était révélateur. Nous étions assises dans le carré sur le banc large, Marc assis en face. Je déboutonnai le top d’Olympe qui ne portait pas de sous-vêtements. Ses tétons étaient dressés, je lui rendis ses baisers qui la firent gémir.
– Oui, Lora, continue cria Olympe. Marc, approche et donne-moi ta verge, je veux la sucer ! Hier soir, je n’ai pas eu mon compte même si de jouer au docteur m’a plus énormément.
Marc s’approcha et mit sa tête entre les jambes d’Olympe qui écarta les genoux. Pendant que Marc lécha l’intimité d’Olympe, je pris l’initiative de défaire le short de Marc et de prendre sa verge en main pour la porter à ma bouche.
Je ne voulais pas le faire jouir, pas encore, mais juste entretenir son désir pour qu’il puisse me baiser après qu’Olympe eut joui ! Elle était encore loin du climax mais Marc continua son exploration tout en caressant un sein qu’il parvint à serrer !
Je tirai le short et le slip de Marc pour mieux caresser ses testicules et pousser un doigt dans son anus pour masser sa prostate comme on nous l’avait appris en médecine. Olympe rendit les armes en criant son orgasme et tomba dans un sommeil soudain mais profond.
Marc se tourna vers moi, je cessai de le caresser pendant qu’il suça mes tétons. Ses suçons devenaient de plus en plus brutaux mais je sentis ma jouissance grimper en flèche. Je voulais qu’il me baise mais je devais être certaine que je sois prête à le recevoir. Je mis ma main sur mon sexe en écartant les grandes lèvres et sentis la cyprine couler de mon vagin !
– Marc, viens maintenant et défonce-moi, je suis prête !
Marc compris à quoi je fis allusion et me pénétra en douceur ! Ah, quel bonheur de sentir cette union tant désirée !
– Ouiiii ! criai-je sans retenue. Marc laisse-toi aller !
Mais nous fûmes interrompus par Sofia émergeant de la cabine arrière en criant :
– Oh, Alex tu voulais coucher avec moi ! Maintenant je te trouve avec une pute ! Viens mon frère, baise-moi !
Je regardai vers Marc qui comprit que le réveil de Sofia était dû à l’appel de son frère Alex qui voulut faire l’amour avec sa sœur ! Marc interrompit notre union, pour tenter de calmer Sofia. Elle était à moitié inconsciente, mais d’une brutalité sans doute due à son ivresse !
Elle se précipita sur la verge de Marc.
– Tu es à moi ! Alex, tu n’as pas le droit de coucher avec une pute ! Si tu ne veux pas baiser ta femme ou plutôt si ta femme ne veut pas que tu la baises, alors c’est ta petite sœur qui est prioritaire ! Tu m’as violée, tu m’as baisée pendant toute mon enfance, maintenant c’est moi qu’il faut faire jouir !
NDA : ça n’était pas prévu dans le scénario !
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