Chapitre 53. - Olympe se dévoile. Lora, Corina complices.
### Marc ###
Je ne compris pas immédiatement le délire de Sofia. J’étais en pleine action avec Lora qui mouillait enfin, me permettant de glisser dans son vagin accueillant sans la faire souffrir !
Sofia poussa Lora sur le côté, ses cris hystériques me coupaient mon élan ! Pour la première fois dans une relation de sexe avec une femme, mon gourdin se ramollit !
– Tu es à moi ! Alex, tu n’as pas le droit de coucher avec une pute ! Si tu ne veux pas baiser ta femme ou plutôt si ta femme ne veut pas que tu la baises, alors c’est ta petite sœur qui est prioritaire ! Tu m’as violée, tu m’as baisée pendant toute mon enfance, maintenant c’est moi qu’il faut faire jouir !
Elle parla donc à son frère ! Me confondant avec lui ! Elle était à moitié nue, ses seins tressautant au rythme de ses cris.
Avant que j’aie pu réagir, elle se coucha sur moi et s’empala sur mon sexe qui avait repris vigueur, une fois la surprise passée ! Comment cette fille ivre, proche du delirium tremens, parvint à imposer la vigueur de ses allers et retours sur ma verge !
Olympe se réveilla aux cris de Sofia et comprit rapidement que l’agression de Sofia risquait de dégénérer. Aidée par Lora, elle parvint à immobiliser Sofia avec une clé de lutte, me libérant. Mon torse était griffé de ses coups d’ongles et je me demandai comment la calmer.
Puis je me souvins des paquets de cordages neufs que je lui avais donnés lorsqu’elle avait eu l’intention de faire une démonstration de bondage. Je pris le plus petit des cordages pour lier ses poignets et avec un autre paquet plus gros je fis un saucissonnage de ses jambes combiné avec une immobilisation de son torse.
Corina entre-temps était également réveillée et je me trouvai nu entouré de trois femmes peu vêtues qui maintenaient Sofia dont les bras et les jambes s’agitaient frénétiquement malgré ses liens. Ce fut finalement Olympe qui trouva la solution : elle sortit sa trousse de soins médicaux et arma une seringue et lui fit une injection dans la fesse !
– C’est un calmant, assez inoffensif ! La dose combinée avec l’alcool ingurgité devrait la calmer mais il faudra la surveiller !
Sofia fut couchée dans la cabine arrière.
Lora pendant ce temps examina mes griffures et déclara :
– Marc, tes blessures sont superficielles, je vais juste désinfecter à titre préventif ne sachant pas où Sofia a traîné ses mains avant de t’agresser ! Ça va piquer un peu !
– Merci, Lora mais je suis désolé pour cet incident !
– Marc pas autant que moi, je suis toute remuée par cette sauvage, et je vois que ta queue n’a pas souffert ! Je finirai par croire que tu as une forme bénigne de priapisme car ton instrument pointe toujours vigoureusement vers le ciel ! dit Lora en riant.
– Oh, mais maintenant que Sofia est maîtrisée, dit Corina, je propose un jeu de « trois plus un » ce qui permettra, j’espère, à Lora de reprendre son rapport avec notre capitaine !
– Oh oui, dit Olympe, je garde ma trousse médicale sous la main au cas où la verge de Marc ne se détendrait pas !
– Non, dis-je pas de piqûre ! et certainement pas dans mon pénis !
– Mais non Marc, c’était pour rire ! dit Olympe, viens Lora, laisse-moi te remettre dans l’ambiance où tu étais avant que cette folle te dérangea.
Olympe prit un sein de Lora dans sa bouche et le suça jusqu’au moment où Lora gémit de désir. J’ai toujours eu un faible pour les jeux lesbiens de mes copines mais là, Olympe fit grimper l’audimat ! Corina vint se blottir contre moi et prit tendrement ma verge en main !
– Non Marc, on ne te fera pas de piqûre dans ton zizi, viens mon chéri, je connais un remède vieux comme le monde ! C’est d’ailleurs Sofia dans ses études pour le Musée qui m’a donné ses fiches à traduire. Sais-tu que les Grecs anciens pratiquaient la fellation aussi bien par des femmes que des hommes ? Lors des grands banquets des esclaves passaient entre les lits pour proposer aux hommes de les décharger de leurs tensions sexuelles ! Les études sérieuses sont contradictoires, certaines prétendent que la fellation ne se pratiquait pas en Grèce antique, mais elle était illustrée sur les vases et gobelets de l’époque. Lorsque Sofia aura dessoûlé, il vaudra la lancer sur ce sujet !
Corina pratiqua la fellation avec art, juste de quoi me garder en érection pendant que je regardais Olympe lécher le bijou de Lora. Pour moi c’était plus sympa que de me masturber en regardant les filles.
Lorsque Olympe estima que Lora fut prête à me recevoir, elle interrompit la pratique de Corina et Lora fut empalée sur ma bite. C’était divin, le couloir étroit de Lora me fit monter rapidement, mais sur les conseils d’Olympe, qui suggérait un trot plutôt qu’un galop effréné, Lora calma la monture ! Elle prit mes mains pour les placer sur ses seins :
– Marc, fait moi jouir, caresse mes seins et mon clito, je veux un orgasme de toi avant que tu n’éjacules ! Maintenant que mon vagin est accueillant, je veux en profiter. D’autant plus que cette salope de Sofia en te prenant pour son frère, a décuplé mon désir d’être possédée par toi ! Ouiiiii, encore ! Marc continue, Olympe et Corina, aidez-moi à rester bien droite sur la bite de Marc !
Olympe devait être excitée également et s’assit sur ma bouche, faisant face à Lora. Je vis que la cyprine coulait abondamment entre ses lèvres intimes et je bus avec délectation le liquide qu’elle m’offrait. Sa position m’empêcha de continuer à titiller les seins de Lora et elle déplaça mes mains sur ses seins à elle. Au contact, Olympe me murmura,
– Marc fouille mon vagin avec ta langue et pince mes seins ! Je veux jouir en même temps que Lora ! Corina embrasse-moi !
– Oh, Marc ! cria Lora, je ne tiens plus !
Je sentis, un peu de liquide se déverser sur mon ventre !
– Lora, cria Corina, tu es une femme fontaine !
– Félicitations ! ajouta Olympe, dans les cours de médecine on parle de cela en rigolant, mais c’est tout à fait naturel.
– Désolé Marc, dit Lora.
– Aucun problème Lora, tu es la première femme que je rencontre qui a une éjaculation féminine !
– Je dois reconnaître, que j’ai joui intensément ! rajouta Lora. Merci Marc ! Mais tu n’as pas joui !
– Ce n’est pas un problème, dit Olympe en riant. Corina on tire à la courte paille qui fera jouir notre capitaine ? Non sérieusement, je te laisse la place ! Je suis presque au bout et la langue de Marc me fait un plaisir immense. Je vais jouir bientôt !
Corina prit donc la place de Lora, pendant que je terminai la caresse buccale à Olympe. Corina devait être fort excitée aussi, car ce fut son orgasme qui m’acheva ! Pendant quelques secondes je ne vis plus rien ! J’avais l’impression que mon éjaculation n’avait pas de fin !
Corina resta encore empalée sur mon sexe, ses vibrations ne se calmaient pas,
– Marc, quelle puissance ! dit-elle. Est-ce que ça t’a plu ?
– Oui, quelle jouissance, comme quoi, vous trois, vous m’avez bien achevé !
– Oui, mais Sofia a aussi une part de responsabilité dans ce jeu ! dit Olympe, je vais regarder si elle dort toujours !
– Marc, dit Lora, je vais dormir avec Corina, Olympe tu feras la permanence médicale pour surveiller le patient dont la verge reste toujours en érection ! Je te laisse l’initiative de la thérapie !
Olympe se coucha tendrement à mon côté.
– Marc, tu es vraiment un champion du cunni, merci de m’avoir fait grimper au nirvana. Repose-toi maintenant, car je suppose que demain on va naviguer un peu !
– Oui Olympe, mais il faudra d’abord régler le problème de Sofia qui est encore saucissonnée dans la cabine.
– Ne t’inquiète pas Marc, il se peut que demain, elle ne se souvienne de rien ! Marc, embrasse-moi, depuis qu’on se connaît on ne s’est pas encore embrassé ! Tu es génial !
Elle resta dans mes bras et caressa doucement mon sexe qui se détendit.
– Voilà, bonne nuit Marc !
***
### Olympe ###
Le soleil se levait alors que personne de l’équipage n’avait bougé ! Je n’eus pas le courage de réveiller Marc qui me tenait par les hanches. Je regardai son visage, calme et serein. Je le trouvai particulièrement beau. Je finis par comprendre pourquoi il ne voulait pas se montrer en public. Je soupçonnai que sa fortune, sa jeunesse et son célibat devaient attirer les femmes et à part Corina, Lora et moi peu de femmes connaissaient son intimité. Oui, il y avait Sofia, je ne la cernai pas clairement. Cette femme très cultivée connaissant l’histoire de la Grèce antique et moderne, mais devait avoir un gros problème affectif. La relation trouble avec ses frères m’avait étonnée, je finis par croire qu’elle aimait cette situation !
– À quoi songes-tu si intensément ? chuchota une voix à mon oreille.
– Oh, bonjour Marc, murmurai-je, tu es réveillé ?
– Oui, puisque je te parle, mais tu n’as pas répondu à ma question !
– Je songeais à Sofia, cette fille doit vivre un cauchemar !
– Je ne suis pas certain ! répondit Marc. Je crois qu’elle est consentante ! Lorsque nous l’avons rencontrée ses confidences à Corina m’ont fait penser qu’elle a grandi dans cette relation avec ses frères et la trouve normale.
– Oui, il y a des cas familiaux similaires lorsqu’on étudie la psychologie en médecine ! Mais je ne la connais pas assez pour émettre une analyse complète de son cas ! Mais puisque tu es réveillé, allons voir comment elle va ! L’alcool et la piqûre de calmant commencent certainement à dissiper les effets !
Je sortis de la couchette suivie de Marc, qui arbora déjà une belle érection matinale. Je ne pus résister à admirer son corps.
– Oui, je sais, dit-il, le matin Corina me regarde souvent avec envie et je vois le même regard dans tes yeux !
– Pardon, Marc c’est le médecin qui te regarde ! dis-je en souriant. Mais oui, tu es normal !
Dans la cabine Sofia dormait encore, Marc s’inquiéta quand même que les cordages devaient peut-être serrer un peu de trop et défit les liens sans trop la déplacer. Effectivement ses bras étaient un peu ankylosés et je commençai à masser ses membres pour améliorer la circulation sanguine. Mais cela ne la réveilla pas, Voyant que tout allait bien nous la laissâmes et sortîmes de la cabine.
En sortant, Marc frôla mes seins, j’eus des frissons que Marc remarqua.
– Tu es sensible ?
– Oui, Marc mais j’aime quand tu me touches !
– Tu as des envies matinales ?
– Marc, hier tu m’as fait un cunni délicieux, je n’ai pas le problème de sécheresse de vagin comme Lora, s’il te plaît, baise-moi ! Je sais que tu es mon patron, mais ce matin, alors que tu dormais encore dans mes bras, j’ai eu envie de toi !
– Olympe, je ne suis pas ton patron, c’est Lora qui dirige l’équipe médicale de la Fondation.
– Marc, tu joues avec les mots alors que moi je veux jouer avec ton sexe ! J’ai constaté à l’instant que tu sais bien masser ! Réveille mon corps, masse mes seins, mais ce matin je veux ton pénis et pas ta langue dans mon vagin ! Ainsi je pourrai constater si ta verge est en état de me faire jouir !
– Oui, Docteur !
Il massait merveilleusement mes seins pendant que son bâton glissa dans mon intimité. J’étais agenouillée sur la couchette et il était debout derrière moi. J’adorai qu’il me prenne ainsi, il était le seul à effacer le souvenir cuisant de mon ex-ami de Suisse.
– Marc, continue !
Il me labourait en force, ma tête s’enfonça dans les coussins étouffant mes cris de plaisir. Sa verge était profondément enfoncée, je sentis qu’il toucha mon utérus et son jet de sperme déclencha mon orgasme.
– Ne t’arrête pas Marc, continue tant que tu as une érection ! Oh ouiii, encore !
Sa verge resta dure et me fit monter à nouveau au sommet du désir. Après de longues vibrations, je dus le stopper car c’était trop fort ! Je me retournai et pris sa verge en bouche, son goût de son sperme et ma cyprine mélangée me plaisait. Il me fallut beaucoup de persévérance pour qu’il explose dans une deuxième salve. Je gardai son sexe en bouche tant que je perçus les pulsations et qu’enfin il débanda !
Il me releva et m’embrassa sur la bouche !
– Comme ça, je peux aussi goûter ce cocktail ! Je mérite quand même un peu de mon propre jus mélangé à ton liquide !
– Marc, tu es insortable, mais j’aime baiser avec toi. Non, ne t’inquiète pas, je ne m’accroche pas, c’est juste du sexe ! Mais j’espère pouvoir encore en profiter !
– Chut, Olympe oui, c’est seulement du sexe ! Tu pourras encore en profiter, Corina ne s’est pas encore décidée ; elle aime le sexe avec les filles et moi et ça m’arrange. Si on s’habillait un peu et préparions le petit-déjeuner. La boulangerie au bout du quai est ouverte, je vais chercher des croissants et du pain frais !
– D’accord, merci Marc, tu es un chic type, je vais réveiller l’équipage et dessoûler Sofia !
Marc, sortit du carré et sans doute le bruit de ses pas sur le pont, alerta Corina qui sortit de la cabine avec un grand sourire !
– Lora et moi on a attendu un peu avant de nous montrer. Les bruits que nous entendions étaient révélateurs ! Olympe ne t’inquiète pas, je suis contente que tu aies eu ta jouissance ce matin ! Marc et moi on n’est pas encore en couple, cette nuit, j’ai eu mon plaisir avec Marc et ensuite avec Lora, j’espère dormir avec toi ce soir !
NDA : Voilà c’est clair, pas de jalousies ! La suite la semaine prochaine ! Cette mini-croisière a encore de belles suites !
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