Chapitre 56 - Marc esclave de sexe !
### Lora ###
Ce matin Marc m’embrassa goulûment sur mes seins ce qui me réveilla et provoqua des papillons dans mon ventre.
– Marc, tu es un plaisir comme compagnon de sexe ! tu es infatigable !
– Non, Lora, je suis simplement émoustillé par la vue de ton corps admirable
– Alors viens, que je puisse te calmer !
Elle se défit des couvertures, me donnant une vue panoramique de son corps et elle se pencha sur mon sexe qu’elle décalotta en douceur. Son examen médical ne dura pas et elle avala l’objet de son désir. Ses hormones et les miens étaient bousculés depuis un bon moment et il ne lui fallut pas longtemps pour transformer ce délice en explosion ! Sa langue fit encore de longs passages sur mon gland, provoquant de puissants frissons puis elle prit ma main pour la porter sur sa fente.
– Ce matin je me contenterai de ta main mais ce soir je veux la totale ! Tes mains, ta langue et ton épée ! Mets juste un peu de lubrifiant, pour ne rien abîmer !
Je fis comme elle demanda et ma caresse eut le résultat escompté ! Elle cria son orgasme tout en m’encourageant à continuer mon action. En finale, ce fut Lora qui me stoppa, son corps vibrant encore pendant de longues minutes.
Après une douche très sage (ma mécanique étant satisfaite !), nous nous retrouvâmes dans la cuisine où Corina préparait les viennoiseries, le café et le thé.
Corina me fit un long baiser passionné sous les yeux d’Olympe qui riait à gorge déployée ! Puis elle embrassa Marc de la même manière en y ajoutant quand même une caresse explicite sur son sexe.
– Je crois que ce soir, tu seras notre esclave ! Lora, Olympe et moi, nous voulons te sentir au plus profond de notre corps, quitte à y passer la nuit ! Prends déjà ces vitamines, car tu en auras besoin ! Ton grand lit sera le champ de bataille idéal pour nous satisfaire !
Après le repas, nous partîmes tous ensemble vers l’immeuble de la Fondation où Marc nous montra les véhicules. Notre choix se porta sur un SUV étoilé de taille plus modeste que celui de Marc. Je ne connais pas grand-chose en bagnoles mais Corina et Olympe trouvèrent que cette voiture les protégerait en cas d’accident et surtout empêcherait les machos de jouer à l’influence dans les carrefours embouteillés d’Athènes.
Corina laissa le volant à Olympe qui circulait souvent avec la voiture de ses parents et qui connaissait tous les pièges à éviter si possible !
Olympe voulut passer chez ses parents pour récupérer ses affaires avant d’aller à l’hôpital. En cours de route je lui fis la proposition de venir loger chez moi, ce serait d’autant plus facile pour nous et aussi pour Marc. Elle voulut participer au frais de loyer, mais je lui dis que ce n’était pas nécessaire vu que loyer était pris en charge par l’entreprise. Nous convînmes que sa participation à la nourriture serait amplement suffisante.
Les parents d’Olympe étaient très sympathiques, ils trouvaient que leur fille avait bonne mine et furent quand même un peu déçus lorsqu’elle leur annonça qu’elle allait vivre chez moi ! Mais ils comprirent que ce serait plus facile pour le travail.
Corina eut l’occasion d’expliquer le nouvel environnement de travail de leur fille, pendant que celle-ci prépara ses affaires. Je vis qu’ils me regardaient avec bienveillance et surtout heureux que leur fille ait trouvé un emploi en correspondance avec ses nombreux diplômes.
La première journée de l’équipe à l’hôpital, fut essentiellement employée aux formalités sous la direction de Corina comme représentante de la Fondation. Je pus rassurer mes anciens collègues que notre équipe n’avait qu’un seul but, c’est d’alléger la charge journalière et d’augmenter la capacité de soins aux patients. Je fis aussi la visite de mes patients dont je continuerai la prise en charge et fus heureuse de constater que les protégés de Corina se portaient à merveille. Georges recevrait son permis de quitter l’hôpital dans la journée de demain et était enthousiaste d’aller loger dans la famille d’accueil. Rina avait de bonnes constantes et je pensai la libérer dans quelques jours.
Le soir arriva sans avoir vu le temps passer et nous rentrâmes exténués mais très contentes de cette première journée !
Comme convenu Olympe nous ramena à mon appartement, Corina passa chez elle quelques minutes pour se rafraîchir et revint avec deux bouteilles de vin blanc.
– Il ne fallait pas, Corina ! Papa m’a livré un carton de notre production !
– Ça n’est pas grave, on finira bien par le boire aussi ! Comme cela, on a une réserve !
Olympe proposa de faire quelques achats de nourriture et partit à pied avec Corina qui connaissait le quartier. Pendant ce temps-là Marc arriva et je profitai encore de notre solitude pour l’embrasser et le caresser sensuellement.
– Comment était ta journée ? demandais-je.
– Très bien Lora ! J’ai eu l’occasion avec mes associés de discuter des placements de nos liquidités. Tu te rappelles certainement que nous recevons tous les jours de sommes importantes de donateurs connus et anonymes. Ces sommes sont regroupées pour être placées sur des comptes qui donnent un peu d’intérêts en attendant de les dépenser. J’ai aussi préparé les virements d’un acompte de vos salaires.
– Mais on vient à peine de commencer !
– Oui, bien sûr, tu fais exception car tu travaillais avant mais Olympe, l’anesthésiste et les infirmières étaient au chômage et ne percevaient que des montants ridicules ! Cela remettra un peu de cash à leur disposition.
– Je comprends ! De toute façon l’hôpital payait avec un lance-pierre et souvent les payements n’étaient pas très ponctuels. Une ancienne collègue était désireuse de rejoindre notre équipe, mais je ne pouvais rien dire, comme tu as demandé, nous ne divulguons rien de notre contrat de travail ni de nos salaires.
– Ça n’est évidemment pas possible de les aider, mais en fin d’année je verrai avec la direction de l’hôpital, si on pourra verser une petite prime aux membres du staff de l’hôpital. Cela se fera après la soirée de donations où nous ouvrirons un compte spécial pour l’hôpital pédiatrique.
– Oui, ce sera formidable ! Mais ce soir on fera la fête, dis-je pour fêter cette première journée qui s’est bien passée pour tout le monde. Voilà l’arrivée des filles avec les victuailles, je vais te laisser pour aider à la préparation du repas.
Corina et Olympe vinrent embrasser Marc, puis nous le laissâmes pour retourner en cuisine.
J’ouvris une bouteille de vin, et Olympe apporta un verre à Marc. Lorsqu’elle revint, je vis qu’elle souriait et que quelques boutons de sa blouse étaient ouverts montrant le haut de ses seins libres. Sans que je demande, elle nous donna la raison :
– Oui, Marc voulut un acompte en plus de l’apéro !
– C’est trop tard pour moi ! dit alors Corina qui se prépara à lui apporter des noisettes et petits salés.
Elle ouvrit sa blouse jusqu’à la ceinture, montrant qu’elle avait ôté son soutien-gorge !
– Je vais quand même tenter ma chance pour le séduire ! dit-elle.
– Oui Corina, mais tu es en terrain conquis !
Par la porte ouverte, Olympe et moi virent Corina à califourchon sur les genoux de Marc et qu’elle lui donnait la becquetée de noisettes pendant que Marc massait déjà ses seins. Olympe gémit et se tourna vers moi.
– Oh, Lora, j’ai déjà des frissons dans mon ventre ! Caresse-moi ! Je ne tiendrai pas jusqu’à la fin du repas ! Comment fera-t-on ce soir ?
– D’après ce que Corina a confié, Marc va regarder nos ébats et puis viendra jouir en nous à tour de rôle !
– Il ne pourra pas nous satisfaire toutes les trois ! dit-elle.
– La soirée sera longue ! répondit Corina, qui avait entendu la dernière phrase. J’ai arrêté car il voulut déjà me violer !
– Arrête ! dit Olympe, j’enlève ma petite culotte ! Corina doit-on attendre le repas ?
– Non, bien sûr ! dis-je. J’avoue que je lui ai déjà remonté le coucou pendant votre absence !
– Il est énervé ?
– Non dis-je, l’expression n’a pas que la signification négative, en Suisse cela signifie aussi : il est en forme, il est prêt à fonctionner ! répondis-je en riant.
– Ah bon ! et son « coucou » est remonté ? demanda Olympe.
– Ça, oui ! ajouta Corina, c’est la raison pour laquelle j’ai arrêté ! Je veux qu’il nous regarde jusqu’à la limite !
Le repas se fit dans une ambiance très décontractée, le vin de mes parents, la nourriture favorisa les chamailleries et les provocations.
### Olympe ###
Pour la fin du repas, Corina et moi nous avions prévu des fraises et de la crème fraîche en bombe sous pression. Dans le magasin, au moment de l’achat, nous n’avons pas pensé plus loin que de servir dans des assiettes avec de la chantilly. Mais après avoir bien mangé, bu un peu plus que de raison du vin des parents de Lora qui me sembla plus traître que notre vin blanc ordinaire, nous eûmes (je précise : nous les filles) des idées plus amusantes. En plus de Marc, qui fut la victime désignée nous tirâmes au sort entre les filles qui allait être la victime féminine !
Ce fut Lora ! Nos deux offrandes sacrificielles devaient se dénuder et se coucher sur le sol. Corina et moi, disséminâmes les fraises et la chantilly aux endroits « stratégiques ».
Marc, reçut des fraises et de la chantilly sur sa poitrine et son pubis, en fait sur son pénis, Lora fut aspergée de chantilly sur ses seins et entre ses jambes. Les victimes devaient dans un premier temps rester à la disposition de Corina et moi-même. Puis, lorsque tout ce qui se trouvait sur leur corps était avalé, tout en passant leur langue sur les zones sensibles, ils purent participer à la deuxième vague, qui consistait à asperger le restant de crème sur moi et Corina et eux (Marc et Lora) purent récupérer la crème et le restant des fraises disséminées sur nos corps !
Marc tricha et me fourra son sexe dans ma bouche après avoir préalablement remis de la crème sur son gland ! Je n’hésitai pas et le gardai en bouche après avoir léché toute la crème. Marc fit des allers-retours dans ma bouche pour se satisfaire et éjacula sans prévenir ! Je pris sa « crème » en bouche et la partageai avec Corina. Lora en voulut également et préleva un peu chez Corina puis m’embrassa pour avoir un restant. Corina se mit à califourchon sur Marc et le chevaucha jusqu’à ce que Marc rendît les armes dans un gémissement de souffrance (ou de plaisir ?).
Je pris Corina dans mes bras, la chevauchée l’avait épuisée car en finale elle avait eu sa part de jouissance et nous nous isolâmes dans la deuxième chambre.
Avant de quitter la chambre, je vis Lora présenter sa vulve à la bouche de Marc qui ne refusa pas !
### Marc ###
Après mon orgasme, j’étais un peu à l’Ouest mais compris quand même que Lora voulait sa part de plaisir et qu’elle me présenta son intimité où un peu de cyprine suinta.
– Marc, donne-moi du plaisir avec ta langue, ce soir je ne veux plus rien d’autre que jouir et dormir dans tes bras ! Tu as déjà joui et je ne supporterai pas une longue pénétration !
Je trouvais que c’était une bonne idée, car je ne voulus pas la blesser sachant la fragilité de son vagin. Elle me tournait le dos tout en étant assise sur ma bouche et put, en se penchant, me donner une gâterie sans parvenir à me faire éjaculer car je la battis de vitesse. Son corps vibra sans retenue et cria son bonheur.
Je la retins car je ne voulus pas qu’elle continuât la fellation et je l’embrassai longuement.
– Merci Marc, tu restes ici ce soir ?
– Oui, Lora, je ne suis pas en état de conduire et puis d’ici, je serai plus près de mon bureau. Si tu veux dormir seule, j’irai dormir dans le canapé.
– Mais non, Marc tu es chez toi dans mon appart, je te garde, je dormirai mieux en entendant ton cœur battre contre mon oreille ! Je suis heureuse !
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Le réveil fut un peu pénible, je ne réalisai pas tout de suite, que je n’étais pas chez moi mais finalement tout s’éclaircit et je donnai juste un bisou sur l’épaule de Lora avant de m’extirper en douceur du lit et me rendre dans la cuisine. Corina et Olympe dormaient encore étalées dans une double étoile de mer car elles avaient laissé la porte de la chambre d’Olympe grande ouverte. Je ris car finalement, Corina n’était pas la seule à prendre toute la place en dormant.
C’était encore un peu tôt, mais je fis quand même le café et dressai la table pour le petit-déjeuner. Je fus saisi par deux bras autour de mon ventre et reconnus la stature d’Olympe qui me donna un baiser sur l’épaule,
– Bonjour mon capitaine, c’est vrai que Corina a raison de t’appeler ainsi ! Tu es capitaine de ton bateau et de tes affaires ! Et sache que tu l’es aussi de nos cœurs ! Tu mérites notre tendresse, et de ma part encore plus car hier en opérant mon premier patient, je compris que c’était grâce à toi que j’avais retrouvé mon rôle de chirurgienne ! Je te remercie de tout cœur !
– Olympe, même sans mon intervention tu ne serais jamais restée longtemps sans travail, mais j’accepte volontiers ta tendresse et ton amitié.
J’entendis un petit rire derrière moi et vis surgir Lora.
– Une de perdue, dix de retrouvée, dit elle, Marc pourquoi m’as-tu encore laissé dormir, c’est à moi de te préparer le repas !
– Mais ta colocataire allait m’aider, dis-je.
– Oui, je constate qu’elle te tient les bras, elle ne veut pas que tu fasses ce travail ! Bonjour Olympe, n’est-ce pas que c’est agréable d’avoir cet homme dans notre logement !
– Oui Lora, dit-elle, je le prendrais bien comme petit-déjeuner !
– Bon, Mesdames, je regrette infiniment mais je ne suis pas disponible ce matin, ma secrétaire me réclame à cor et à cri.
– Oui, rassure-nous, dit Olympe, elle est vieille avec des poils au menton et pèse cent dix kilos !
– Ah, vous les femmes jalouses ! Elle est la copie conforme d’Aphrodite ! Elle n’a qu’un défaut : elle est mariée et elle aime son mari !
– Oui, dit Corina en entrant, il dit la vérité, elle est d’une beauté extraordinaire ! Mais Marc ne dit pas l’entière vérité : elle aime aussi son patron ! Je ne serai pas surprise si un jour je la retrouvais sur ses genoux. Mais ce ne sera pas possible, elle est la fille d’un de ses associés !
– Corina, en est jalouse, dis-je, mais en plus de sa beauté, elle est très compétente ! Son père ne l’a pas pris à son service uniquement pour sa parenté.
En partant au bureau, j’écoutais la radio qui d’habitude émet de la bonne musique, mais ce matin j’entendis un flash spécial : un accident de bus scolaire avec une quarantaine de jeunes victimes dont cinq dans un état grave. Mon équipe n’allait pas se tourner les pouces !
NDA : Un chapitre plein de changements entre les filles, mais le flash spécial laisse présager une activité intense à l’hôpital !
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