Chapitre 62. - La croisière inaugurale.
### Marc ###
Emily retourna dans sa cabine, me laissant avec Bessie encore chaude et vibrante de son orgasme ! Je m’imaginai déjà Bessie, enceinte, avec un ventre de plusieurs mois de grossesse ! Rien que de penser à ses seins qui grossiraient et son ventre arrondi, j’eus une érection éclatante !
Oui, c’est vrai que ce ne sera jamais officiellement mon enfant ! Mais n’empêche, il/elle sera issu de mon sperme et Bessie aura un enfant de moi avant que j’épouse la femme qui sera ma compagne !
Bessie, décrocha rapidement et je continuai à rêver sur mon avenir sentimental. Corina était ma préférée, mais sa tendance lesbienne me freinait ! Comment pourrai-je combiner mon envie de la baiser et le partage avec ses amies !
Lora et Olympe me faisaient bander plus que la normale, Lora m’avait déjà approchée avant que je ne crée l’équipe médicale de la Fondation et que dire d’Olympe ? Je l’avais baisée à plusieurs reprises…En fait la plupart des femmes de mon entourage avaient des tendances saphiques plus ou moins prononcées ! J’en arrivais à me demander si c’était dans la nature qu’une femme recherche les caresses d’une autre femme plutôt que la copulation. Mais toutes, même les plus affirmées comme le couple Emily/Bessie, en finale ne refusaient pas de sentir une vraie bite dans le vagin ! Seule exception : Etna mais elle ne m’avait jamais aimée au point de devenir ma femme !
Bessie était belle dans son sommeil, comme Corina, elle dormait en étoile de mer ! Me laissant admirer sa nudité. Pour la taquiner, je posai mes lèvres sur ses seins et j’eus une réaction normale !
– Oui, Emily, je t’aime !
Au moins son amour fondamental était bien pour sa compagne ! J’étais rassuré en quelque sorte et je m’endormis.
***
Ce furent les cris des mouettes qui me sortirent de mon sommeil et ma première vision fut la poitrine de Bessie, elle avait donc passé toute la nuit dans mes bras ! Je me levai en silence pour traverser le carré et découvrir que Emily avait laissé la porte de sa cabine ouverte ! Elle dormait encore avec une main entre ses jambes et l’autre sur son sein. La vue était vraiment splendide mais je ne voulus pas troubler son sommeil.
Je préparai donc avec regret le petit-déjeuner et mis le chauffage de l’eau sanitaire en route, autant profiter de l’électricité du quai ! Je pris une douche rapide, l’eau était encore fraîche mais je n’avais aucune idée combien de temps était nécessaire pour avoir de l’eau chaude ! Les deux femmes se réveillèrent quasi ensemble et je leur montrais le fonctionnement de la douche et la pompe d’évacuation de l’eau.
Lorsqu’elles émergèrent toutes fraîches je reçus un bisou de chacune en voyant la table dressée et les croissants chauds.
– Quel service !
– Oui, dis-je, c’est sommaire, car l’hôtesse n’est pas venue ce matin !
– Mais le capitaine, est polyvalent ! Il sait tout faire ! dit Emily.
– Et même il baise comme un Dieu ! ajouta Bessie en regardant Emily avec un clin d’œil.
Après avoir mangé les filles débarrassèrent les restes et firent la vaisselle. Moi, je changeai les draps de ma cabine, pour que Corina ait des draps frais ! Je ne tenais pas à donner des explications concernant qui avait dormi avec moi ! Chaque chose en son temps !
Panos fut le premier à embarquer ! Il me prévint immédiatement qu’il ne pouvait se libérer que pour la journée, car il avait un rendez-vous professionnel qu’il ne pouvait postposer. Il était fort déçu mais tenait quand même à être présent pour cette balade inaugurale.
Puis Corina, Lora et Olympe arrivèrent ensemble dans la voiture que je leur avais prêtée. Après avoir déchargé leurs affaires, Olympe rentra le véhicule dans le parking de l’immeuble. Nous étions donc au complet !
### Corina ###
Aussitôt à bord, Marc, me demanda de mettre mes affaires dans la cabine « propriétaire ». J’étais donc « l’élue » du capitaine, en fait, je n’en doutais pas, mais c’était quand même rassurant de savoir que j’étais toujours sa préférée !
Marc vint dans la cabine pour se rassurer que je trouvai la place pour mon équipement sauf pour mon matériel de plongée. Il le rangerait avec le sien sous un des sièges du cockpit. Je profitai de ce moment d’intimité pour l’embrasser sur la bouche. Marc accepta ma langue et ce fut un moment sensuel que je dus freiner sous peine de le coucher sur le lit. Ses mains dans mon dos, il sentit que je n’avais rien sous mon t-shirt et osa quand même une caresse sur un sein ! Je hasardai une caresse sur son entrejambe juste pour sentir son érection !
– Ce soir mon capitaine ! je suppose qu’on revient à la marina ?
– Oui, mais on mangera et on couchera à bord car demain on partira à l’aube.
– Larguez les amarres ! cria Marc pendant que Panos mit le moteur en route.
Le bateau vira quasi sur place et nous fûmes sortis de la marina avant même que les médecins eussent rangé leur barda.
Oui, l’Eileen manœuvrait vraiment sans problème et on entendait à peine le moteur !
– Marc, que vas-tu faire du Zéphyr ?
– Je le garde, pour mes balades en solitaire, l’Eileen est trop grand pour naviguer seul, même à deux c’est limite ou alors par petit temps ! Panos pourra aussi employer le Zéphyr !
– On déploie les voiles ?
– Oui, mais on va commencer par dérouler le génois seul, lors de l’essai en Espagne le skipper avait employé toute la voilure, je voudrais voir son comportement avec le génois seul. Ici tout est simple avec les winches électriques.
Panos réduisit les gaz pendant que je déroulai le génois, tout se commandait à partir du cockpit sans déranger les filles qui étaient assises sur les bancs. Les 82m² se déroulèrent sans encombre.
Puis Marc demanda à Panos de virer de bord, le voilier avait peu de gîte et le grand drap passa à l’autre bord juste en jouant avec les écoutes sur le chariot autovireur. Un vrai plaisir !
Puis on hissa la grand-voile à mi-course pour tester l’équilibre, le winch électrique se commandait simplement et je riais en repensant aux efforts nécessaires sur le Zéphyr pour hisser la grand-voile. En fait « hisser » la grand-voile n’était plus le terme approprié puisque la voile était enroulée dans le mat et l’enrouleur se commandait comme le génois. Il fallait juste bien surveiller à l’enroulage pour éviter les plis !
Comme le voilier gîta à peine on déroula la grand-voile entièrement Panos prit la barre à roue au vent et là on se donnait tu plaisir ! Le gîte devint important et tout le monde se mit sur le bord au vent. On gîta jusqu’à mouiller les chandeliers. Marc et Olympe s’amusaient avec le réglage des voiles en coordination avec Panos à la barre. Par contre Lora n’était pas tellement à l’aise. Les pilotes ayant de bonnes notions de voile essayaient de rassurer, en vain Lora qui pensait qu’on allait chavirer. Puis on diminua l’allure pour reprendre une assise plus reposante. À la mi-journée on se mit en panne pour ramener le pont à l’horizontale et nous permettre de manger l’encas que Marc avait commandé et qui nous avait été livré le matin à la marina. Comme on était seuls à des miles à la ronde, je défis le top de mon maillot suivi aussitôt par toutes les filles. Même Emily plutôt timide se mit à l’aise. Je constatai que même Panos eut une grosse bosse dans son short. Donc malgré son inclinaison homo, notre ami n’était pas insensible à la vue de tous ces seins dénudés. L’après-midi nous fîmes encore diverses allures sous génois seul au grand plaisir des filles qui voulaient bronzer !
Le retour à la marina se fit sans problème Marc et Olympe prirent la barre à tour de rôle et Panos et moi on s’occupait des amarres. J’étais rassuré, Olympe Marc et moi nous avions bien compris le bateau qui avait un comportement plus agréable que le Zéphyr.
C’est avec regret que Panos nous quitta, je sentis dans son regard qu’il serait bien resté à bord.
– Panos, merci pour cette balade, dit Marc, je crois que pour demain et les jours suivants on n’aura pas de problèmes !
### Olympe ###
On s’était bien amusés, l’Eileen était magnifique ! Docile à la manœuvre, une vitesse agréable sans devoir chercher le nœud extrême. Je regrettai juste que le cockpit offrît moins d’intimité que le Zéphyr où les passagers désirant bronzer se couchaient sur le pont avant. Ici le pont restait dégagé ! À six plus le barreur, il restait encore de la place même si deux filles se couchaient sur les coussins moelleux !
Lorsque Corina donna le signal nous défîmes toutes le top de notre maillot provoquant des érections impressionnantes chez le skipper et le capitaine. Je sus par Corina que Panos n’était pas porté sur les filles, mais cela n’empêcha pas de réagir devant tous ces seins nus. Mais chez les filles aussi il y eut des réactions surprenantes. Je vis même une tache d’humidité sur le slip de Lora qui était étendue les jambes légèrement écartées sur les coussins.
Les essais de voilure nous occupèrent bien les esprits et la proximité de Marc pour varier la voilure me permit quand même de le frôler à plusieurs reprises. Puis j’eus le privilège de barrer sous la surveillance et les conseils de Marc pendant que Corina et Panos réglèrent les voiles au plus près. Marc se tenait à proximité et à plusieurs reprises lors des à-coups dus au franchissement des vagues mon corps fut heurté par le bras de Marc provoquant des frissons puissants dans mon ventre ! Cela me rappelait le rapport que j’eus avec Marc sur le Zéphyr où je fus assise sur son sexe tout en barrant ! Ici ce n’était pas possible, il faudra trouver d’autres moments pour profiter de Marc !
De retour au quai de la marina, Marc signala qu’il avait rebranché l’eau et l’électricité de la marina mais demanda d’être économe avec l’eau chaude si tout le monde voulait se laver pour enlever le sel des embruns et les crèmes solaires. Vu la disponibilité de trois salles de bains, cela ne posa pas trop de problèmes. La cohabitation avec Lora, nous facilita encore la chose et nous parvinrent à prendre notre douche ensemble. La place n’était pas grande mais Lora me fit quand même quelques caresses sur mes seins auxquels je ne résistai pas, lorsque je mis mes doigts dans son vagin elle gémit.
– Olympe, dit-elle, ce soir je te ferai l’amour ! Il y a déjà quelque temps que je désire dormir avec toi ! Mais ici, on est bien forcé de partager le même lit alors je profite de l’occasion. La vue de l’érection de Marc et vos frôlements durant les manœuvres m’ont donné des envies non maîtrisables !
– Oui Lora, ton slip de bain montrait clairement à tout le monde que tu mouillais. Tu avais envie de coucher avec Marc ?
– Oui, mais n’importe qui m’aurait satisfait ! Marc, toi, Corina, sauf les pilotes qui se câlinaient discrètement. Panos avait aussi une belle érection, ce qui montre que les femmes ne le laissent pas totalement indifférent.
Après la douche, je pus même prendre le luxe de sécher ma longue chevelure abondante grâce à la prise 230 volt disponible dans la cabine. Je découvris aussi qu’il y avait une connexion USB reliée au système du serveur du bateau ce qui nous donna une excellente connexion internet !
Comme Lora je me contentai d’un t-shirt et d’un short pour rejoindre le carré. Marc avait déjà préparé une bouteille de vin blanc, cette fois du vignoble des parents de Lora.
Lorsque Corina apparut, un grand silence se fit, ce qui me fit relever la tête de ma tablette, comme les autres filles je fus abasourdie par sa tenue. Elle portait un top totalement transparent sur un string couleur chair !
– Waouh ! Corina ! Tu es bien hardie !
– Oui, les filles mais je n’ai pas l’intention d’organiser une partouse ! Ce soir je me réserve le capitaine ! Alors ce soir, je veux baiser et cette nuit restez bien dans vos cabines ! car le grand air m’a mis en appétit !
Je vis les tétons de Corina dressés, mais aussi ceux des autres filles ! Marc qui était dos à nous dans l’espace cuisine ne dit rien, mais lorsqu’il vint vers le salon, personne n’eut un doute que Marc avait bien entendu l’affirmation de Corina !
### Marc ###
La préparation du repas fut simple, mais à l’énoncé de Corina, j’eus une érection quasi douloureuse et impossible à cacher aux convives. Toutes avaient leurs yeux centrés sur mon entrejambe révélateur !
La deuxième bouteille fut entamée et Corina n’hésita pas à s’octroyer une nouvelle rasade en serrant ma verge sous la table, ce geste n’échappa à personne. Mais ne suscita aucun commentaire. À la fin du repas, les pilotes se proposaient de débarrasser et faire la vaisselle. Je leur indiquai qu’il y avait un lave-vaisselle mais toutes trouvaient que ce n’était vraiment pas écologique.
Corina me fit un signe et nous nous isolâmes dans notre cabine. Corina ne se maîtrisa plus ! Elle descendit mon short alors que j’étais encore debout.
– Voilà ce dont j’avais envie depuis ce matin ! dit-elle ses deux mains sur mon mât de beaupré.
– Corina ! calme-toi, si tu veux profiter de moi, ne vas pas trop vite en besogne !
Avant que j'eus réagi Corina avala mon chibre sans hésitation, provoquant des vibrations dans tout mon corps ! Sa langue caressa ma verge dans tous les sens, roulant sur mon gland, titillant mon méat !
– Ne t’en fais pas Marc, je vais te laisser à la limite de l’éjaculation et cette nuit, tu me supplieras de te décharger. Couche-toi !
Elle se mit à califourchon sur mon sexe, elle aussi apprécia la hauteur de plafond de la cabine, qui lui permit de monter et descendre sur ma verge. Elle serra ses jambes pour mieux masser mon gourdin.
– Ah, tu es bien dur ce soir ! Oui, il me plaît ton nouveau bateau, déjà lors du tour de présentation en Espagne, je me voyais te baiser dans cette cabine ! Mais je t’avoue que les balades en solitaire sur le Zéphyr, resteront à jamais dans ma mémoire. Peut-être retrouvera-t-on cette ambiance en adjoignant Olympe. L’Eileen doit être manœuvrable à trois ?
– Oui, avec toutes les avancées techniques, l’électronique à bord, il faut juste du monde pour compenser la taille du bateau. J’ai remarqué cet après-midi que Lora n’était plus stressée lorsqu’on fit des essais de vitesse.
– Oui, dit Corina, Olympe lui a expliqué les principes fondamentaux de l’équilibre d’un voilier. Du coup elle s’est intéressée à la manœuvre. Je compte l’amener au club de voile pour lui donner quelques cours. Le reste elle apprendra sur le tas en naviguant avec nous. Qu’en penses-tu Marc ?
– On ferait équipe à quatre ?
– Oui, si tu es d’accord demain je lui donnerai l’occasion de tenir la barre à roue, ce sera plus compréhensif : tu tournes la roue à gauche et le bateau vire à gauche ! sur le Zéphyr c’est inversé, et ça, ce n’est pas évident quand on débute ! Marc, de plus, depuis le début de mes visites à l’hôpital j’ai flashé sur Lora ! Toi, tu me sembles plus attiré par Olympe, je me trompe ?
– Oui, tu as raison, Olympe est plus sportive et me plaît bien !
– Marc tu ne peux pas le cacher, je sens ta verge qui durcit encore plus lorsque tu penses et parles d’Olympe. Je me rappelle notre première rencontre lors de sa sélection ! Vous aviez tout de suite trouvé des atomes crochus ! Rappelle-toi, elle s’est présentée à l’entretien les seins libres sous sa blouse et en jean troué ! Tu bandais dans ton beau costume !
Je soulevai Corina, pour la coucher sur le ventre en soulevant ses fesses, je sentis que Corina demanda plus d’action et introduisis en profondeur ma verge dans son vagin. Mon esprit vagabonda sur le corps d’Olympe, je pilonnai Corina avec énergie en serrant ses seins et finalement Corina bascula dans l’orgasme, ses cris étant étouffés par le matelas. Ses vibrations et contractions m’achevèrent et j’éjaculai sans retenue !
– Oh Marc, quelle puissance ! dit-elle après avoir récupéré sa respiration. J’espère que mes cris n’ont pas résonné dans tout le bateau !
– D’après la documentation fournie, le confort des cabines est garanti même lors de la navigation au moteur !
– Ouais on verra les commentaires demain dit Corina, maintenant je veux profiter de ce lit ! Merci Marc !
NDA : On verra dans l’épisode suivant si Lora aime apprendre la voile !
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