Chapitre 63 - Jeux lesbiens.
### Olympe ###
Corina était vraiment lancée ! Elle ne voulait pas être dérangée ce soir, se réservant son beau capitaine ! En entrant dans notre cabine avec Lora, je me réfugiai quelques minutes dans notre salle de bains. En glissant mes doigts entre mes lèvres intimes, j’eus la confirmation que la cyprine coulait à flots dans ma culotte.
Je pris une lingette pour éliminer le plus possible, mais l’essuyage ne fit qu’empirer la situation. Je serais bien restée plus longtemps si Lora n’avait pas toqué discrètement pour lui laisser la place.
Lorsque je sortis, Lora avait le visage congestionné comme si elle aussi était troublée et cherchait à se calmer ! Elle avait déjà retiré son top et tentait de cacher ses tétons dressés en couvrant ses seins de sa main !
– Lora, toi aussi tu mouilles ? Corina m’a vraiment excitée ! Sa façon de serrer la bite de Marc me donna envie de sauter dans leur cabine pour que Marc me prenne sans préalables !
– Oui, Olympe cela me rappelle l’envie de baiser Marc encore plus fort que lorsque je vis Marc à l’hôpital dans les premiers jours de notre rencontre. Je vais me masturber car je ne tiens plus et je veux dormir sans rêves.
– Alors retiens-toi, et jouissons ensemble, je t’avais promis de te faire jouir ! dis-je.
– Corina est une salope, elle se réserve le meilleur, j’aurais dû prendre mes jouets dans mon sac ! Je me serais masturbée jusqu’à demain matin. Alors oui, jouons ensemble !
Je pris ses seins tout en lui roulant une pelle, ce qui nous fit gémir bruyamment toutes les deux. Très rapidement nos mains plongèrent dans nos fentes respectives pour constater que nous étions trempées.
Je poussai Lora sur le lit, et pris ma compagne de cabine en soixante-neuf. Nos langues enfoncées dans le vagin de l’autre, il ne fallut pas beaucoup de temps pour atteindre l’orgasme, mais ni l’une ni l’autre nous n’étions satisfaites ou calmées !
Je me retournai pour que nos visages se rapprochent et pinçai ses tétons toujours dressés, pendant que Lora remit ses doigts dans mon vagin. J’eus immédiatement une nouvelle vague d’orgasme, qui me semblait la continuation de la précédente.
Lora, elle cria de désir et se redressa pour glisser une jambe entre les miennes. Elle écarta mes jambes jusqu’à ce que nos lèvres intimes se touchent pour que nos corps puissent jouir ensemble. Les coups de butoir que je donnai réveillèrent des pulsions profondes dans mon clitoris. Je regrettai vraiment de ne pas avoir pris dans mes bagages un gode double qu’on eut pu s’enfoncer mutuellement ! Pendant de longues minutes nos sexes se frottaient l’un contre l’autre et Lora gémit de plus en plus fort !
– Dommage que Marc ne puisse pas être présent ! dis-je, il aurait apprécié !
– Oui, dit Lora, et je lui aurais sucé sa bite en même temps !
– Non, Lora ne dis plus rien, il ne me faut plus grand-chose, s’il était là, moi, je lui laisserai me prendre par n’importe quel orifice ! Pourvu qu’il me fasse jouir !
J’eus à peine fini ma phrase que Lora se plia, et sa bouche tordue par le plaisir se trouva sur mes seins qu’elle mordilla dans son spasme ! Ce qui déclencha mon plaisir ! Nous gémissions de concert pendant un bon moment, essayant de retrouver le calme de nos palpitants.
– Je suis folle ! déclara en finale Lora avant de s’assoupir
Lora était comblée mais moi je voulais coucher avec Marc qui n’était pas disponible, Corina avait la chance d’être sa préférée ! Je glissai ma main entre mes lèvres où la cyprine suintait ; mon clitoris était gonflé et sensible au toucher.
Je m’imaginai chevauchant Marc, sa bitte dure me frottant l’intérieur de mon vagin, mais c’était mes doigts ! Pourquoi ma jouissance ne se déclencha pas ? C’était moi qui barrais le Zéphyr tout en jouissant, je voyais les mains de Marc sur mes seins et de ma main libre je titillais mes seins et enfin je sentis mon désir atteindre le climax et je ne pus retenir mes cris.
Je devais avoir vraiment crié très fort car Lora sortit de son sommeil pour reprendre les caresses de mon intimité. Elle comprit que je n’étais toujours pas satisfaite et enfonça ses doigts profondément dans mon vagin pour toucher le plus d’endroits passibles tout en pinçant jusqu’à la douleur mes seins. J’étais certaine d’y arriver cette fois ! Mon orgasme fut extraordinaire ! Lora me tint contre son corps, nos seins se touchèrent et amplifièrent les pulsions dans mon bas-ventre.
– Merci Lora, je n’en peux plus, j’ai dû fantasmer que Marc me baisait comme une brute et me serrait les seins. Merci, tu m’as comblée !
– Oui Olympe, mais ce n’était vraiment pas discret ! Tu as crié le prénom de Marc au moins une dizaine de fois, ça ne m’étonnerait pas qu’il se pointe à la suite de ton appel !
– J’espère que non, il nous débarquerait séance tenante !
***
### Emily ###
Bessie et moi, nous étions euphoriques ! Je ne savais plus combien de verres de vin j’avais ingurgités mais j’étais certaine que le voilier bougeait en pleine mer ! Elle se défit de ses vêtements et se coucha nue sans prendre la peine de les ranger. Je ramassai son top et son short pour les mettre dans l’équipet tout en constatant l’humidité abondante au fond de sa culotte !
Je me glissai dans le lit nous couvrant du drap qui me sembla de grande qualité ! Je n’eus pas de doute que tout sur ce bateau, était d’une exécution beaucoup plus luxueuse que l’équipement standard et la description de la brochure. La moquette épaisse, le tapissage des parois, les éclairages LED des lampes de chevet et du plafond, tout était d’une finition soignée !
Je pris Bessie dans mes bras en ceinturant ses jambes avec les miennes en rêvant de notre futur.
Marc, était génial ! Finalement Bessie avait raison ! Il était le père idéal pour notre enfant. Mes relations hétéro étaient effacées de ma mémoire et me retrouver avec un vrai pénis dans mon vagin avait déclenché des envies de sexe que j’eus du mal à maîtriser !
Je nous voyais déjà avec un enfant ressemblant à Marc, suçant le lait au sein gonflé de Bessie. Mais l’image fut troublée par Marc, goûtant le lait en même temps que son fils. « Son fils » ? Oui je nous souhaitais qu’il engendre un enfant mâle ! Vivement qu’on puisse s’isoler avec Marc pendant la période de fertilité de Bessie.
Il faudra convenir un endroit isolé, sans les autres femmes, pourquoi ne pas simuler un voyage en avion. Pourquoi ne pas descendre dans le Péloponnèse ? Ou en Crète dans un hôtel au bord de la mer ?
Comme Bessie s’était endormie profondément, je pris ma tablette pour me connecter à Internet.
Pour nous, le seul aéroport civil du Péloponnèse est Kalamata, desservi également par des compagnies aériennes régulières. Un hôtel de luxe : l’hôtel Blu offrant de magnifiques suites avec vue sur mer pouvant nous loger sans problème pour nous trois. Et accessible en moins de 30 minutes d’Athènes avec le Gulfstream. Cette option me semblait plus réaliste que de descendre en Crète où il fallait combiner avec une voiture de location.
Il ne restait plus qu’à demander à Marc s’il acceptait de s’absenter plus d’une semaine d’Athènes, de couper son téléphone pour éviter d’être localisé par les services de la Fondation. Je savais d’expérience que la sécurité à la Fondation était très performante et je voulais éviter d’être pistée. On ne pourra déjà pas éviter d’être repérés avec le trajet de l’avion, mais j’étais certaine que Marc trouvera une excuse pour se rendre dans le Péloponnèse.
J’avais un souvenir lointain que ses parents avaient une propriété dans la montagne près de Vathia dans le sud du Péloponnèse ; ce serait donc une bonne justification du voyage. Vathia était distante de plus de 120 km par la route côtière, très difficile et qui demandait un trajet de près de 2 h 30 ! Il faudra quand même me renseigner auprès de Marc si cette propriété faisait toujours partie de son patrimoine.
Ce souvenir des parents de Marc me replongea dans le passé où Eileen et Matthew voyageaient énormément entre les USA et l’Europe pour leur plaisir, achetant parfois des propriétés sur un coup de foudre sans se soucier de la partie administrative. Quelques fois il fallut revenir avec un avocat pour finaliser la partie juridique de l’acquisition.
La propriété de Vathia fut un bon exemple de ce genre d’achat car à l’époque les étrangers ne pouvaient pas acheter des biens immobiliers en Grèce. L’avocat trouva le moyen de racheter une société immobilière qui signa l’acte de propriété !
Plusieurs fois nous accompagnâmes ses parents à Vathia où ils construisirent une villa sur un éperon rocheux avec une vue splendide sur la mer. Je ne me souvenais pas que Marc ait séjourné dans cette maison gérée par un couple grec qui s’occupait de la propriété toute l’année.
Je finis par m’assoupir en rêvant de cet endroit merveilleux.
***
Le lendemain, je fus réveillée par divers bruits m’indiquant que Marc et les autres filles étaient déjà debout, je réveillai Bessie et après une toilette sommaire, nous rejoignîmes le carré.
Le spectacle offert à Marc méritait le coup d’œil : Corina portait un top transparent sur la zone de ses seins et Olympe se baladait seins nus ! Lora plus discrète avait revêtu un polo trop petit pour sa poitrine qui était tendu agressivement sur ces seins.
Marc bandait superbe de grand matin et Bessie avait pris place à côté de lui et n’hésita pas à glisser sa main discrètement sur le sexe dressé du capitaine. Corina était occupée à préparer la table pour le petit-déjeuner et ne vit pas la provocation de Bessie. À ma surprise, Olympe se glissa de l’autre côté de Marc et frotta ses seins contre le haut du bras de Marc. Marc réagit promptement vis-à-vis de ses voisines, calmant de sa main l’agression de Bessie et enserrant l’autre main entre les jambes d’Olympe ! De ma place je voyais cette attaque en règle et je sentis la cyprine couler dans mon short !
Corina vint s’asseoir à côté de moi, mais n’avait pas de vue sur le manège de l’autre côté de la table. Elle avait juste un sourire de jouissance sur les seins d’Olympe dont les tétons étaient dressés à l’extrême.
### Corina ###
Je râlai un instant de ne pas trouver de place à côté de Marc, bien entouré par la jeune pilote et les seins nus d’Olympe. La vue des seins d’Olympe me donna des crampes à mon bas-ventre. Sans le voir, je devinais que quelque chose se passa sous la table à l’abri de mon regard. Marc, semblait absent sans regarder ses voisines.
Cela me conforta qu’un jeu de mains se déroula discrètement, je ne pouvais que deviner et serrai mes jambes autour de ma main enfoncée entre mes jambes. Lora devina mon trouble et tout en me souriant mit sa main sur la mienne pour me calmer ?
Emily, elle comprit mon excitation et me murmura à l’oreille,
– Laisse Marc profiter ! Corina reste calme, lorsqu’on sera en mer, je trouverai bien un moment pour te calmer !
– Oui, d’accord répondis-je, je ne sais pas pourquoi mais il me semble que toutes, moi y compris, ont envie de baiser avec le capitaine. Il faudra établir un tour de rôle ! Est-ce les phéromones ?
NDA : Suite au prochain épisode !
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