### Iona ###

Je retrouvai mon beau patient une heure plus tard.

– Ça n’a pas été trop long ? lui demandais-je.

– Docteur, la vidéo la Grèce antique mérite une révision, je connais une femme qui pourrait revoir le commentaire des images !

– C’est une de tes groupies ?

– Oh non, elle ne fait plus partie de mes fans même si c’est un puits de science historique de la Grèce. Je vous donnerai ses coordonnées, elle travaille pour le Musée d’Athènes.

– Pourquoi « ne fait-elle plus partie de tes fans » ?

– Pour un problème d’hygiène ! Elle oublie l’usage du préservatif !

– Je comprends, tu es strict à ce niveau ?

– Oui ! je ne tiens pas à attraper les maladies des autres !

– Tu as raison !

– Donc si je te présente une partenaire pour contrôler ton orgasme, ce sera avec préservatif ?

– Iona, qu’as-tu en tête ?

– Je te proposerai Athéna, elle te fera jouir sous ma surveillance. Tu seras monitoré !

– Je parie qu’elle s’est proposée ?

– Oui et non, elle me soumet à un chantage !

– Oh la, explique-toi !

– Je vais être franche, Athéna est mon amante ! Et elle me reproche de la négliger depuis que tu es mon patient !

– Je vois ! Et pour la neutraliser tu m’offres en pâture !

– Elle est bi- comme moi et elle nous a surpris hier pendant nos ébats, elle veut que je partage ! Elle est extrêmement jalouse et a un tempérament de feu !

– Oui, j’ai cru comprendre ! Rappelle-moi de l’inviter en croisière en même temps que toi !

– Tu es sérieux ?

– Oui bien sûr, Toutes mes amies ont des tendances bi- même si certaines ont une préférence pour les rapports lesbiens, comme mes pilotes ! Je sélectionne mon équipage en fonction de leur tendance à aimer les relations avec les hommes et les femmes.

– Bon, revenons à nos moutons, le monitoring au repos est excellent, aucune anomalie ! On va te conduire au caisson pour mesurer ta capacité pulmonaire !

***

### Marc ###

Heureusement, je ne suis pas claustrophobe ! Pour notre confort, la porte du caisson était restée ouverte !

Les examens respiratoires au repos ne présentaient aucun souci. Iona me rejoignit dans le caisson pour m’annoncer qu’on allait procéder à la simulation dans le caisson. Elle renvoya tout le personnel alors que Athéna faisait son entrée avec un grand sourire !

– Athéna, dit Iona, qu’il soit bien clair, si je te dis de stopper, tu arrêtes immédiatement même si tu es sur le point de conclure !

– Ce ne sera pas simple ! répondit Athéna.

– Je m’en doute mais il faudra te tenir à cette règle

– Marc, déshabille-toi !

Les deux femmes me regardaient, au moment où je défis la blouse de l’hôpital, je vis Athéna qui regardait mon sexe. Je connaissais ce regard lubrique que beaucoup de femmes arborent en voyant mon mât de misaine.

– Je peux le toucher ? demanda-t-elle.

– Bien sûr ! répliqua Iona, il est tout à toi ! Tu dois amener Marc à l’excitation extrême. Moi, dit-elle je me contente de mesurer sa respiration et son cœur.

Ce n’était pas évident pour moi d’avoir une relation sexuelle avec un masque sur le nez et la bouche et des senseurs sur la poitrine. Mais la vue de Athéna nue, ses seins volumineux mais sans excès et son intimité rasée fraîchement me permirent d’oublier que j’étais en monitoring médical !

Athéna, se pencha sur ma bite, et suça mon gland. J’eus un coup d’œil vers la doctoresse pour constater qu’elle se masturbait en regardant l’action de Athéna. Cela me fit évidemment encore plus d’effet et je sentis ma sève monter depuis mes bourses vers mon bâton. Le résultat fut fulgurant, mon jet de sperme surprit l’infirmière qui ne put capter l’entièreté de l’éjaculation. Ma vue s’assombrit et j’entendais encore dans le lointain la voix de Iona :

– Marc ! Respire, gonfle tes poumons !

J’obéis et immédiatement le voile noir se dissipa. Je vis Athéna lécher le sperme répandu et repris la masturbation de ma mâture dans le but évident de s’empaler sur mon gréement. J’entendis qu’elle déchira le blister d’un préservatif. Ce furent quatre mains qui coiffèrent mon pénis. S’ensuivit un galop frénétique de Athéna m’offrant une vue grandiose sur ses seins ballottés au rythme de sa chevauchée. Elle démontra ainsi ses talents d’équitation !

Iona s’approcha et se mit sur ma bouche.

– Suce mon minou ! me dit-elle, t’en fais pas, respire à fond, il ne se passera rien !

Mes respirations devaient augmenter l’excitation car elle accéléra de sa main les caresses de son clitoris. J’étais prisonnier de leur désir, elles se donnaient le maximum de sensations. Je vis que Iona et Athéna se regardaient en souriant, complices de jouir de ma bouche et ma verge. La table d’examen grinça et trembla pendant un long moment. Finalement, j’entendis les cris des deux femmes subissant leur orgasme pendant que je fournissais une deuxième tournée de mon jus. J’eus à nouveau une perte de la notion de mon environnement pendant quelques instants mais sans doute mon réflexe de survie me força à respirer malgré le flux de cyprine qui inonda mon visage.

Je sentis Athéna se désengager de mon ventre.

– Purée ! cria-t-elle, en récupérant le condom, maintenant je comprends pourquoi les femmes sont folles de lui !

– Oui, répondit Iona en se levant, cet homme est une bête de sexe ! Mais les enregistrements cardiaques et pulmonaires sont bien clairs ! Marc, continue de respirer à fond encore pendant quelques minutes avant qu’on te débranche. Athéna, merci, rhabille-toi, demain on refera un test !

– Super ! dit-elle, elle vint quand même me donner un baiser sur la joue. J’espère que ça t’a plu Marc. Je te reverrai demain alors !

Après un petit laps de temps Iona se pencha sur ma bouche pour m’effleurer de ses lèvres.

– Marc, je crois que j’ai trouvé ! Reste calme, on va te remonter dans ta chambre. Je passerai cet après-midi.

Mais contrairement à la demande de Iona, Athéna ne se rhabilla pas ! Elle s’approcha de la cardiologue et saisit ses seins à pleines mains !

– Tu me dois encore des caresses dit-elle. Tu es une salope, tu as préféré coucher avec Marc et maintenant tu me donnes une petite compensation sous prétexte de monitorer le cœur de Marc ! Je veux boire ta chatte maintenant !

– Mais Marc…

– Oui ! et alors ? si cela peut le faire bander tant mieux !

Je crus qu’il était temps que je m’en mêle, j’ai toujours adoré le spectacle de deux lesbiennes qui se câlinent, d’autant plus qu’elles étaient agréables à regarder !

– Ne vous gênez pas pour moi ! leur dis-je. J’adore le sexe entre femmes !

NDA : Mais ça sera pour le prochain épisode !

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