Chapitre 80. Réflexions de Marc.
NDA : Mes excuses pour cette publication tardive, mais certains récits que je lis avec passion, m’ont détourné de mon écriture ! Les auteurs se reconnaîtront !
### Marc ###
Pendant que Panios descendait le 4x4 sur la route de berger escarpée, mes pensées vagabondaient vers Bessie. J’étais vraiment amoureux de cette femme ! Mais je trouvais que c’était plus que du sexe pour la procréation. Et Corina ? Cette petite rousse m’avait ensorcelé dès notre croisière durant laquelle je croyais très honnêtement qu’elle serait la femme de ma vie ! Oui, bien sûr, je la connais depuis mon entrée dans le club sportif, mais jamais je n’avais eu de désir pour cette femme avant qu’elle vienne à bord du Zéphyr. Elle était toujours la « number one » dans mes relations mais aujourd’hui je me rendais compte que tant qu’elle ne ferait pas le choix entre sa tendance lesbienne et hétéro, il m’était difficile de la garder en exclusivité. Que dire de Lora et Olympe ? Lora hésitait entre mon lit et celui de Corina !! Je la soupçonnais de tenir à moi parce que je voulais m’occuper du domaine de ses parents. Olympe je la classais dans le clan Emily/Bessie affichant ouvertement sa tendance lesbienne mais ne dédaignant pas des relations avec un homme !
Le comble ! Toutes me faisaient bander et toutes étaient bienvenues dans ma couche. Restait Niki qui avait un physique attirant (même enceinte) mais que j’excluais totalement d’une relation de sexe ! Elle était la femme de Panios, que je respectais en souvenir de mes parents !
Panios s’arrêta au bord de l’eau, j’étais toujours dans mes pensées et Panios croyant que j’admirais l’endroit, ne dit rien et me laissa dans ma bulle.
Je revoyais le corps de Corina lorsque nous fîmes l’amour la première fois sur le Zéphyr, nous étions tous les deux dans une période de solitude et ce premier rapport était vraiment révélateur.
Je restais au bord de l’eau m’éloignant de mon compagnon de ballade, inspectant les environs. Oui, le coin était favorable pour s’ancrer dans la baie ! Mais mon esprit revit les moments d’intenses émotions que j’avais vécus avec Corina !
On était tous les deux en manque et la première chose dont je me souviens ce fut ces seins qu’elle découvrit devant mes yeux. Aujourd’hui je sais que c’était naturel pour elle de bronzer les seins nus, mais à l’époque je la trouvais provocante et j’eus une réaction impressionnante dans mon maillot ! Néanmoins l’image des autres femmes avec lesquelles j’eus des rapports récents se superposait devant mes yeux : Sofia, Lora, Olympe, Iona, Athéna, Emily et surtout Bessie. Bessie qui voulait un enfant de moi et que je lui avais promis. L’image de son corps sensuel ne sortit pas de mes pensées au point que j’étais heureux de m’être éloigné de Panios car j’étais en érection. Ma verge serrée dans mes vêtements devenait douloureuse et aucun moyen de me calmer !
Finalement je revins vers la voiture
– Oui, Panios, je crois qu’un jour je reviendrai ici en bateau ! dis-je en pensant venir ici avec le Zéphyr.
– Bien, dit-il, Niki sera heureuse de faire un tour avec toi !
Nous revîmes vers la maison, l’escalade était raide mais le 4x4 remonta sans problème.
– Alors ? demanda Bessie, c’est loin la mer ?
– Non mais la pente est vraiment raide ! répondis-je.
Bessie se rapprochait de moi et à l’abri des regards caressa mon short.
– Marc ! tu es dressé comme un coq ! Que se passe-t-il ?
– J’ai trop de visions ! Depuis mes examens médicaux, je ne parviens pas à me calmer ! Ce soir, je vous veux toutes les deux dans mon lit !
– On va te soigner ! répondit-elle.
– Pendant votre absence on a rassuré Niki, elle est toujours inquiète pensant que Panios ne l’aime plus dans son état et toi tu l’évites ! me dit Emily.
– Non, il n’en est pas question ! répondis-je. Niki est charmante et elle m’attire, mais pour moi c’est une chasse gardée et durant vos jeux, il faudra lui faire comprendre que je ne la toucherai jamais. Enseignez-lui comment attirer Panios en lui affichant son désir. Son état lui permet encore pas mal de possibilités. Panios tombera bien dans son piège ! Je vais mettre un peu d’ordre dans les papiers de mes parents. Emily, si tu veux bien demain on fera un survol de cet endroit avant de retourner sur Kalamata.
***
Le reste de la journée fut calme. J’avais noté que la chambre de mes parents avait un coffre caché derrière une tapisserie. J’espérais que le code d’accès était bien celui que ma mère m’avait communiqué pour l’ensemble des coffres familiaux mais qui était différent de ceux de la Fondation. Je n’eus aucun problème pour l’ouvrir, je ne m’attendais pas à y trouver de grands secrets, néanmoins le coffre de dimensions raisonnables contenait plusieurs boîtes de photos et quelques enveloppes kraft de dimension A4 fermées mais très remplies.
Les photos ne m’étaient pas inconnues sauf une série de Polaroid de maman photographié par papa et qui montraient maman dans diverses poses aguichantes. Je vis pour la première fois des clichés où maman montrait ses seins nus ! D’après l’arrière-plan elles étaient prises dans les environs de la maison. Vu que c’étaient des Polaroids je pouvais déduire que c’étaient des clichés uniques.
Je découvris ainsi une partie de la vie secrète de mes parents ! Je savais que mes parents s’aimaient passionnément mais je n’en avais pas d’autres preuves que celles-ci. Maman avait un physique très érotique et même plus, sa vue ne me laissait pas indifférent.
Ce fut Bessie qui vint me déranger et qui eut le temps d’apercevoir quelques clichés avant que je ne ferme la boîte.
– Marc, c’était ta maman ?
– Oui, dis-je encore troublé.
– Sans vouloir te froisser mais tu es en érection ! Je croyais que tu voyais des images sexy ?
– Oui, maman avait un corps superbe, mais c’est la première fois que je la vois nue !!
– Et ça te fait bander ?
– Oui, un peu mais déjà depuis ce matin, je suis dans une bulle où je vois les femmes qui m’entourent et je me pose beaucoup de questions !
– Je fais partie de ces rêves ?
– Oui, Bessie, viens t’asseoir sur mes genoux !
– Oh lala, Marc je sens ton mat contre mes fesses ! Je ne tiendrai pas longtemps ! Montre-moi les photos qui te font bander !
– Bessie, pour tes yeux seulement ! Tu n’en parles à personne !
– Juré Marc ! sur la tête de notre enfant à venir !
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