Chapitre 4 - partie 2
Au petit matin, l’inspecteur Dhakir, toqua à la porte ouverte et entra. Il vit traces de sang mêlé au désordre de la bagarre. 5 hommes étaient ficelés. Tous soigné de manière grossière.
— Faith ?
— Ah James ! Je suis dans ma chambre, attend moi je m’habille.
— Ok.
Un petit être noirâtre sortis de la chambre et salua le vieil homme puis sorti de l’appartement.
— B’jourrrr.
— Euhhh… Tu laisses des gens t’observer quand tu es nue ?
— Haha sois pas parano… il m’aidait à mettre un compresse dans mes côtes. De plus je suis très loin du type de femme de Roger.
— Mouaiii, je les prréfèrrre avvvec des mammmelles plus grrrosse et des corrrnes… oui des corrnes c’est sexyyy. Annonça l’être concerné en passant la tête par la porte une cigarette à la main.
Faith sortis de sa chambre très amusée, alors que le chupacabra sortait sur la terrasse.
— Tu oublie le pelage blanc, puis elle chuchota en s’avançant vers son ami. C’est un peu les vampires du règne animal. Et les chèvres pour eux, c’est un peu de belles des pin-up. Bon comment va ta femme ?
— Bien, même si ce matin je me suis fait traiter d’« arriéré ».
— Qu’est-ce que tu as fait ?
— Moi, rien. C’est elle, qui m’embête à essayer de m’expliquer ces machins technologique avec son application Fantominus… je crois, je sais plus son nom.
— Ne t’inquiète pas ces choses là me dépasse moi aussi, le rassura-t-elle compatissante.
— Faut croire qu’on vient d’une autre époque. Bon qui sont ces types qui ont été assez fous pour t’attaquer chez toi ? Changea-t-il de sujet un peu gêné.
— Tu vois leurs tatouages, dit-elle en montrant du doigt la gorge de l’un d’eux, ce sont des hommes d’ El mirano. Je ne sais pas trop en quoi ils pourraient m’en vouloir. Ma dernière affaire avec eux datent il y a au moins dix ans, je dirais.
— Tu en es sûr ? demanda-t-il, mais quand il vis le regard assuré de son amie et se ravisa en continuant. C’était quoi cette affaire ?
— Un de leur, un plutôt haut gradé, est mort par accident alors que j'essayais de le coffrer. J’ai toujours soupçonné qu’il m’accuserait de l’avoir tué, et de l’avoir couvert en accident. Mais jusqu’à maintenant il n’avait jamais osé me le reprocher. Je pensais que depuis ils avaient oublié. Je peux être connu dans ce milieu mais pas toujours de la bonne manière. Ça dépends de qui en parles.
— Tu ferais mieux de dissiper ce malentendu alors.
— T’inquiète pas, j’y allais justement.
— Tu veux que je t’accompagne, ça m’a l’air dangereux ? Si ça se trouve ils ont juste été engagé pour te tuer.
— Peut-être. On verra bien. Ne t’inquiète pas je m’en occupe. En faites, t’en as mis du temps pour venir.
— J’ai été au moins retenu 15 min par ton proprio, Mr Padilla. Il n’arrêtait de se plaindre comme quoi ces oiseaux avaient été traumatisés par cet incident. Et qu’ils auraient pu être blessé.
— Traumatisé, tu parles… Ils savent se défendre. Crachat d’acide irritant. Regarde le résultat, dit-elle en montrant l’intrus attaché avec sur le visage des plaques rouge vif.
— Outch, ça doit faire mal.
— Et encore ça c’est calmé. Il y a 30 minutes, il y avait encore des cloques.
— Bon tu es sûr que tu ne veux pas que je t’accompagne ?
— Non. Ce sera juste un échange de courtoisie. Mais si tu veux, je te laisse t’occuper de ce bazar.
Il grommela un d’accord avant de dire comme une prière
— Fait attention.
— Moi toujours… Sourit la jeune peu réceptive de l’inquiétude de son ami.
— Sauf quand on t’attaque par surprise. Soupira-t-il pas plus rassurer.
La jeune détective chercha un paquet dans son bureau avant d’attraper son long manteau beige. Coquettement, elle réajusta ses cheveux noirs coupé devant la glace de l’entré, et sortit. Le vieil inspecteur passa la main dans ses cheveux gris planqué puis dans sa barbe taillé de près. Et soupira, cette fille lui fera toujours des cheveux blancs.
*hachkos = enfants naissant de l'union d'un Basajaun et d'une humaine. Un Basajaun étant sorte d'homme corpulent, poilu et sauvage. Craint pour sa force mais aussi respecté car ils sont souvent des protecteurs de la nature.
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