Après les bombardements...

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Soudain, les explosions qui formaient un bruit un bruit de fond auquel nous nous étions habitué s'arrètent. Silence dans le bunker. Nous attendons quelques secondes, puis'tout'le monde se rua vers l'exterieur. Dehors, les avions étaient partis come ils sont venus. L'attaque est enfin terminé. Une odeur de souffre chatouille nos narines. Quand Sora se rend enfin compte que c'est terminé, il court aussi vite qu'il peut. Surprise, je le suis pour savoir la raison de cette soudaine course. Mais je m'en souviens avant que nous arrivons : ses parents. Ils sont encore au collège à l'heure qu'il est. Normalement, ils vont bien.

En fait, pas besoin d'arriver au collège. Nous'rencontrons M et Mme.Taiyo sur le chemin. Eux-même se dirigeaient vers la mairie. Quelle coïncidence.

Le temps que Sora fasse ses retrouvailles avec ses parents, je remarque que nous somme sur ma rue, juste en face de chez moi. Comment je l'ai reconnue ? Je ne sais même pas. La rue est méconnaissable. Tout est détruit. Mon ancienne demeure est en miette elle aussi. Je me souviens de la porte d'entrée rouge bordeau orné de rose blanche sur un mur d'un blanc jauné. À la place, rien que des débrits encore fumant. Plus rien.

Sora m'invita à le suivre avec ses parents pour aller à l'universtié. Le bunker est insonorisé là-bas pour êviter les cris et les pleurs des plus jeunes. Je m'imagine déjà toute la cohue qu'il va y avoir quand ils vont tous sortir en trombe. Mais je les comprends. Je ferai pareil à leur place.

Arrivé dans l'habituelle cour de l'université qui est dévastée par des miliers de restes du batiment, nous nous dirigeons vers l'ouverture du bunker. Sora et son père l'ouvrent et regardent. Le silence est complet à l'interieur. "C'est fini !" crie Sora. Et là, c'est le drame...

*

Après les secousses, le tout retrouve le calme. Nous'avons évasuer tous le monde et le bunker est enfin vidé de ses envahisseur. Nous retrouvons d'ailleurs père et mère qui nous ont rejoints avec les autres personnes qui se réfugiaient avec nous qui font actuellement leut retrouvaille. Tout le monde est avec ses proches ou pleure ceux qui sont partis. En tous cas, nous sommes heureux d'avoir éviter le pire.

(re) Boom !!!

Une autre explosion ? Elle vient de pas loins en plus. Mais pourquoi ? C'est censé être fini normalement. À moins que...

Je me retourne et découvre le nouveau spéctacle. Des chars, des tanks et d'autres engeins de guerre encore accompagnés de miliers de soldats. Leur offenssives n'était pas terminé. Ils avaient prévu qu'on sortent, insoucients, quand les bombardement se serait stopper et ils ont envoyé des renforts sur terre pour liquider les survivants. Par réflèxe, je cris "Fuyez !" mais c déjà trop tard.

Je prends la main de Sora et fuis au plus vite que je peux. Sora tente de me retenir mais je suis déjà en plein élan.

"Attends, Shojo, attends." Dit-il". Nos parents !"

Je lance un dernier regard derrière moi et vois mère au sol, inerte, père qui survie comme il peut en criant "Fuyez !" et les Taiyo sont hors de mon champs de vision mais surement dêjà parti eux aussi. "Trop tard." constate-je. "C'est trop tard Sora. Fuyons !"

On tire sur nous ! Mais je ne peux pas m'arrèter. Je continue. Aïe ! Je suis touché à la cuisse. Je lâche sora et fuis en boitant. Sora s'est abriter derrière une voiture et m'appelle à le rejoindre. Je regarde les soldats s'approcher, mais je lui fait confiance at je le rejoint.

"Pourquoi on s'arrète ? On doit fuir !

  • Tu n'es pas en état de courir, Shojo. Et puis, à quoi sert de fuir, c'est déjà fini. Viens et assis toi.
  • Mais pourquoi ? dis-je en m'assayant.
  • Nous devions nous marier, non ? Soit, faison le maintenant.
  • Hein ?!
  • Oui, marrions-nous. Comme ça nous serons unis pour toujours, même là-haut.
  • Ok.
  • Shojo Tsuki, veux-tu de me prendre pour époux ?
  • Euh, je... Aïe, ma cuisse.
  • Vite !
  • Oui, je le veux.
  • À ton tour.
  • Sora Taiyo, veux-tu me prendre pour épouse ?
  • Oui je le veux.
  • Ainsi, aïe, je nous déclare mari et femme...
  • ...Dans les meilleurs moments comme dans les pires.
  • C'est bien le cas.
  • Maintenant approche toi.
  • ?
  • Pour le baiser.
  • Ah oui..."

Difficilement à cause de ma cuisse, je m'approche de mon mari. Je ne pense plus à la douleur, ni même aux balles qui nous frolent depuis un moment. Je ne pense plus à rien. Sauf à mon mari. Oui, je pense juste à lui, mon beau, gentil et tendre mari. Et, pleine d'amour, je lui fais le plus beau baiser de ma vie ...

Attention, une grenade !!!…

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