Chapitre 3.
Pendant toute la journée, je fus troublée par l’odeur de cette petite culotte. Durant la pause de midi, je remontai à mon étage. Je me déshabillais et me mis nue sur ma couche. J’avais le temps ! Ma pause est de trois heures. D’habitude je sors, me promène dans les environs de l’hôtel. Les Champs Élysées ne sont pas loin ! Aujourd’hui je n’avais pas envie d’aller rêver devant les boutiques de luxe.
Lætitia ! Tu ne seras jamais dans les bras d’un homme qui t’aimera. Le client Pierre lui, il couve ses femmes d’un amour immense ! Je l’ai vu dans ses yeux ! Et puis regarde ces femmes, elles sont riches, des bagues avec des diamants aux doigts. Elles doivent lui faire l’amour à tour de rôle ! J’ai l’air conne à être réduit à sucer la bite de mon chef. Je dois élargir mon horizon ! Comment fait la femme chargée d’inspecter les chambres pour vérifier le travail des servantes ? Elle n’est pas jolie ? Oui, elle a des gros seins ! Moi, j’ai à peine deux renflements !
J’étais plongée dans mes pensées et ne perçus pas immédiatement les coups frappés à la porte de ma chambrette. Je pris le drap de lit pour me couvrir. En ouvrant partiellement la porte, je vis le chef d’étage.
Il me sembla ennuyé de me déranger et encore plus lorsqu’il vit que j’étais nue sous le drap.
– Mademoiselle Lætitia, je suis désolé de vous importuner durant votre temps de repos, mais j’ai une urgence dans la suite 37 et je ne trouve pas votre chef ni l’inspectrice.
Les clients de cette suite ont eu un problème de santé et il faut changer la literie !
– Je viens Monsieur si vous me donnez quelques secondes !
Je mis un top et un short et mes sandales et je le suivis. Effectivement il fallait changer tous les draps jusqu’à la protection du matelas.
– Il faut aller dans la grande réserve Monsieur, mais mon badge ne fonctionne pas pour ce local !
– Pas de problème, je sais ouvrir !
Le local était dans la partie technique de l’étage, je le suivis pour choisir les draps appropriés. Lorsqu’il ouvrit la porte, j’entendis un cri de femme et nous découvrîmes l’inspectrice seins nus qui serrait entre ses seins la longue verge de mon chef !
Il s’ensuivit une série de cris et tentatives d’explications. Mais le jeune chef, prit une voix autoritaire et les pria de sortir et d’aller au service du personnel.
J’eus du mal à garder mon sérieux, car la situation était vraiment cocasse. Je pris le linge de lit nécessaire et le jeune chef m’aida à porter les draps à la suite. Je pris aussi un chariot de linge pour éliminer les draps souillés. Le jeune chef ne se contenta pas de me regarder mais m’aida pour refaire le lit, puis me laissa pour rejoindre les deux coupables qui devaient attendre au service du personnel.
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