J’avais presque terminé mon travail lorsque la soubrette titulaire de la suite 37 vint dans la chambre.

Elle était déjà au courant de l’affaire de la remise ! Car l’incident avait fait grand bruit ! Je retournai dans ma chambre pour remettre mon uniforme lorsque le chef d’étage revint pour me remercier.

– Dorénavant c’est moi qui vous donnerai vos instructions, le chef et l’inspectrice sont licenciés !

J’étais un peu gênée car ma blouse de mon uniforme était encore ouverte et il avait une vue sur mon torse. Je boutonnai hâtivement mais je crus voir un petit sourire sur le visage de mon nouveau patron.

Puis mon pager résonnait.

– C’est la suite 35 Monsieur ! Je dois y aller.

– Je vous accompagne, car c’est un client très important, et je ne les ai pas encore parlés.

À mon entrée je vis les deux femmes à peine vêtues d’une nuisette transparente. Je présentai mon nouveau chef qui leur demanda si tout était en ordre. Il était troublé, son visage prit une couleur rouge et je vis une bosse dans son pantalon. Heureusement le mari se montra et il fut content de le saluer et de quitter la pièce.

Les deux femmes m’attirèrent dans la salle de bains prétextant qu’il y avait un problème avec la douche.

Elles prétendaient que l’eau ne coulait pas normalement. Je répondis que je pouvais appeler le plombier de l’hôtel. Mais Amina voulait que je me déshabille pour essayer la douche italienne. Je crus qu’elle blaguait mais elle était très sérieuse. À contrecœur, je fis ce qu’elle demanda. Mais à peine étais-je nue, qu’elles me coincèrent contre le mur pour me caresser les tétons et entre mes cuisses !

Jamais on ne m’avait agressé ainsi ! Même le chef vicieux ne m’avait jamais touchée. Il voulait juste que je le suce ! Leurs caresses étaient divines ! Ninah pinça mes tétons qui durcirent et se pointèrent loin en dehors de mes petits seins. Elle me demanda de faire pareil à ses seins ! Amina, elle, s’agenouilla et mit sa langue dans ma fente ! J’allais crier mon désir mais Ninah bloqua ma bouche avec sa main.

– Chut ! Profite de ton plaisir ! Laisse-toi faire !

Je ne pus résister, je sentis le jus couler entre mes jambes ! Aussitôt aspiré par la bouche d’Amina ! Tout mon corps vibra comme jamais, bien plus intense que lorsque je me caressais en solitaire...

Je serai tombée si Ninah ne m’eut tenue dans ses bras.

Amina se redressa et me donna un long baiser sur la bouche en introduisant sa langue profondément, je sus ainsi le goût de mon jus et je trouvai cela fort agréable !