Chapitre 1 - Alice Demolay

19 minutes de lecture

Alice Demolay était une jeune femme exceptionnelle. À tout juste 18 ans, elle était déjà remarquablement intelligente, ambitieuse et dotée d’une forte personnalité. Elle avait choisi de suivre des études d’archéologie à l’Université de Strasbourg loin de sa famille qui se trouvait à Rouen. Cette décision avait étonné beaucoup de personnes de son entourage et de ses amis. Mais pour elle cela avait été depuis toujours une évidence depuis qu’elle avait 12 ans. Elle voulait explorer les vestiges du passé, découvrir des histoires enfouies depuis longtemps et faire revivre les civilisations disparues. Elle était persuadée que son parcours universitaire lui permettrait de réaliser son rêve.

Alice avait un QI très élevé et une intelligence vive qui lui permettaient de comprendre les concepts les plus complexes en un rien de temps. Elle avait également une curiosité insatiable qui la poussait à étudier toutes les facettes de l’archéologie, des fouilles sur le terrain aux expériences de laboratoire. Elle était très appréciée par ses professeurs de lycée qui voyaient en elle une future grande scientifique. Cependant, Alice ne se contentait pas seulement de l'apprentissage académique traditionnel. Sa passion était telle qu’elle étudiait aussi les théories non conventionnelles et les mystères de l'histoire ancienne. Depuis ses 12 ans, elle avait passé des heures à lire des livres et à regarder des documentaires sur des sites archéologiques controversés, tels que Gizeh, la Vallée des Rois ou encore les ruines de Sumer.

Physiquement, Alice était également une beauté. Elle mesurait 1m65 pour 58 kilos, avec des courbes parfaitement dessinées et une grâce naturelle qui la faisaient ressortir de la foule. Ses cheveux châtain foncé étaient souvent teints de bleu électrique, une touche d’excentricité qui reflétait sa personnalité atypique. Ses yeux vairons perçants semblaient capables de lire dans les âmes des gens et de dévoiler leurs secrets les plus profonds. Alice portait un haut noir dos nu, une pièce élégante et audacieuse. Fabriqué à partir d’un tissu doux et confortable, ce haut met en valeur le dos avec un décolleté plongeant et un design de lacets entrecroisés. Le devant du haut est coupé dans un style simple et raffiné, avec des bretelles fines pour accentuer les épaules et mettre en valeur le décolleté. Le tissu noir s’adapte parfaitement aux courbes du corps d’Alice, créant une silhouette flatteuse. La conception du dos nu ajoute un zeste de sensualité et de féminité à la tenue, sans être trop révélatrice. Le design de lacets entrecroisés sur le dos donne une touche de sophistication et ajoute une texture intéressante à la pièce. Le legging que revêt Alice est de couleur noire, avec des motifs floraux fins de nuance gris et blanc, créant un contraste subtil. Le tissu est stretch, moulant bien les jambes d’Alice et soulignant sa silhouette. Il est de longueur normale, s’arrêtant juste en dessous des chevilles. Les chaussures qu’elle porte avec le legging sont des bottines noires, légèrement compensées avec une semelle crantée. Elles ont un bout arrondi et sont décorées de boucles argentées sur le côté extérieur. Les chaussures sont en similicuir et ont une fermeture éclair sur le côté intérieur pour faciliter l’enfilage. L’ensemble leggings et chaussures donne un aspect à la fois rock, élégant et raffiné à Alice, lui permettant de se sentir à l’aise tout en ayant une tenue appropriée pour l’université. Alice endosse des accessoires roots qui renforcent son style bohème. Elle a l’habitude de porter une besace en toile de jute beige avec des motifs ethniques en noir et blanc, qu’elle a achetée lors d’un marché artisanal dans le sud de la France. Sur la besace, il y a des breloques en bois, en perles, et de petites pierres multicolores qui s’entrechoquent lorsque le sac est en mouvement. Elle porte aussi des bracelets en tissu de couleurs vives, avec des perles en bois ou des breloques. Elle a un collier en cuir avec un pendentif en lapis-lazuli et en or représentant l’œil d’Horus, qui lui a été offert par sa grand-mère pendant son voyage en Égypte. Elle a également des boucles d’oreilles en argent et en obsidienne, qu’elle a achetées lors d’un marché aux puces.

Mais Alice avait également quelque chose de plus mystique en elle. Elle était la réincarnation de la déesse égyptienne Isis, une révélation qu’elle avait apprise de sa grand-mère avant sa mort. Bien que cela puisse apparaître singulier pour certains, Alice avait appris à accepter sa destinée et à embrasser son héritage. Elle croyait en la magie et avait souvent des visions et des rêves étranges qui semblaient avoir un sens caché.

Alice avait seulement 12 ans quand sa grand-mère maternelle, qui était une femme très spirituelle et mystique, lui a divulgué un secret de famille que personne d’autre ne connaissait. Elle lui a expliqué que leur famille avait une longue histoire de connexion avec la déesse Isis, l’une des plus grandes divinités de l’ancienne Égypte. Elle a raconté à Alice que leur ancêtre, un prêtre égyptien nommé Ptahhotep, avait vécu il y a des milliers d’années et avait été désigné par la déesse Isis pour être son émissaire sur Terre. Depuis lors, leur famille avait été liée à Isis, et certains de ses membres avaient été choisis pour accomplir des missions spéciales en son nom. Au début, Alice avait trouvé cela difficile à croire, mais sa grand-mère avait montré des preuves tangibles, notamment des objets anciens, des documents familiaux et certains en papyrus dont un avec le sceau représentant Isis, qui prouvaient que leur lien avec la déesse était réel. Elle avait également expliqué à Alice que, comme membre de la famille, elle avait également la capacité de communiquer avec Isis et de bénéficier de sa protection et de sa guidance. Cette révélation avait bouleversé Alice, mais elle avait aussi été fascinée par cette histoire et avait commencé à s’intéresser davantage à l’histoire ancienne de l’Égypte. Elle avait commencé à lire des livres sur la mythologie égyptienne et à apprendre la langue hiéroglyphique.

Sa grand-mère, qui était une guérisseuse traditionnelle, lui avait toujours parlé de l'importance de la spiritualité et de l'intuition. Elle avait expliqué que leur famille avait hérité de capacités spéciales transmises de génération en génération, mais que ce savoir s'était perdu au fil du temps, laissant l'héritage familial passer pour un simple mythe. Cependant, elle avait senti que Alice possédait ces dons et lui avait promis de l'aider à les découvrir.

Alice avait donc commencé à explorer ces aspects plus spirituels de l'archéologie, s'intéressant aux rituels et aux croyances des anciennes civilisations. Elle avait commencé à pratiquer la méditation et la visualisation, essayant de se connecter à une sagesse ancienne et à une connaissance intuitive. Sa grand-mère avait également souligné l'importance de la patience et de l'humilité dans l'apprentissage de ces dons. Elle avait expliqué à Alice que ce n'était pas quelque chose qui pouvait être maîtrisé du jour au lendemain, mais que c'était un long voyage de découverte de soi conscient et inconscient.

Au début, Alice avait eu du mal à croire qu’elle avait des pouvoirs magiques, mais au fil des années, elle avait commencé à les ressentir. Elle avait souvent eu des intuitions et des rêves étranges, et parfois elle réussissait à guérir des blessures ou à calmer des animaux en détresse simplement en leur parlant ou en les touchant.

Maintenant, à 18 ans, Alice était consciente de ses capacités héritées de ses ancêtres par la déesse Isis, mais elle avait encore beaucoup à apprendre. Elle espérait secrètement qu’un jour elle pourrait développer pleinement ses pouvoirs et se connecter encore plus profondément à la déesse.

Alice était une personne droit dans ses bottes avec une forte personnalité. Dans son lycée, elle était connue pour son indépendance et son brin de folie qui la rendait fascinante et imprévisible. Elle n'avait pas peur de dire ce qu'elle pensait et ne se laissait jamais marcher sur les pieds même si parfois cela lui avait valu quelques problèmes. Sa détermination était inspirante pour tous ceux qui l'entouraient. En plus de sa personnalité forte, Alice était également très courageuse. Elle n'hésitait pas à prendre des risques pour atteindre ses objectifs, même si cela signifiait sortir de sa zone de confort. Elle ne se laissait pas décourager par les obstacles et faisait preuve d'une grande persévérance dans la réalisation de ses projets.

À la rentrée de sa première année de licence en archéologie à l’Université de Strasbourg, Alice était remplie d’une énergie positive et d’une curiosité insatiable. Elle était convaincue d’avoir trouvé sa voie et était excitée à l’idée de découvrir de nouveaux sujets et de rencontrer de nouvelles personnes. Même si elle n’avait pas encore fait d’amis, elle ne se sentait pas seule ou isolée. Elle était déterminée à s’immerger dans le monde universitaire et à apprendre autant que possible. Sa tête était emplie de rêves et d’aspirations pour son avenir, et elle était animée par la passion de suivre ses intérêts et de réaliser ses ambitions. Elle était remplie d’une énergie créative et elle avait hâte de mettre son cœur et son âme dans ses études. Même si elle ne connaissait personne, elle avait confiance en sa capacité à se connecter avec les gens et à établir des amitiés sincères. Elle était prête à saisir toutes les opportunités qui se présenteraient à elle et à embrasser cette nouvelle étape de sa vie avec optimisme et détermination. Elle était parée à tout pour réussir et pour déterrer les secrets enfouis dans les strates de l’histoire.

Alice était nerveuse mais excitée en arrivant à l’université pour sa première journée de cours. Elle avait hâte de découvrir les autres étudiants et de rencontrer ses professeurs, mais elle ne savait pas à quoi s’attendre. Elle avait étudié l’archéologie égyptienne pendant des années en autodidacte, mais elle n’avait jamais été dans un environnement universitaire.

Elle a d’abord été impressionnée par la taille du campus. Alice découvre le campus de l’université pour la première fois, ses yeux émerveillés balayent l’immense étendue verte qui s’étend devant elle. Elle peut voir des bâtiments modernes imposants, aux lignes épurées et des arbres majestueux qui se dressent fièrement dans le ciel bleu et des cours intérieures verdoyantes avec des fontaines qui jaillissaient au milieu des allées pavées. Les allées pavées serpentent entre les bâtiments, et des étudiants pressés passent en courant, des sacs de cours sur l’épaule. Alice avait l’impression de marcher dans une ville en miniature.

Le campus est dynamique et vibrant, avec de jeunes gens de son âge qui se réunissent dans des groupes pour discuter ou travailler. Alice peut voir des bancs de pierre éparpillés çà et là, offrant un endroit confortable pour s’asseoir et profiter du soleil.

Au loin, elle peut entendre les cloches de l’église voisine qui sonnent l’heure. Des oiseaux gazouillent joyeusement dans les arbres, ajoutant une touche de sérénité à l’atmosphère animée. Alice se sent excitée de commencer cette nouvelle étape de sa vie. Elle a hâte de découvrir tous les coins et recoins de ce campus incroyable, de rencontrer de nouvelles personnes et d’apprendre des choses passionnantes.

L’université de Strasbourg est un site de savoir et de découverte qui attire de jeunes étudiants de toutes les régions de France et du monde entier. C’est un lieu où l’on peut entendre différentes langues et où les cultures se rencontrent. La Faculté des sciences historiques, où étudie Alice, est un bâtiment imposant avec des salles de classe spacieuses et lumineuses. Les murs sont ornés de fresques et de peintures représentant des personnages historiques célèbres. Les étudiants vont et viennent dans les couloirs, discutant des derniers cours ou travaillant sur des projets en groupe. Il y a une énergie créative et intellectuelle palpable dans l’air. Les professeurs sont des experts dans leur domaine et sont passionnés par leur sujet. Ils inspirent leurs élèves à en apprendre davantage et à explorer de nouvelles idées. Alice se sent chanceuse de pouvoir étudier ici et de faire partie de cette communauté intellectuelle dynamique.

Alice arriva devant la salle de cours du Professeur Laurent et remarqua immédiatement la plaque dorée accrochée sur la porte, indiquant le nom du professeur et le numéro de la salle. Elle prit une grande inspiration avant d'ouvrir la porte, espérant que le professeur serait présent. À sa grande satisfaction, la salle était déjà remplie de quelques étudiants qui discutaient entre eux. Elle reconnut certains visages dans la foule, des camarades qu'elle avait rencontrés lors des journées d'orientation et des événements sociaux organisés par l'université. Cette reconnaissance lui permit de se sentir plus à l'aise, sachant qu'elle connaissait déjà quelques personnes. Alice jeta rapidement un coup d'œil autour de la salle. Le Professeur Laurent n’était pas encore arrivé. Par contre, elle remarqua les tableaux suspendus au mur et les étagères remplies de livres et d'artefacts. Elle fut immédiatement intriguée par les artefacts, sachant qu'ils devaient avoir une grande importance pour le professeur Laurent. Elle se promit de lui demander plus tard ce qu'ils représentaient et de quelle période de l'histoire ils étaient issus. Alice prit place à côté de quelques étudiants avec lesquels elle avait déjà sympathisé lors des événements sociaux. Elle prit son cahier et son stylo et se prépara à prendre des notes.

Elle n’eut pas à attendre longtemps avant que le Professeur Laurent n’entre dans la salle. Le professeur Laurent est un homme d’un certain âge, probablement dans la cinquantaine, mais son visage est toujours vif et alerte. Il a des cheveux bruns coupés courts et des yeux bleus perçants qui semblent pouvoir lire dans l’âme des gens. Il a une carrure imposante et se tient toujours très droit, montrant une grande prestance. Il porte un costume impeccable, une cravate en soie assortie et une chemise blanche. Ses chaussures sont en cuir noir et brillant, soigneusement cirées. Il est clair que le professeur Laurent attache une grande importance à son apparence, mais il ne semble pas vain pour autant. En effet, il dégage une impression de sérénité et de respectabilité qui inspire confiance. Les étudiants se levèrent pour le saluer et s’assirent aussitôt après.

Alice fut enchantée d’entendre la voix chaleureuse du Professeur Laurent, qui s’adressait à la classe avec passion et enthousiasme. Le professeur commençait à expliquer les objectifs et les principes de l’archéologie. Le Professeur Laurent entame son cours en précisant les missions de l’archéologie. Il dit que l’archéologie est une discipline scientifique qui se concentre sur l’étude des vestiges du passé. Il ajoute que l’objectif principal de celui-ci est de comprendre comment les anciennes civilisations ont vécu, comment elles ont interagi entre elles, comment elles ont évolué et comment elles ont influencé notre monde moderne. Le professeur explique également que l’archéologie est une science interdisciplinaire qui utilise des méthodes et des techniques de la géologie, de la botanique, de la zoologie, de la physique et de la chimie, entre autres. Il souligne que les archéologues sont des scientifiques qui ont la responsabilité de protéger, de préserver et d’étudier les sites archéologiques et les vestiges du passé. Le professeur Laurent parle ensuite des principes de l’archéologie, en soulignant l’importance de l’observation, de la documentation, de la datation et de l’analyse des vestiges archéologiques. Il insiste sur le fait que l’archéologie doit être menée de manière éthique et responsable, en respectant les cultures et les communautés locales.

Le discours du professeur Laurent fascine Alice qui écoute consciencieusement son cours. Elle réalise que l’archéologie est une discipline complexe et passionnante, qui exige beaucoup de rigueur et de méthode. Elle est déterminée à réussir ses études et à devenir une archéologue compétente et respectée. Alice a été captivée par sa voix douce et autoritaire, et elle a écouté avec attention. Le professeur a ensuite distribué les livres de cours et les syllabus, et a donné les instructions pour les devoirs à venir.

Après la fin du cours, Alice a bavardé avec quelques-uns de ses camarades de classe. Elle a découvert que certains étaient aussi passionnés qu’elle par l’archéologie, tandis que d’autres étaient plus branchés par l’histoire ou la culture. Elle a apprécié échanger des idées avec eux et s'est réjouie de constater que l’ambiance était conviviale et ouverte.

Alice s’est approchée d’un petit groupe d’étudiants qui avait une discussion animée. Elle a salué tout le monde et a engagé la conversation.

« Salut, ça va ? Vous avez trouvé le cours intéressant ? » a-t-elle demandé.

« Salut, Alice, ouais c’était vraiment fascinant, le Professeur Laurent a une telle passion pour l’histoire de l’Égypte antique, ça se ressent dans son enseignement, » a répondu l’un des étudiants.

« Je suis d’accord, j’ai déjà hâte de lire les livres qu’il nous a recommandés, » a renchéri un autre.

« Et toi, Alice, qu’est-ce qui t’a amené à t’intéresser à l’archéologie ? » a demandé une fille.

Alice a souri et a répondu : « Eh bien, j’ai grandi en écoutant les récits de ma grand-mère qui était une guérisseuse dans notre famille. Elle me racontait souvent des histoires sur l’Égypte ancienne et son peuple. J’ai été fascinée par l’histoire, la culture et la spiritualité de cette civilisation. »

« C’est cool, ça me rappelle quand j’étais enfant, j’ai regardé le film “Indiana Jones et le temple maudit” et j’ai été captivé par les aventures et les explorations archéologiques, » a raconté un étudiant avec un sourire.

Ils ont continué à discuter de leur passion pour l’archéologie et de leur intérêt pour l’Égypte ancienne. Alice a appris peu de choses nouvelles mais été heureuse de voir que ses camarades partageaient sa passion.

En sortant de la salle de cours, Alice a réalisé qu’elle avait encore beaucoup à apprendre et à découvrir. Mais elle était impatiente de relever les défis et de réussir à l’université. Sa première journée démarrée sur les chapeaux de roues, et elle savait que les prochaines années seraient remplies d’aventures et de découvertes.

Après sa première journée de cours, Alice a décidé de s’adresser au Professeur Laurent, qui était l’un des professeurs d’archéologie les plus réputés de l’université. Elle avait entendu parler de ses recherches sur l’Égypte ancienne et elle voulait en savoir plus.

Alice a attendu la fin du cours du Professeur Laurent, et lorsque celui-ci est sorti de la salle de classe, elle l’a abordé timidement. « Excusez-moi, Professeur Laurent, pouvez-vous m’accorder quelques minutes de votre temps ? » a-t-elle demandé.

Il a une voix grave et posée qui exprime une grande autorité et une profonde connaissance du sujet. Il parle avec passion de l’archéologie et de son importance pour comprendre le passé et construire le futur. Son regard est intense et attentif, montrant qu’il est à l’écoute de chaque étudiant et prêt à répondre à toutes leurs questions. Il regarde Alice avec curiosité. « Bien sûr, mademoiselle Demolay, comment puis-je vous être utile ? » a-t-il répondu.

Alice a expliqué qu’elle était une grande admiratrice de ses travaux sur l’Égypte ancienne et qu’elle était très intéressée par son cours d’archéologie égyptienne. Elle a également mentionné qu’elle avait l’intention de poursuivre des recherches sur l’Égypte ancienne et qu’elle avait hâte d’en apprendre plus sur les secrets de cette civilisation passionnante.

Le Professeur Laurent sourit à Alice et répondit : « Je suis ravi d’entendre cela, Alice. L’Égypte ancienne est en effet une civilisation fascinante et pleine de mystères. En ce qui concerne mes travaux, j’ai œuvré sur plusieurs projets de fouilles en Égypte, notamment dans la vallée des Rois et à Karnak. J’ai également écrit plusieurs articles et ouvrages sur l’art et l’architecture égyptiens. »

Alice acquiesça, impressionnée. « C’est incroyable », dit-elle. « Je suis sûre que j’ai beaucoup à apprendre de vous. »

Le Professeur Laurent sourit à nouveau. « Je suis heureux d’entendre ça, Alice. Si vous êtes sérieuse au sujet de l’archéologie égyptienne, alors vous êtes au bon endroit. Mon cours est conçu pour enseigner les bases de l’archéologie égyptienne, ainsi que les techniques de fouille et les méthodes de recherche. »

Alice acquiesça à nouveau, ravie. « Je suis très motivée, Professeur. J’ai hâte de commencer. »

« Je suis sûr que vous réussirez, Alice », répondit le Professeur Laurent.

Alice sourit en regardant le Professeur Laurent. Elle avait déjà hâte de faire ses propres recherches sur l’Égypte ancienne. Elle s’approcha du Professeur Laurent et commença à parler avec enthousiasme de sa passion pour l’Égypte ancienne.

— Professeur Laurent, je voulais vous dire que je suis tellement passionnée par votre travail sur l’Égypte ancienne. J’ai toujours été fascinée par cette civilisation mystérieuse et je suis tellement impatiente d’en apprendre plus.

— C’est merveilleux de voir une jeune étudiante aussi passionnée. Qu’est-ce qui vous attire particulièrement dans l’Égypte ancienne ? lui demanda-t-il.

— Tout ! La richesse de leur culture, leur architecture incroyable, les pyramides, les hiéroglyphes et surtout leur système de croyances. Je trouve cela fascinant de voir comment leur vie quotidienne était liée à leurs croyances religieuses.

— Je suis d’accord, leur système de croyances était très complexe et leur influence sur leur culture était immense. Avez-vous déjà visité l’Égypte ?

— Pas encore, mais c’est sur ma liste de choses à faire. J’aimerais pouvoir voir de mes propres yeux les pyramides et les temples, et en apprendre davantage sur leur culture et leur histoire.

— Je vous recommande fortement de le faire si vous avez l’occasion. Rien ne remplace l’expérience de voir ces sites historiques en personne. En attendant, nous allons explorer ensemble les secrets de l’Égypte ancienne dans ce cours.

Alice : Je suis tellement impatiente ! Je sais que j’ai encore beaucoup à apprendre, mais je suis prête à travailler dur pour y arriver.

Professeur Laurent : Je n’en doute pas une seconde. Avec votre passion et votre détermination, vous êtes destinée à faire de grandes choses dans le domaine de l’archéologie.

Alice : Merci, Professeur. Cela veut dire beaucoup pour moi.

Le professeur Laurent a été impressionné par la passion d’Alice pour l’archéologie et il a accepté de lui parler plus en détail. Ils ont discuté pendant une heure, et le professeur a partagé avec elle certaines de ses recherches les plus récentes sur l’Égypte ancienne. Il avait récemment mené des recherches sur les pyramides de Gizeh en Égypte, et plus spécifiquement sur le nombre d’or. Il était convaincu que les bâtisseurs des pyramides avaient utilisé cette proportion mathématique pour construire ces monuments incroyables. Le nombre d’or, également appelé « divine proportion », est une proportion mathématique considérée comme particulièrement esthétique et harmonieuse. Cette proportion peut être trouvée dans la nature, dans des œuvres d’art, dans l’architecture, et dans bien d’autres domaines. Il avait découvert que les pyramides de Gizeh semblaient avoir été construites avec cette proportion en tête. Les angles des côtés des pyramides et la distance entre la base et le sommet semblaient tous avoir été calculés en fonction du nombre d’or. Il avait également trouvé des preuves que cette proportion avait été utilisée dans d’autres constructions égyptiennes, comme les temples et les obélisques. Le Professeur Laurent était convaincu que la compréhension et l’utilisation du nombre d’or par les anciens Égyptiens étaient bien plus avancées qu’on ne le pensait auparavant. Alice était fascinée par les découvertes du Professeur Laurent et était impatiente d’en apprendre davantage sur cette proportion mathématique énigmatique. Elle était ravie d’avoir un professeur aussi passionnant et inspirant à l’université.

Alice a écouté avec attention et a posé des questions pertinentes, montrant son intelligence et sa curiosité naturelle. Le professeur Laurent a été agréablement surpris par la vivacité d’esprit d’Alice et a même admis qu’elle avait une compréhension plus profonde de certains concepts que certains de ses élèves de deuxième année. À la fin de leur entretien, le professeur Laurent a encouragé Alice à poursuivre ses recherches et à explorer toutes les facettes de l’archéologie égyptienne. Il lui a également proposé de l’aider à trouver un stage de recherche si elle le souhaitait.

Alice est sortie de cette conversation avec le sourire aux lèvres et un sentiment de gratitude envers le professeur Laurent. Elle savait qu’elle avait choisi la bonne filière et qu’elle avait trouvé un mentor qui la guiderait sur la voie de la réussite.

Après sa conversation avec le professeur Laurent, Alice était plongée dans ses pensées en marchant dans le couloir de l’université. Elle était tellement absorbée qu’elle n’a pas remarqué les deux hommes en costumes noirs qui la suivaient de près. Ces deux hommes étaient entièrement vêtus de noir.

Les deux hommes ont suivi Alice jusqu’à la sortie de l’université, où ils l’ont vue monter dans sa voiture. Ils ont alors commencé à la suivre discrètement, en utilisant leur propre véhicule, une Mercedes Classe A noire. Alice n’a pas remarqué qu’elle était suivie, car elle était toujours perdue dans ses pensées. Elle ne s’est rendu compte qu’elle était suivie qu’à son arrivée chez elle, lorsqu’elle a vu le même véhicule garé dans la rue. Elle a commencé à se sentir mal à l’aise, se demandant qui étaient ces hommes et pourquoi ils la suivaient. Son intuition lui a dicté d’être extrêmement prudente. Elle a décidé de rester vigilante et de faire attention à ses mouvements à l’avenir. Elle ne savait pas encore qui étaient ces hommes en costumes noirs mais elle avait bien l’intention de le découvrir.

Alice était déjà familière des Sociétés Secrètes comme l’histoire des Templiers et autres, grâce à son grand-père maternel qui avait toujours été passionné par l’histoire et les mystères de l’Ordre des Templiers. Il lui avait parlé de Jacques De Molay, le dernier Grand Maître de l’Ordre des Templiers, qui avait été brûlé vif en 1314 sur l’ordre du roi Philippe IV le Bel.

Cependant, Alice n’avait jamais imaginé que son nom de famille, « Demolay », pouvait avoir un lien avec Jacques De Molay. C’est seulement après avoir commencé ses études en archéologie qu’elle a découvert que son ancêtre était en effet lié à la famille Demolay, mais elle ne savait pas encore quel était le lien exact. Elle a commencé à fouiller dans les archives familiales et a découvert que son arrière-arrière-grand-père avait changé son nom de famille en « Demolay » pour se distancier de l’infamie qui entourait ce nom après l’exécution de Jacques de Molay sur le bûcher. Alice a été choquée en découvrant cette partie de son histoire familiale. Elle a commencé à se demander si cela avait un lien avec les deux hommes en costumes noirs qui la suivaient. Alice depuis toujours avait une très forte aversion pour les sociétés secrètes. Que ce soit les Templiers ou autres, elle pensait que toutes ces organisations étaient dangereuses et maléfiques.

Alice se souvenait également des histoires que sa grand-mère lui avait racontées sur Jacques De Molay, son ancêtre, et sur son rôle dans l’Ordre des Templiers. Selon sa grand-mère, Jacques De Molay avait été un grand chevalier et un fervent défenseur de la déesse Isis. Il avait utilisé ses pouvoirs pour aider les gens et pour protéger l’Ordre des Templiers contre ses ennemis. Cependant, lorsqu’il était devenu Grand Maître de l’Ordre, Jacques De Molay avait commencé à se laisser corrompre par le pouvoir et l’ambition. Il avait commencé à utiliser les pouvoirs de la déesse Isis pour son propre bénéfice et pour celui de l’Ordre, plutôt que pour aider les autres. Sa grand-mère avait expliqué que c’était cette corruption qui avait finalement conduit à la chute de l’Ordre des Templiers. Les autres membres de l’Ordre avaient commencé à craindre les pouvoirs de Jacques De Molay, et avaient finalement décidé de le trahir et de le faire brûler sur le bûcher. Alice avait toujours été troublée par cette histoire. D’une part, elle était fière de son ancêtre et de sa connexion avec la déesse Isis. D’autre part, elle était triste et en colère de voir comment l’ambition et la corruption avaient perverti son pouvoir et conduit à sa chute.

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